Faut y passer un jour...
|
Texte d'archive:
Date de publication/archivage: 2013-11-08 Auteur: Denis |
Jacques, d'habitude déluré, a voulu que j'éteigne la lumière. Je me suis collé à son dos sans cesser de le caresser tendrement, de lui embrasser la nuque, le cou ou derrière les oreilles.
J'ai recommencé à lui travailler l'anneau avec mes doigts pleins de gel, avec tout mon savoir-faire. Je ne voulais surtout pas le brusquer, lui faire du mal, surtout pas le traumatiser pour son dépucelage. J'ai placé ma bite en position, et j’ai commencé à pousser lentement, puis à m'arrêter quand je sentais que Jacques se crispait. Je le rassurais avec des mots doux que je lui chuchotais. Il s 'est détendu, et peu à peu, toute ma bite est rentrée dans son trou de velours. Il m'avouera plus tard qu'il n’a pas eu mal, mais qu’il a ressenti comme un accomplissement de ce qu'il attendait depuis toujours.
J’ai commencé mes va-et-vient en imprimant le même rythme à la queue de Jacques avec ma main. Nous étions au septième ciel, semblables dans le plaisir. J'ai accéléré, accéléré, sans être trop brutal. Jacques s'est mis à geindre, il a crié "je jouis!". Quand j'ai senti son jus poisser ma main en plusieurs jets puissants, j’ai accéléré mes coups de boutoir, et j'ai joui à mon tour en lui mordant la nuque avec toute la tendresse que j’éprouvais pour mon jeune copain.
J'ai fini par sortir de lui, puis j’ai ôté la capote pleine de mon sperme. Jacques s'est retourné vers moi: "Denis, je t'aime, tu sais..." Et moi de lui répondre: "On aime toujours le premier homme qui vous fait découvrir l'amour. J'ai connu ça, moi aussi..."
On s'est enlacés, on s'est embrassés et on s'est endormis.