46 fragments d’inintimité (03)
Texte paru le 2021-02-15 par Sauveur
© 2021 — Tous droits réservés par Sauveur.

- Premier texte : 46 fragments d’inintimité (01)
- Texte précédent : 46 fragments d’inintimité (02)
- Texte suivant : 46 fragments d’inintimité (04)
Jean-Christophe (03)
Nous continuons à nous voir assez régulièrement JC et moi, le plus souvent dans sa voiture ou la mienne. Nos rencontres se passent pratiquement toujours de la même façon : je sors son sexe tendu de son pantalon, le caresse, étale la mouille sur son gland. Il ferme alors les yeux et ce signal semble me donner le départ de la bonne gorge profonde qui suit. Au fil de nos rencontres, j’aime à voir combien de temps il peut rester ainsi mon gland au fond de sa gorge, bavant et étouffant, puis se reprenant. Je le félicite tandis qu’il reprend sa respiration et très vite je pousse de nouveau sa tête bien à fond, l’empalant sur mon sexe érigé et imprime des mouvements secs de va-et-vient. JC bave beaucoup et adore ça. Après que j’aie bien arrosé son torse ou son visage de mon sperme, nous sortons de la voiture et il fume une clope :
— C’était top merci, tu assures. Il faudrait vraiment que l’on trouve un autre endroit pour faire plus.
Je saute sur l’occasion :
— Tu penses à quoi ?
— Avec de la bouffe, t’as déjà essayé ?
Plus tard dans la soirée, JC me confie fantasmer sur les aliments et me confie avoir déjà tartiné sa bite de yaourt. Il aimerait essayer mais selon lui « en nature c’est chaud, il faut trouver un endroit tranquille et discret à l’intérieur ». C’est alors que je pense à la cave dans la vieille ville dont j’ai les clés depuis peu.
Ce soir-là nous avons décidé de nous voir dès que je sortirais d’une réunion. Durant deux heures j’ai du mal à être concentré, je répète mentalement le scénario que nous avons mis au point. Je rentrerai dans la cave, me mettrai dans un petit recoin, caché. Je donnerai alors le top à JC qui arriverait bien sapé. L’idée — et ça l’excite beaucoup m-a-t-il confié la veille — est que je le prenne par surprise, assez vigoureusement et que je l’attache sur une chaise. J’ai donc préparé des cordes et pour la bouffe une banane bien mure.
Dès que je sors de la réunion je lui envoie un SMS indiquant que je serai en place dans 10 minutes. J’ai tout le matériel dans un sac de sport. Si on m’aperçoit dans la ruelle vide on pensera que je rentre de la salle d’entraînement. Je descends dans la cave qui est disposée sur deux niveaux. Je dois utiliser une lampe de poche car l’électricité a été coupée. Je vérifie que la chaise est bien là, la corde et je pose délicatement la banane sur le sac contre le mur. Je n’ai plus qu’à attendre JC juste en bas des marches, dans le recoin.
« Quand tu rentres dans la cave, tourne la clé dans la serrure pour fermer derrière toi puis descends une dizaine de marche avec la lampe torche de ton téléphone. Attention c’est raide. »
L’instruction est claire. J’attends de longues minutes, très excité par cette mise en scène. Je suis encore plus excité de savoir dans quel état le scénario le met : il doit déjà bander comme un fou dans son costume de serveur classe. Quelques minutes après, j’entends la porte se fermer et la clé tourner dans la serrure. Il ne descend pas de suite : je pense qu’il se change ou du moins qu’il enfile une veste qu’il n’a pas mis dehors pour ne pas attirer l’attention. Les pas de JC se font ensuite entendre doucement. Je compte mentalement et très vite, vois la faible lumière de son téléphone. Il faut que je sois rapide et efficace. Je vais attendre qu’il passe devant moi. Je lui réserve une surprise : j’ai préparé un tissu souple qui me servira de bâillon.
— Ne bouge plus !
Je le saisis par derrière et enserre son torse, il bouge un peu sans trop se débattre. Rapidement je dispose le bâillon et l’attache en faisant un double nœud, je veille à ne pas trop serrer.
— Avance !
J’ai disposé la lampe de poche dans un coin et elle éclaire faiblement le mur : il y a juste assez de lumière pour distinguer la chaise. Je l’assois dessus et lui attache rapidement les mains derrière le dos. Je termine en entourant son torse trois fois. JC ne bouge plus mais joue celui qui se débat.
— Ne bouge plus sale pute je vais bien m’occuper de toi.
Tout en prononçant ses mots je mets rapidement ma main entre ses deux jambes : sa bite est très raide est droite. Je la libère en ouvrant tout grand la braguette. Je deviens très expert dans cette manouvre, d’un tournemain je libère également les couilles puis les coince serrées dans la braguette. Je m’assure que son gland mouille bien en le serrant rapidement.
— Tu mouilles déjà salope, une vraie salope.
JC semble apprécier, il gémit gentiment. Je prends alors la banane que j’ouvre à moitié. Elle a curieusement la même longueur que sa queue : j’ai décidé de l’écraser dessus puis d’enserrer sa queue avec la peau et de la branler jusqu’à ce que l’intérieur se soit complètement décomposé. Ça marche à moitié, un morceau tombe par terre. Ce n’est pas grave, je prends la peau et entoure convenablement le pénis jusqu’à ce que je n’ai que son contact en main. J’imprime alors des va-et-vient puissants et vigoureux, sentant la pulpe s’écraser doucement. Je sens son gland très gonflé à travers la peau de banane. J’imagine que la chair pénètre son gland par le méat et se mêle à la mouille. L’idée me fait bander. J’ai des morceaux dans l’autre main : je décide de lui enlever le bâillon et de les lui faire manger.
— Tiens bouffe ça : de la banane au sperme je suis sûr que tu kiffes à mort.
JC ouvre la bouche, j’y glisse aussi mes doigts, il bave, mâche, avale. Il faut qu’il me suce je n’en peux plus mais assis et attaché ce n’est pas facile. Je décide alors de renverser doucement la chaise sur le dossier. Il est allongé, les jambes à 45°. Pas très confortable mais pour la suce ça ira. Je descends rapidement mon pantalon et mon boxer, ma queue n’en peut plus. Il a compris que ça allait être un peu hard. De tout mon poids, je m’allonge sur sa gueule en fourrant ma queue dans sa bouche.
— Ouvre bien, montre ce que tu as appris, allez.
Je l’encourage tout en lui baisant la bouche : il est très résistant, il kiffe à mort en redemande.
— T’en veux encore, dis moi.
— Mmoui.
Il réclame sa dose. Tout en le limant je suis attentif à ne pas dépasser ses limites, je ne veux pas qu’il ait mal. Il me dit de continuer.
— J’ai bien envie de gicler dans ta gorge... t’en pense quoi ?
— Oh mouiiii.
— T’es sûr ?
Il me confirme. Alors je me lâche complètement : j’oublie que son visage est coincé sous mes reins qui bougent en cadence. Plus je baise sa gueule, plus je bande. Je finis par gicler très fort dans sa gorge. Il s’étouffe et n’avale pas.
— Recrache dans mes mains.
Il s’exécute et je relève — non sans mal — la chaise. Il n’a pas débandé au contraire, sa bite est énorme et palpite. J’étale mon sperme dessus et le branle jusqu’à éjaculation. Il gémit fortement et en reçoit jusque sur sa gueule. Je le laisse ensuite s’essuyer et se détacher : avant la clope, il vaut mieux être un peu présentable.
Merci de vos retours j'en ai vraiment besoin. Bises.
Dernier courriel connu de l'auteur : salvateur9999@gmail.com |