Antonio (4)


Antonio (4)
Texte paru le 2012-06-21 par CharlieBrown   Drapeau-fr.svg
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Template-Books.pngSérie : Antonio

Le lendemain du cours de kick, je ne vois pas Axel au collège. J’apprends qu’il s’est bloqué le dos. Et merde ! C’est la fin de la semaine. Je croise mon Camille qui me dit qu’il va à Aquaboulevard avec son père demain et que si je veux, je peux venir dormir chez eux ce soir. Tope là ! Depuis hier, j’ai la queue en feu. Axel m’a laissé sur ma faim, il n’est pas là, Pascal le toubib non plus (c’est vendredi et on n’a pas d’infirmier le vendredi).

À midi, à la cantine, Pierre vient me voir car il a envie de se branler à deux. Au moins, je vais me vider une fois dans la journée. Mais avec lui, c’est du rapide. On s’est mis dans une cabine des toilettes, il a baissé son froc et son slip (moi aussi), on s’est astiqué le poireau en cinq minutes et il a craché son yop en cinq-cinq. Il sort même de la cabine avant que je jute ! Enc… !

Après les cours, je demande à ma mère pour aller dormir chez Camille. Ça pose jamais de problèmes. En plus, ils partent jusqu’à demain soir chez des parents. Je fais un petit sac avec maillot de bain bien moulant, deux boxers de rechange, un tee-shirt et un nécessaire de toilette. Vers 20h00, je sonne chez Louis, le père de Camille. Il m’ouvre. Il est torse nu et en bas de survêtement.

— Salut Antonio. Qu’est-ce que tu fais là ?

— Ben… Camille m’a dit que vous alliez à Aquaboulevard demain et il m’a invité à dormir.

— Il t’a pas prévenu ? Sa mère lui a pris un rendez-vous chez le toubib demain matin. Il ne sera là qu’en début d’après-midi.

— Ben non, dis-je gêné. Mais j’ai un souci… Mes parents sont pas là ce soir. Ça vous embête si je reste quand même ?

— Non, aucun souci. Entre. T’as l’habitude, non ?

Ouf ! J’avais peur de me retrouver comme un con tout seul chez moi. Bon, d’un autre côté, c’est pas la première fois que je viens, son père me connait depuis trois ans. On s’installe dans le sofa et la soirée passe à regarder la télé. Je le vois se toucher la bite à travers son survêtement de temps en temps. Et je commence à sentir ses odeurs de mâle, que je n’avais pas encore remarquées. Je sens l’excitation monter en moi. Je suis un peu perdu, car c’est le père de mon meilleur pote, mais aussi c’est un beau mâle en puissance, si j’en juge par son torse et ses abdos encore bien foutus pour un mec de 35 balais. Et ces poils qu’il a ! Aussi blonds que les cheveux de Camille… Je me creuse la tête. Va falloir ruser si tu veux bouffer sa bite, Antonio !

Vers 23h00, il propose de déplier le canapé et me demande si ça me gêne pas de dormir dedans avec lui, car il veut encore regarder la télé. Je lui dis que non, que j’ai l’habitude avec mon frangin (oh le menteur !). On le déplie à deux, puis je lui dis que je vais me mettre en pyja-short pour ne plus avoir à me relever.

— Vas-y, je dors aussi comme ça, mon grand.

Je vais chercher mon sac et le pose sur la table qui est derrière le canapé. J’enlève mon polo, puis mon pantalon. Dans le miroir de la salle à manger, je constate qu’il jette quelques coups d’œil vers moi. OK. Sors-lui le grand jeu, Antonio, c’est le moment. Je me décale, toujours de dos par rapport à Louis, de façon à ce qu’il me voit mieux lorsqu’il tourne la tête. Puis je descends mon boxer jusqu’aux chevilles, me penche un peu pour chercher dans mon sac et qu’il puisse profiter du spectacle. Je sors le pyja-short, me mets de profil (comme ça, il voit bien ma bite et mes couilles) et l’enfile. Lorsque je me retourne complètement, il a la tête tournée vers moi, l’air surpris.

— Louis, vous avez un souci ?

Il met cinq secondes à répondre.

— Non, mon grand. Mais tu peux me tutoyer, tu sais. C’est juste que je te regardais quand tu te changeais et je trouve… que tu es… en avance par rapport à Camille. Et vous n’avez que quelques mois d’écart.

Je joue le surpris.

— En avance sur quoi ?

Je viens me réinstaller à ma place sur le canapé déplié.

— Hé bien, physiquement je veux dire.

— Ah bon ? Je trouve pourtant qu’il est plus grand que moi !

Il sourit.

— Oui, bien sûr. Mais je pensais plutôt à…. ton développement de mec.

— Ah ! Tu parles de poils et de bite, c’est ça ?

— Oui, c’est ça.

Je vois un léger renflement apparaître au niveau de son sexe dans le survêtement.

— Tu trouves ? dis-je innocemment.

— Oui, j’en suis certain. Je vois encore Camille nu de temps en temps, et je peux te dire qu’il n'a pas un poil.

— Je sais pas, on se douche pas après le sport (Ouarf !). Et tu trouves que j’en ai beaucoup pour mon âge ? je dis de façon enjouée afin de lui faire croire que je suis fier…

Il sourit.

— T’en as sous les bras - je les soulève pour faire semblant de vérifier - et au-dessus du sexe.

Je descends un peu le pyja-short et lui montre ma toison.

— Et ça, c’est beaucoup ?

— Oui, c’est vraiment pas mal. J’étais comme Camille à ton âge.

— Et bien, ça promet alors, pour moi et pour lui, vu tout ce que tu as, toi.

Je m’approche de lui et passe une main sur sa poitrine. Il sursaute, mais ne dit rien.

— Ça doit être cool d’avoir autant de poils, non ?

Je vois bien qu’il est gêné. Mais ses tétons ont réagi. C’est le moment.

— Moi, j’en ai pas un seul sur le torse. T’en as beaucoup au sexe, Louis ?

Il sourit.

— Notre conversation prend un tournant que je n’avais pas prévu, Antonio !

— Tu sais, j’ai déjà vu mon frère à poil. Il a 17 ans et il est super poilu de la queue et du cul. Est-ce j’en ai sur le cul, moi ?

Je lui laisse pas le temps de répondre. Je me tourne et baisse le pyja-short. Je sens qu’il se détend peu à peu, car il pose une main sur mes fesses pour l’écarter un peu.

— Tu en as déjà quelques uns dans la raie des fesses, Antonio.

Lorsqu’il retire sa main, je sens une caresse discrète sur mon globe bien rebondi. Et quand j’ai remis mon pyjama, je vois bien que sa bosse a encore grossi.

— À toi, maintenant, Louis !

— À moi quoi ?

— Ben, montre-moi comment t’es poilu !

— Antonio, t’es un garçon super sympa, mais je pense que nous sommes allés trop loin…

Je plante un sourire moqueur sur mon visage et lui dis :

— Louis, je crois qu’en fait tu penses qu’on n’est pas allé assez loin…

— Que veux-tu dire ?

L’estocade finale.

— Je vois bien que tu bandes comme un malade, j’ai bien senti ta caresse discrète sur mes fesses et tes tétons ont durci comme du bois quand j’ai passé ma main dessus.

Ma façon de parler doit le surprendre.

— Ça fait quelques mois que je fantasme sur toi, Louis. Et j’avais déjà remarqué que tu me matais discrètement, et pas que ce soir.

Il rougit. Je me rapproche de lui à quatre pattes sur le canapé déplié. Il est resté allongé. Je pose mes mains sur son corps, une sur son torse, une sur sa bite. Puis je me penche sur son oreille.

— Laisse-moi faire et on en reparle après.

Je me mets à genoux entre ses jambes et commence à baisser son bas de survêtement. Il n'a pas de slip ! Sa queue raide vient se plaquer sur le bas-ventre. Environ 16-17 centimètres mais très grosse. Superbe toison blonde et burnes bien poilues.

— Regarde la mienne, Louis.

Je baisse le pyjama. Ma queue bondit comme un diable. Il sourit.

— Je pensais pas qu’elle était aussi belle que ça, dit il en la flattant de la main.

— Et je sais aussi m’en servir, Louis...

Je plonge mon visage vers son bas-ventre. Je chope sa bite raide dans ma bouche, tout en lui caressant le dessous des couilles. Il est surpris, mais ne dit rien. Je commence à bien comprendre comment ça marche, un mec, et en deux minutes, le père de Camille gémit déjà.

— C’est bon, Antonio. Tu suces superbement.

Il me caresse les cheveux tandis que ma langue titille son gland dans ma bouche. Puis je commence à monter et descendre le long de sa hampe. Je le vois les yeux fermés, se caressant le torse. Ça doit faire des mois qu’il a pas dû tirer sa crampe car cinq minutes plus tard, il me dit :

— Arrête, Antonio ! Je vais juter !

Mais moi, je veux son jus dans ma bouche. Alors je garde sa bite et dans un cri bestial, Louis me lâche sa purée. Je sors sa queue de mon palais, crache le sperme dans un verre qui traînait et continue à lui caresser les burnes. Le père de Camille est essoufflé. Il rouvre les yeux et me sourit.

— Hé bien, dis moi, t’en connais des choses. Tu suces presque comme une nana.

Ma main n’a pas lâché son sexe et ses boules. Il continue à bander.

— Je peux aussi me faire enculer comme une nana, Louis !

Il me regarde, surpris.

— Arrête, Antonio ! On est déjà allé assez loin comme ça…

Mon regard reste planté dans le sien. Je sens bien, sous ma main, que sa queue est toujours raide. Doucement, je viens placer mon bassin à hauteur du sien. Je laisse faire la capote (je sais, c’est pas bien) et lubrifie ma rosette avec du sperme. Louis ne dit rien. Je suis sûr qu’il balance entre le fait de baiser avec l'ami de son fils et le fait de prendre son pied. Je dirige sa queue vers mon trou et descends doucement. Je sens sa grosse bite me pénétrer lentement. Et lui et moi commençons à gémir. Je suis excité comme un malade de me faire empaler par le père de mon meilleur pote. Je prends appui sur son torse velu et je commence des va-et-vient à cheval sur lui.

— Putain que c’est bon quand c’est toi qui manœuvre !

Louis grogne de plus en plus et moi j’accélère un peu. Sa putain de queue s’enfonce en moi maintenant comme dans du beurre. Mes couilles sont caressées par sa toison pubienne blonde et ça m’excite grave ! Ma queue raide s’est bloquée contre mes abdos tellement elle est dure !

— Putain, Antonio ! C’est trop bon, mon gars ! Continue, continue…

Louis m’a attrapé les hanches pour accompagner encore plus mes mouvements. Je sens son gland venir frapper ma prostate. Le plaisir monte en moi, mais lui n’est pas en reste. La sueur coule sur mon corps et je vois ses aisselles moites s’humidifier aussi. C’est lui qui accélère maintenant. Il est en transes. J’en profite pour baisser ma tête à hauteur de la sienne, d’une part pour bien écarter ma rondelle mais aussi parce que je veux sentir sa langue dans ma bouche. Il la chope et me roule une méga pelle. Il me tient les fesses et s’enfonce de plus en plus en moi. Nos sueurs se mélangent. Je sens son odeur de mâle en rut. Je lâche sa bouche pour respirer. Lui souffle de plus en plus fort.

— Putain ! C’est bon ! Vas-y, Antonio, descends encore ! Oui ! Oui !

Notre chevauchée s’accélère encore. C’est encore mieux qu’avec mon toubib scolaire. Une vague de plaisir intense m’envahit. Louis me bourrine de plus en plus. Puis je me bloque sur lui, serrant mes sphincters pour emprisonner sa grosse bite. Il continue de remuer son bassin. Sa queue se frotte à chaque centimètre carré de mon anus.

— Oh oui… Oh oui… Putain ! Ça vient ! Putain, Antonio, ça vient ! Retire-toi.

Mais moi je veux pas. Il s’excite comme un malade. Mes abdos ont des soubresauts. Je ne vais pas encore tenir longtemps, mais lui non plus.

— Antonio !!! Retire-toi ! Putain ! Putaaaiiinnn ! Oh ouiiiiiii… Oh Ouiiiiiii. Je jouiiiiiiisss.

Je sens un flot ininterrompu de sperme remplir mon trou. Je lâche moi-même mon jus sur son torse velu en poussant des cris de plaisir… Une minute après, je sors sa queue de mon cul et m’allonge à côté de lui, en sueur. Il me regarde. Je souris :

— T’as aimé, Louis ?

Il sourit.

— T’es une vraie petite pute, Antonio !

— Non, Louis. Une pute, ça se fait payer. Moi je fais ça par pur plaisir et pure jouissance. Et je dois avouer que tu m’as fait prendre un pied pas possible.

Il caresse doucement ma bite encore à moitié raide.

— Et moi, ça fait des mois que j’ai joui comme ça…


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