Été chaud au Portugal
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Texte d'archive:
Date de publication/archivage: 2018-08-05 Auteur: Hervé |
Voilà cinq minutes que je me traîne sur une route du Portugal où je passe deux semaines de vacances. Nous roulons tout juste à quarante kilomètres heure sur une belle route toute droite de plusieurs kilomètres. Je suis derrière trois voitures et nous suivons un camion polluant qui peine à avancer. Les voitures doublent le camion, j’en fais autant. Et, surprise, nous nous retrouvons arrêtés par des policiers. Les trois premières voitures, des Portugais, sont tout simplement verbalisés. Moi, pauvre petit Français, je me dis que je vais en prendre pour mon grade. En général, ils profitent des étrangers pour jouer les cow-boys.
Mon tour arrive. Il me salue et me demande mes papiers. Le flic est grand et efflanqué assez quelconque. Il examine mon permis et commence à me parler en Portugais. Je ne comprends rien. À ma mine, il comprends vite que je ne pige rien à son charabia. Il appelle son collègue mais se presse de me verbaliser. Il arrive. C'est comme dans un film. Le policier qui s'avance vers moi correspond exactement au mec de mes fantasmes. D’ailleurs, ma queue se réveille et s’agite dans mon short : il est brun, grand, bien bâti. Sa chemisette laissé apparaître des bras musclés et velus. Son pantalon est déformé par une bosse impressionnante qui me laisse pantois. Je le reluque des pieds à la tête en le décortiquant membre par membre. Comme son collègue, il me salue. Et dans un Français impeccable mais sans accent, il me dit: «Alors, on profite de ses vacances pour oublier son code? Tu te crois où? Tout seul dans le désert? Et c’est quoi cette tenue pour conduire?» Il faut dire que je suis torse nu, que je porte un short assez large et des baskets. Je lui réponds par un large sourire que je me rendais à la plage, normal vu cette chaleur, et comme j’étais dans ma bagnole que je pouvais être habillé comme je le souhaitais.
«Vous avez qu’il est interdit de doubler?» Je lui explique que comme il n’y avait personne en face de moi et que les trois autres voitures s’étaient empressées de le faire, j’avais décidé d’en faire autant tout à sachant qu’il était formellement interdit de dépasser une ligne blanche. Puis, dans un léger rictus d’ironie, j’ajoute que la plage m’attendait. Comme je m’y attendais, mon humour ne l’a pas fait rire; au contraire, il me demande d’ouvrir le coffre de ma voiture. Puis, il m’invite de descendre et de les suivre. Sans toucher à quoique ce soit, il me demande d’ouvrir les deux sacs qui s’y trouvaient. J’étais un peu gêné car je savais ce que contenait un des sacs.
Finalement, je l’ouvre d’un grand geste sec. Après tout, que peut-il me dire? Je vois dans son regard la surprise, mais il ne laisse rien apparaître. Dedans, se trouve mes deux godes et un tube de lubrifiant. Eh oui, même en vacances, j’emmène mon baise-en-ville. Après tout on ne sait jamais sur qui je vais tomber et ce qui peut arriver. Et étant un gros consommateur de sexe, je m’intègre très vite aux coutumes des pays que je visite. Ceci dit, je prépare mes congés longtemps à l’avance et je ne vais pas me perdre sur une île déserte. Le farniente et la glandouille, c’est pas mon truc.
Le policier appelle son collègue. Au ton de sa voix je sens qu’on va bien s’amuser. Il baragouine quelques mots en Portugais et mon bel étalon velu me dit: «C’est dommage de te faire perdre du fric sur ton budget vacances. On sait tous que si on te met l’amende, tu n’auras plus rien pour acheter dans notre beau pays. On peut trouver un arrangement si ça te dit?» Bien sûr que ça me tente, pensé-je en appliquant un large sourire digne des hôtesses de la Redoute. Après un court instant silencieux, le policier se tâte le paquet bien gonflé et me dit: «Deux vraies bites à la place de tes engins en plastiques?»
Sans même attendre ma réponse, il prend ma serviette et me demande de les suivre. Après quelques minutes de marche, on s’enfonce dans la forêt et il étale la serviette sur une partie plane et apparemment tranquille. À croire qu’il connaissait l’endroit. «Fous-toi à poil et suce mon collègue qui a une très grosse envie.» L’autre flic a baissé son pantalon de toile, puis son slip, et agite fiévreusement son engin de bonne taille devant moi. Je m’agenouille et sans tarder, engloutis sa teub jusqu’à la garde. Pendant ce temps, mon bel étalon me titille la rondelle avec ses gros doigts. Je me mets aussitôt à quatre pattes et cambre ma croupe pour lui en offrir un maximum. Antonio, le collègue, pose sa main sur ma nuque et me défonce la gueule à grands coups de reins bien secs tout en éructant quelques mots en portugais que je ne comprenais pas mais qui me semblait être tout bonnement des râles de mec en rut.
Luis, mon flic préféré, s’occupe de mon fion. Il a humidifié ses doigts et me pénètre l'index qu’il enfonce totalement. «Putain t’es large !» me dit-il en continuant les va-et-vient. «Tu es un vrai garage à bites toi? Tu dois t’enfiler tes godes tous les soirs pour avoir un trou aussi large!» Le fait de l’entendre dire ces quelques mots me rend tout de suite chienne, prête à avaler sa queue et celle de son collègue. Il retire sa chemisette et vient se camper derrière moi. Là, il me lèche la rondelle mais je ne peux voir mon athlète me bouffer l’oignon car Antonio m’oblige toujours à le sucer. Bien lubrifiés de salive, Luis enfonce deux autres doigts. Bien qu’ouvert, je les sens passer. J’entends Luis se dévêtir entièrement. Je crois que je suis en train de rater le plus beau des strip-teases.
Je sens ses mains puissantes se poser sur mes hanches. Puis, presque aussitôt, sa queue pointe devant mon trou et le force sans s’arrêter. Antonio sourit en voyant le mandrin de son collègue disparaître dans mon fion. Et c’est un bel engin qui me déchire littéralement. La sensation de brûlure s’estompe très vite pour laisser la place au plaisir. Enfoncé bien à fond, il entame ses va-et-vient brutaux tout en vociférant des phrases en Portugais qui fait rire son collègue. Sans doute me traite-t-il de salope, de grosse cochonne, ce que je suis à vrai dire. Je cambre bien mes fesses pour mieux sentir sa pine me défoncer le fion. Antonio accélère la cadence dans ma bouche. J’ai mal aux mâchoire et la salive s’écoule de ma bouche. J’entends avec regrets Luis râler. Il accélère sa cadence et dans un dernier coup de reins, il largue sa sauce dans mon cul. Je sens la chaleur s’étendre dans mon ventre. Et puis soudain, Antonio enfonce son pieu au plus profond de ma gorge et crache sa jute. Elle est épaisse et abondante. Et c’est avec un pur plaisir que j’avale la totalité de son cadeau.
Luis me fait basculer sur le dos, me lève les jambes et m’enfile une nouvelle fois avec son pieu toujours aussi vaillant. Enfin, je peux admirer mon bel étalon : aussi velu qu’un big foot des pieds à la tête, des muscles à faire pâlir les statues Grecques et des tétons bien noirs et bien gros que je m’empresse de pincer. «T’aimes ça salope» me lance-t-il entre deux souffles. Puis il dit quelque chose à son collègue qui se fout à poil sans tarder. Il vient ensuite se positionner au-dessus de ma tête et abaisse sa croupe. Je sors ma langue et viens lécher sa rosette tout aussi poilue que le reste du corps. Certains me restent collés sur mon palais. Mais qu’importe. Luis ne cesse de me pistonner comme le mâle dominant qu’il est. Je l’imagine en train de niquer sa femme, elle doit en prendre plein le cul aussi. Puis il gémit et largue pour la deuxième fois une nouvelle rasade de foutre dans mon cul. Il me relève et m’ordonne de bien nettoyer le gland. Je m’applique à bien prendre en bouche son gros gland suintant de foutre.
Moi qui pensais qu’on en avait terminé, voilà que son collègue lui dit quelque chose. Luis me regarde et me dit: «Mon collègue ne s’est pas encore vidé les couilles et comme tu as un beau petit cul de salope, il veut aussi en profiter.» Je me retourne et offre ma croupe au policier. Les deux hommes rigoles et je ne sais pas pourquoi. «Non, non pas comme ça, il va falloir d’abord te donner une petite correction!» me dit Luis en agitant son index devant moi. Il prend sa ceinture et me donne une première claque qui me contracte la totalité de mes muscles. «Pour éviter que tu gueules, tu vas bien me nettoyer le cul!». Luis se met à quatre pattes devant et m’offre sa rondelle que je me mets à lécher. Elle est toute poilue, bien bourrelée, c’est à croire qu’il se fait défoncer le fion lui aussi. Les coups de ceinture rougissent mes fesses. Je sens le feu me brûler et j’en gémis de plaisir. Je crache sur la rondelle et j’enfonce bien ma langue au plus profond. Mon petit mâle de macho doit bien se faire prendre lui aussi. Il s’élargit au fur et à mesure que je fouille son intimité.
Les coups de ceinture s’arrêtent et je n’ai pas le temps de respirer que d’un grand coup sec, il m’enfonce son dard jusqu’à la garde. Cette fois-ci, la douleur m’a arraché un cri. J’en tremble. J’avais mal jugé l’épaisseur du mandrin d’Antonio. Ce dernier me prend par les hanches et me déchire le cul violemment à grands coups de reins bien profonds. Il n’y a pas à dire, les Portugais sont de vraies bêtes de sexe et il savent baiser. Mes cris effraient les deux policiers. Luis se retourne et enfourne sa bite dans ma bouche. Antonio me pilonne sans relâche alors que la bite de Luis redouble de volume. Et pour la troisième fois, Luis se vide en moi. Un goût de merde et sperme s’emmêle, j’avale le tout. J’entends râler Antonio qui, à son tour, se vide dans mon cul déjà suintant de foutre. Ma queue est prête à exploser elle aussi. Je m'astique violemment le manche et je ne tarde pas à cracher. J’en reçois sur mon visage et je lèche le sperme qui s’écoule. Les deux policiers se mettent à rire. Je me mets à rire aussi.
Nous nous sommes rhabillés très vite. Antonio est parti devant nous. Antonio me prend par le bras et me demande si je ne veux pas passer quelques jours chez lui. «Bien sûr!» lui réponds-je sans hésitation. Pour une surprise c’est une surprise. Bien sûr, je vous raconterai tout ça dans une prochaine lettre.
Hervé, 38 ans.