46 fragments d’inintimité (02)


46 fragments d’inintimité (02)
Texte paru le 2021-02-06 par Sauveur   
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Jean-Christophe (02)


Nous nous mettons d’accord pour se retrouver ce week-end dans un endroit, au bord d’une petite route de campagne. Nous verrons bien.

En cette fin d’après-midi, je gare ma voiture à l’endroit convenu et la recule au maximum dans le chemin. De la route elle n’est pas visible : l’endroit est pratique et discret, il semble avoir été conçu spécialement pour les rencontres discrètes. Jean-Christophe m’envoie plusieurs messages : il est en retard et visiblement stressé d’être vu. Il me demande plusieurs fois si « c’est discret ». Je confirme et lui dis que « tout ira bien ». Il arrive avec un quart d’heure de retard, ce qui a décuplé ma curiosité et mon excitation. Je sens que mon sexe palpite déjà dans mon boxer. Je le rajuste afin qu’il soit dirigé vers le haut : j’ai prévu de lui faire tâter à travers mon pantalon. Il faut donc que le paquet soit bien « moulé ».

Le garçon arrive en voiture un peu vite et je lui envoie un SMS pour lui préciser qu’il a dépassé le chemin. Plusieurs minutes plus tard, le voilà qui revient : il m’aperçoit au bord de la route et comprend assez vite qu’il fait qu’il se gare dans le chemin, tout contre ma voiture. Je ne le vois pas trop à travers le pare-brise : je m’approche et ouvre la porte passager : son large sourire est un peu crispé :

— Salut, entre.

Je m’exécute et me tourne vers lui pour l’observer. Il ne me regarde que très peu. Son regard est fixe vers l’avant. Je tente de le rassurer :

— Je pensais que tu n’allais jamais arriver, c’est très chouette ta tenue.

Il est en costard noir, très classe avec une chemise blanche mais il a enfilé une veste par-dessus comme pour pas être remarqué s’il croisait par hasard une connaissance. Les petites villes ça ne pardonne pas, tout le monde se connaît. Il me regarde en souriant, l’air coquin :

— Tu veux que j’enlève ma veste.

— Bien sûr, ce serait super. J’adore ta chemise blanche c’est très excitant.

Tout en prononçant ces paroles je porte ma main droite au niveau de son entrejambe en me tournant légèrement. Le contact est saisissant : la toile de son pantalon est très fine et il n’a pas mis de sous-vêtement. Son sexe est déjà extrêmement dur et dressé vers le haut. Je sens parfaitement toute sa longueur à travers l’étoffe.

— Hum : je vois qu’on ne porte rien dessous.

Je masse doucement sa bite de haut en bas et la réaction est immédiate : il lève la tête et ferme les yeux comme pour décupler son plaisir.

— Attends, on va libérer ton sexe, il a l’air un peu à l’étroit là-dedans.

Des deux mains je descends la fermeture-éclair de son pantalon : son sexe est tendu au maximum juste derrière. J’introduis doucement ma main pour le saisir entre le pouce et l’index. Je dois m’aider de l’autre main pour ouvrir grand la braguette et enfin pouvoir faire sortir le gland complètement décalotté. Le sexe est maintenant tout à fait à l’extérieur, droit et pointé vers le haut. Je peux enfin contempler cet organe que j’ai pourtant admiré maintes fois en cam mais ici en vrai, l’effet est saisissant. La douceur de la peau est incroyable. Le gland palpite et est déjà humide. Je passe le creux de ma main par-dessus pour étaler la mouille sur tout son pourtour.

— Je vais sortir aussi tes couilles, détends-toi.

J’enfonce davantage la main dans son pantalon et saisis les deux testicules complètement lisses. Je les sors non sans mal car ils sont très volumineux. Je les cale dans l’ouverture de la braguette en évitant de les blesser avec la fermeture. Je décide alors de lâcher son sexe pour observer le résultat : j’aimerais prendre une photo tant la vue est parfaite. Le sexe dressé est calé sur les deux grosses couilles bien rondes. Aucun poil ne sort de cette vue magnifique. La braguette entoure les organes et semble les serrer comme pourrait le faire une main ou un lacet. Le pantalon noir fait ressortir l’ensemble. Il est temps qu’il passe à l’action.

— Très bien JC, je vois que tout est prêt pour que tu t’y mettes.

Évidemment, il sait exactement de quoi je veux parler : il doit me sucer. On a abordé le sujet maintes fois et pour moi, un bon soumis doit ensuite faire plaisir à son maître d’une manière désintéressée. Jean-Christophe n’a jamais vu ma queue mais même si elle ne lui plaît pas il va devoir la pomper jusqu’au bout. Il se penche vers moi et fermant à moitié les yeux. Je lâche sa queue et sors rapidement mon sexe.

— Ouvre.

À ces mots il s’exécute en fermant les yeux, je le guide jusqu’à mon sexe en plaçant ma main juste derrière sa nuque. L’idée est de l’empaler très profondément sur ma queue. Je sens mon gland frapper au fond de sa gorge et instinctivement il a un mouvement de recul que je réprime en forçant sur sa tête pour qu’il reste bien enfoncé. Il me suce alors directement en gorge profonde. J’imprime un rythme soutenu, le laissant respirer que très rarement, seulement quand je sens qu’il est à bout. Il bave beaucoup et suce bien. Quelques larmes perlent sous ses paupières closes. Pendant qu’il me suce, je glisse ma main pour attraper sa queue que je garde très serrée. Elle mouille abondement. C’est la première fois que je vois un garçon mouiller autant en suçant une queue : c’est très excitant et je dois ralentir son allure pour ne pas gicler.

J’envisage de balancer mon sperme sur son visage : nous avons convenu ça avant à sa demande. Après quelques longues minutes de pure extase, je retire sa tête et l’observe : je lui ai parfaitement baisé la gueule, son visage en porte les marques. Il ouvre les yeux tandis que je baisse son visage pour le placer contre mon gland :

— Je vais gicler sur ta gueule ne bouge pas.

Merci de vos retours j'en ai vraiment besoin. Bises.

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