Lui doigter la fente
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Texte d'archive:
Date de publication/archivage: 2013-11-02 Auteur: René |
J'ai fait exprès de laisser la porte des gogues ouverte. Ça n'a pas manqué. J'avais à peine commencé à pisser qu'il se pointait derrière. Je me suis retourné, et je l'ai vu en train de me mater l'entre-cuisses. J’ai bandé aussi sec, et je me suis retourné, la teub à la main, bien dure et bien raide.
La petite lope s’est jetée dessus sans un mot. Il s'est engouffré le morceau et m’a fait une gorge profonde derechef. Il m’a sniffé les joyeuses en grognant comme une chienne en rut. Je lui ai ordonné de se foutre à poil. Il m'a léché la rondelle pendant que moi je lui doigtais la fente arrière. Plus je lui trifouillais l'oignon fort, plus ça le faisait roucouler. ‘‘On se grouille, j'ai pas que ça à foutre!" je lui ai fait.
Il a été chercher une capote, il me l'a enfilée, et moi je me suis enfilé son cul, un vrai régal! Je l'ai limé à la dure, je lui ai explosé le derche, et il en redemandait, le pédé, il en voulait de la teub, il en avait plein le fion de la bonne teub de mâle!
J'ai déculé d'un coup, je l'ai retourné, je l'ai fait mettre à quatre pattes et je l'ai soulevé par les hanches avant de lui refoutre popaul, en brouette. On s'est promené comme ça dans le couloir. On a fini par s'écrouler par terre. Je lui ai astiqué le boyau comme un malade, et je lui ai inondé les entrailles en lui baffant le cul.
Après, il m’a entraîné dans la salle bains, il s'est foutu dans la baignoire et il m’a demandé de lui pisser dessus. Je pouvais pas refuser... Il s'est branlé à mort alors que je l'arrosais de ma pisse bien chaude. Il a fini par gicler, et puis je me suis tiré en laissant la facture...