Café au lait (1)


Café au lait (1)
Texte paru le 2009-10-09 par CharlieBrown   Drapeau-fr.svg
Ce récit a été publié sur Gai-Éros avec l'autorisation de l'auteur



Cet auteur vous présente 25 texte(s) sur Gai-Éros.

Ce texte a été lu 14597 fois depuis sa publication (* ou depuis juin 2013 si le texte a été publié antérieurement)

(ne fonctionne qu'avec les auteurs qui sont des usagers validés sur l'archive)

© 2009 — Tous droits réservés par CharlieBrown.


Template-Books.pngSérie : Café au lait

Mon histoire s’est passée il y a une dizaine d’années. J’avais 16 ans à l’époque, 1m83, 73 kg, sportif (handball), une petite sœur de six ans et mes parents avaient planifié une semaine de vacances à la montagne. Mon père a un vieux pote antillais qui avait un fils âgé de 14 ans à l’époque. Cyril (c’est son prénom) n’était jamais allé skier, ses parents n’ayant pas trop les moyens de l’emmener lui et ses quatre sœurs. Mon paternel avait alors proposé d’emmener Cyril. Moi, ça me plaisait bien car ça me ferait un pote, même plus jeune que moi, parce que ça n’est pas toujours simple à 16 ans d’avoir une sœur aussi petite. On se connaissait juste un peu pour les fois où nos parents respectifs s’étaient invités à manger et cela faisait plus d’un an qu’on ne s’était pas croisés.

Mes vieux avaient réservé deux chambres dans l’hôtel: une pour eux et ma sœur, et une pour Cyril et moi. Ce dernier était émerveillé de voir autant de neige et la première journée fut passée à lui apprendre à skier. Pour un débutant, il se démerdait pas mal et on a pu finir (après de nombreuses chutes dans la neige) par une piste rouge. Il faut dire qu’il est très sportif: il avait fait cinq ans de judo et en était à sa septième année de football. De plus, sa petite taille - à peine 1m60 - lui donnait un centre de gravité bas qui l’aidait bien.

Quand on est rentré vers 16h30, on est allé direct dans notre chambre pendant que mes parents allaient boire un chocolat chaud au bar de l’hôtel. On a commencé à enlever nos combinaisons de ski. En dessous, il portait un boxer blanc HOM (c’était vraiment le tout début des boxers, pas comme maintenant) et un tee-shirt. Je n’avais pas fait gaffe le matin (j’étais encore endormi sans doute) mais je trouvais ces sous-vêtements carrément cool et en plus, il avait un petit cul bien bombé qui mettait en valeur ce vêtement (et son cul!). À cette époque, je n’avais pas de penchant particulier, ni pour les mecs, ni pour les nanas. J’avais bien sûr déjà embrassé une fille mais ça ne me gênait pas non plus de mater les mecs à la gym dans les vestiaires.

— Je vais me doucher, me dit Cyril.

— OK, vas-y, je vais allumer la télé en attendant.

Il a viré alors son tee-shirt devant moi. Discrètement, j’ai maté la «bête». Il avait déjà de beaux petits abdos, des biceps bien arrondis et surtout, une superbe touffe frisée sous les bras. Je ne me rappelais pas avoir eu autant de poils avant 15 ans et demi. De plus, sa peau «café au lait» était très agréable à regarder. J’ai attendu qu’il ait fermé la salle de bains pour me dessaper à mon tour. J’allumais la télé et m’allongeait en mini-slip et torse nu sur le lit. Quand il est revenu, il avait encore plein d’eau sur le corps et sa serviette enroulée autour de la taille.

— À toi!

Je suis allé me doucher en emportant un slip propre que du coup je trouvais fade par rapport à son boxer.

Vers 19h30, on est allé dîner avec mes parents et on est remonté se coucher vers 22h30. On a maté la télé jusqu’à minuit, allongés sur le lit. Puis vers minuit, on l’a éteinte et on s’est mis, moi en pyjama, lui avec un nouveau boxer (noir) qu’il avait enfilé après sa douche et un tee-shirt sans manche. J’ai éteint la lumière.

Au bout de cinq minutes (je n’arrivais pas à dormir malgré ma journée de ski), je l’ai entendu dire:

— Franck (c’est moi)? T’as déjà couché avec une meuf?

—  Heu… Non. J’en ai déjà embrassé mais je ne suis jamais allé plus loin. Et toi?

— Ouais. Y’a quatre mois.

Surpris, je lui dis:

— Mais t’as que 14 ans, Cyril!

— Et alors, grand béta, y’a un âge pour démarrer?

— Ben… heu… non. C’est surprenant, c’est tout. La plupart de mes potes en seconde sont comme moi, puceaux. Et t’as fait ça beaucoup de fois?

— Non, deux ou trois fois avec une copine, mais je sors plus avec elle.

Je commençais à bander dans mon bas de pyjama que je sentais se tendre.

— Et c’est comment alors?

— Comment, quoi?

— Ben, de baiser avec une nana!

— Super simple, tu rentres ta queue dans sa chatte et tu niques.

— Très drôle! C’est pas ce que je voulais dire. Ça fait quoi?

Il a réfléchi et m’a répondu:

— C’est un peu dur au début, mais dès que c’est bien mouillé, tu as la queue qui glisse dans sa chatte. T’as l’impression de l’avoir mis dans un endroit bien chaud et humide. T’as le gland qui frotte contre sa peau, la sueur qui te coule sur le corps et quand tu sans que ça vient, tout ton corps qui se contracte et ton sperme qui jaillit d’un seul coup. Beaucoup mieux que quand tu te branles seul.

J’avais la queue en feu avec ce qu’il me racontait et je sentais le pré-sperme poindre au bout. J’ai senti soudainement sa main se poser sur ma bite. Ça m’a fait un choc électrique et je l’ai entendu rigoler.

— Ben mon salaud, ça a l’air de t’exciter ce que je te raconte!

Un peu abasourdi, je lui dis:

— T’es marrant, toi! Tu me racontes comment tu niques et tu voudrais que je reste insensible?

— T’inquiète pas, je bande aussi! Touche!

J’ai posé délicatement ma main sur le devant de son boxer, ne sachant si je devais le faire. Sa queue était aussi raide que la mienne.

— Comment tu la trouves?

— Hein? Quoi?

— Ma bite! Comment tu la trouves? Grosse? Petite? Je voudrais savoir.

— T’as pas demandé à ta meuf? Elle devrait savoir, elle!

Et là, il éclate de rire.

— Parce que tu m’as cru? T’as vraiment cru que j’avais déjà baisé?

— Ben oui. Pourquoi? C’est pas vrai?

— Ben non! Je voulais juste savoir l’effet que ça te ferait si je te racontais un truc comme ça. En tout cas, t’as bien marché et ça t’a bien excité.

Je l’ai senti s’asseoir dans le lit.

— Je vais plus pouvoir dormir avec la trique que j’ai, dit-il.

— Et moi donc! Mon pyjama est tendu comme un chapiteau de cirque.

— Tu veux que je t’aide?

— À quoi?

— À faire partir ta trique, Franck…

Silence.

— Alors?

— Alors quoi? T’as quoi à proposer? T’as amené un film de cul ou quoi?

J’ai alors senti sa main se glisser sous ma veste de pyjama entre deux boutons.

— Non, je parle de traitement «live», pas des images.

Je le laissais caresser doucement ma poitrine.

— J’avais envie de faire ça depuis tout à l’heure quand je t’ai vu torse nu après ma douche. T’as déjà plein de poils sur la poitrine, mec.

C’est vrai que de ce côté-là, ça avait poussé très rapidement ces six derniers mois et que j’en étais assez fier, à côté de la plupart de mes potes souvent imberbes de ce côté-là. Ne sachant comment réagir, je laissais Cyril défaire deux boutons et plonger sa main plus avant sur mon torse. J’étais resté allongé et ça me faisait du bien.

— T’as l’air expert, on dirait.

— Tu rigoles? C’est la première fois que je fais ça. Tu veux pas enlever ta veste, Franck?

Ce que je fis. Je sentis alors ses deux mains passer doucement au dessus de ma peau et mes poils. Je ressentis des frissons et du plaisir monter en moi. Ses mains descendirent lentement le long de mon corps pour arriver à mon bas-ventre. Je sentis ses doigts fouiller ma toison pubienne puis caresser ma queue dressée.

— Elle est belle», dit il en chuchotant.

Je n’en pouvais plus.

— Allume la veilleuse, Cyril, je vais pas tenir si tu continues.

Il se redressa et alluma la lampe de chevet. Je vis son visage café au lait près du mien, souriant de toutes ses dents. Son boxer était lui aussi tendu par sa queue en rut. Il enleva son tee-shirt sans manche et je pus admirer de nouveau son petit corps musclé.

— Allonge-toi à ton tour, Cyril.

Ce qu’il fit sans se faire prier. Je passais à mon tour mes mains sur son torse imberbe, mais solide. Elles allaient de ses abdos qui se tendaient à chaque passage jusqu’à son visage encore enfantin. Il soupirait d’aise. Je fis alors ce que je pensais improbable il y a quelques heures: j’attrapais l’élastique de son boxer et le faisais glisser sous ses fesses qu’il souleva pour m’aider. Sa bite surgit, au milieu de son buisson tout frisé, peu dru et peu large. Sa queue noire n’était pas très grande (environ 13 ou 14 cm) mais déjà bien épaisse pour son âge et circoncise. J’enlevais aussi mon bas de pyjama, ma bite venant se cogner contre mes abdos. Il sourit en la voyant.

— Je savais qu’elle était belle, dit il en la flattant de caresses m’électrisant de suite.

Sans nous concerter, nous nous mîmes en position de 69 et nous caressâmes chacun la bite de l’autre. Je crachais dans mes mains et faisait coulisser son sexe entre mes doigts. Il fit de même et je sentais le plaisir m’envahir. C’était la première fois que je branlais quelqu’un (homme ou femme) et lui aussi. Puis nos mains parcoururent le corps de l’autre dans son entier. Lui se focalisait sur ma pilosité d’adolescent presque mûr et moi sur ses belles fesses noires sans poils et bien rondes. C’est Cyril qui se risque le premier à prendre ma queue dans sa bouche. Ce fut un nouveau choc électrique et du coup, je laissais tomber ma visite «manuelle» pour me laisser pomper par le jeune antillais.

Même si par la suite de ma vie je sus que ce n’était pas la meilleure pipe que j’ai pu avoir, ce jour là, j’étais en extase sous les coups de langue de mon jeune ami. Ma queue faisait 16 cm à l’époque (elle en fait 19 aujourd’hui) mais il arrivait à l’entrer entièrement dans sa gorge et venir mettre son nez dans ma toison brune. Il attrapa aussi mes couilles de ses mains douces et les malaxa longuement tandis que je sentais ma sève grimper le long de ma tige. Je retirais alors ma queue, ne voulant pas juter dans sa bouche. Je me calmais puis l’allongeais à son tour et entreprenais de lui rendre la pareille. Je commençais par lui lécher les tétons, durcis par le plaisir, puis sa plaque de chocolat, puis enfin sa jeune tige épaisse. Cyril se tortillait de plaisir sous mes coups de langue et sous mes caresses sous les bourses.

Sa respiration devenait de plus en plus forte et il me dit dans un souffle qu’il n’allait pas tarder à jouir. Je gardais son sexe dans ma bouche le plus longtemps possible. Je sentis tout son corps tressaillir, ses abdos se tendre et j’enlevais tout juste avant qu’il ne jouisse largement sur son torse et son bas-ventre en poussant des petits cris. Il garda les yeux fermés et j’étalais délicatement son sperme sur ses abdos.

— Waoww! Trop fort! dit-il enfin.

Il ouvrit les yeux, me sourit, se redressa en s’asseyant et approcha ses lèvres des miennes. Sans un mot, nous nous embrassâmes longuement. Nos queues durcirent de nouveau.

— On va s’arrêter là pour ce soir, dis-je.

Je me levais en prenant la direction de la douche. Cyril me suivait, la queue encore droite et le sperme collé sur son corps. Quand l’eau chaude coula, nous nous glissâmes tous les deux dans la cabine, chacun nettoyant l’autre. Je ne pus m’empêcher néanmoins de caresser encore ses belles fesses et c’est en nous masturbant que nous avons terminé notre douche.

— Je peux dormir avec ton boxer? Je trouve ça cool comme slip.

— Vas-y, pas de soucis, j’en ai d’autres et celui là est assez élastique pour que tu le mettes (il avait un taille M et je faisais du L).

C’est ainsi que nous nous endormîmes ce soir là, comblés et heureux.

À suivre...



Dernier courriel connu de l'auteur : charlie_brown8080@yahoo.fr