Aventures de jeunesse (15)


Aventures de jeunesse (15)
Texte paru le 2018-06-07 par ‎Julien Nancy   Drapeau-fr.svg
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Template-Books.pngSérie : Aventures de jeunesse

Le lendemain de cette petite partie de branle à deux avec Franck, je fus réveillé par Marc vers 8h30. Sans quitter mon lit, je me mis à poil, bien décidé à honorer mon érection matinale et à gicler avant que Marc ne m’apporte mon petit déjeuner. Alors que je devais être en plein milieu de ma session, je vis la porte de ma chambre s’ouvrir brutalement. Marc entra avec mon plateau et moi, la queue dans la main, interloqué, je ne pus que constater que je venais de me faire griller, en train de me masturber.

— Ce coup-ci, j’arrive au bon moment, lança Marc. Ne te gêne pas pour moi, continue, fit-il en déposant mon plateau sans me quitter des yeux.

Après tout, il avait raison, pourquoi s’arrêter ? Il vint s’assoir à côté de moi sur le lit.

— Alors petit branleur, on n’attend pas son copain Marc ? ajouta-t-il en me retirant la main de ma queue.

Puis, il prit ma bite en main et continua ce que j’étais en train de faire.

— C’est quand même mieux quand on se fait branler, tu ne trouves pas ?

— Oh, je ne le sais que trop, Marc.

— Ah oui ? Tu es un vrai petit cochon, alors ? fit-il.

— Tu n’as pas idée, lui répondis-je.

— Tu as une très belle queue, dit-il. On en mangerait.

— Eh bien ne te gêne pas, lançai-je.

Marc approcha alors sa bouche de mon entrejambe et introduisit ma queue dans sa bouche.

— Hmmm, quel délicieux réveil, lui fis-je en caressant ses cheveux.

— Ta queue est vachement bonne, fit-il.

Penché sur mon bas ventre, Marc me pompait savamment, me malaxant les couilles avec une main et me titillant les tétons de l’autre.

— Mets-toi à poil, lui dis-je.

Marc se débarrassa de sa livrée et reprit là où il en était resté. Mon bras fut juste assez long pour attraper son membre. Une queue d’au moins 20 centimètres sur 6.

— Tu as une belle grosse bite, lui lançai-je.

— Tu veux la gouter ? me demanda-t-il.

— Ouiiiii, répondis-je. Viens sur moi.

Marc me grimpa dessus et présenta sa queue à mon visage. Je n’eus qu’à la tirer légèrement vers moi pour l’engamer. À ce moment-là, Marc lâcha un gros soupir qui me laissa penser que le contact de son gland avec ma langue lui donnait de délicieux frissons. Je profitais en même temps du contact réciproque qui, je dois le dire, me faisait le plus grand bien.

La bite de Marc était tellement grosse que ma mâchoire devenait douloureuse. Je dus faire quelques pauses à plusieurs reprises pour ne pas choper de crampe. Entre deux prises en bouche, je le branlais légèrement, mais, sans doute pressé que je reprenne ma fellation au plus vite, Marc tortillait du cul pour montrer son impatience. Lui, de son côté, ne quitta pas ma verge un seul instant. Quel suceur, ce Marc ! Et dire que je le prenais pour un hétéro pur jus.

À un moment donné, il se retira quand même, juste pour me demander :

— Tu veux jouir dans ma bouche ?

— Oui, et toi ? répondis-je.

— Oui, absolument. Tu avales ?

— Oui, fis-je. Et toi ?

— Tout à fait.

Alors nous reprîmes notre soixante-neuf avec encore plus de frénésie. Nous n’avions plus qu’à nous laisser aller jusqu’à nous répandre dans le gosier de l’autre. Comme nous avions tous les deux la bouche pleine, nos gémissements étaient étouffés, mais je sentis parfaitement que Marc s’apprêtait à gicler. Moi aussi, d’ailleurs, j’étais au bord de l’orgasme. C’est tout le bassin de Marc qui chancela lorsque je sentis la liqueur chaude se répandre en moi. Cela ne l’empêcha pas de continuer à me pomper et à me faire venir presque aussitôt. Ce fut un orgasme violent, d’autant plus que Marc posa un doigt sur mon anus au moment crucial, ce qui eut pour effet de décupler mon plaisir.

Après avoir dégluti l’un et l’autre, nous prîmes, comme la veille, notre café ensemble, en restant nus.

Cette journée ayant bien commencé, je pris ensuite une douche et allai frapper à la porte de Franck. Il terminait juste son petit déjeuner.

— Salut Julien, bien dormi après notre petite branlette d’hier soir ?

— Oui, et toi ?

— Comme un bébé, répondit-il.

— Je ne savais pas que tu prenais aussi ton petit déjeuner dans ta chambre.

— Ben si, comme tu vois. Marc me l’a apporté il y a une demi-heure.

— Normal, moi aussi, fis-je. Tu veux qu’on aille à la plage ?

— Avec plaisir. On va proposer ça à Didier et Laurent ? lança Franck.

— Tu t’es branlé ce matin ? demandai-je.

— Non, je préfère le soir. Et toi ?

— D’habitude, moi, c’est matin et soir. Parfois plus, annonçai-je fièrement.

— Donc, reprit Franck, ce matin, tu t’es branlé ?

— Eh bien non, figure-toi.

Je racontai à Franck mon aventure matinale avec Marc.

— Tu me racontes des conneries, fit Franck.

— Je te jure que c’est vrai.

— Je ne te crois pas.

— N’empêche que ça te fait bander, lui fis-je en constatant que son pantalon de pyjama était déformé.

— Ben tu me racontes un truc cochon, c’est normal que je bande.

— Fais voir, demandai-je.

Franck baissa sa culotte de toile et exhiba fièrement son pénis dressé.

— Ce que je crois, fit-il, c’est que tu veux me sucer, oui.

— Ça, ça peut se faire, si tu en as envie, lançai-je.

— À une seule condition.

— Laquelle ?

— Demain, je viens dans ta chambre pour prendre le petit déjeuner et vous recommencez avec Marc.

— Tu veux nous mater ?

— Exactement.

— Et si Marc ne veut pas ?

— On avisera. Alors tu es d’accord ?

— C’est OK pour moi, répondis-je.

— Alors, suce-moi en attendant, me fit Franck avec une voix sensuelle tout en se levant et en se plantant devant moi.

Je lui ôtai son haut de pyjama. Il était à présent complètement nu. J’attrapai la belle bite ainsi offerte et commençai à lui lécher le gland.

— Qu’est-ce que c’est bon, murmura-t-il en tressaillant !

— Laisse-toi aller, lui recommandai-je avant d’enfoncer son gland entre mes lèvres.

Franck n’arrêtait pas de gémir alors que ma langue honorait l’extrémité de sa queue. J’avais posé une main sur son cul et de l’autre, je lui pétrissais les couilles. Je m’attendais à ce qu’il jouisse rapidement vu que c’était la première fois qu’on lui taillait une pipe, mais le petit Franck tenait malgré tout la distance. Je pus ainsi profiter un long moment de sa délicieuse bite. Puis, les jambes de Franck se mirent à gigoter et à s’écarter.

— Je sens que ça vient, chuchota-t-il.

Délaissant un court instant son pénis, je lui annonçai :

— Je veux que tu éjacules dans ma bouche.

Puis, je repris ma fellation en le fixant dans les yeux. Son regard commença à se brouiller. Sa bouche prit une forme un peu bizarre et il commença à respirer très fort avant de se tordre de plaisir au point où je dus le maintenir par les fesses pour ne pas qu’il tombe. Je sentis alors le flux saccadé de son sperme se déverser sur ma langue, accompagné d’un long cri de jouissance, avant de le faire disparaître dans mon estomac.

— En tout cas, je sais maintenant que tu es un suceur de bites, me lança Franck.

— Tu as trouvé ça comment ?

— C’était divin, répondit-il.

— Je suis donc un excellent suceur de bites, fis-je en rigolant.

— Ben, je n’ai pas de possibilité de comparer… pour le moment. Mais dès que je me serai fait sucer par quelqu’un d’autre, je te promets de te dire si oui ou non tu es un excellent suceur.

Franck alla ensuite à la douche et nous nous retrouvâmes 20 minutes plus tard dans le hall pour partir à la plage. Nous n’avions pas eu de nouvelles de Didier et Laurent alors nous passâmes la journée ensemble. Franck n’arrêtait pas de me questionner sur le sexe, sur ce que je faisais avec d’autres mecs. Je lui avais en effet dit que j’étais 100 % homo, tout du moins pour le moment. Vu les questions qu’il me posait, je me suis dit que je pourrais sans doute aller plus loin avec lui.

Ce soir-là, nous nous sommes retrouvés Franck et moi dans ma chambre, comme convenu. Mais ce que nous avions envisagé la veille, c’était de refaire une petite partie de branle à deux. Compte tenu de ce qui s’était passé le matin même, je pensais bien que nous n’en resterions pas là. Et je ne fus vraiment, mais alors, vraiment, pas déçu !