Café au lait (2)


Café au lait (2)
Texte paru le 2009-10-13 par CharlieBrown   Drapeau-fr.svg
Ce récit a été publié sur Gai-Éros avec l'autorisation de l'auteur



Cet auteur vous présente 25 texte(s) sur Gai-Éros.

Ce texte a été lu 9323 fois depuis sa publication (* ou depuis juin 2013 si le texte a été publié antérieurement)

(ne fonctionne qu'avec les auteurs qui sont des usagers validés sur l'archive)

© 2009 — Tous droits réservés par CharlieBrown.


Template-Books.pngSérie : Café au lait

La semaine qui suivit fut trop courte pour moi. Cyril et moi n’avons pas arrêté de skier, du fait d’un temps superbe, mais aussi parce que le jeune antillais progressait vite, ce qui nous permettait de faire des balades longues sans mes parents qui s’occupaient de ma petite sœur. De plus, même si nous avions deux ans d’écart, je m’étais fait un nouveau pote. Mais dans sa tête, Cyril avait plus que 14 ans. Il était très ouvert sur un tas de choses, avait des réflexions plus proches de mes collègues de seconde que d’un collégien tout bête. D’ailleurs, il avait sauté une classe et était en troisième.

N’allez pas croire que nous attendions le soir avec impatience pour nous envoyer en l’air! La première approche effectuée par Cyril était surtout pour nous une découverte, puisque ni lui ni moi n’avions jamais été plus loin que d’embrasser une fille. Le quatrième soir, après le repas, mon père m’avait fait une remarque sur ma barbe naissante. C’est vrai que j’avais commencé à me raser il y a quatre mois mais une fois par semaine était suffisant. Là, du fait du voyage le week-end et vu qu’on était déjà mardi, ça commençait à faire «sale», comme disait mon père assez à cheval là-dessus.

En remontant, j’avais laissé Cyril en slip sur le lit et j’étais allé dans la salle de bains, me doucher d’abord, puis me raser. Pour cela, j’étais resté à poil après la douche et j’avais étalé la mousse à raser sur mon visage. Je n’avais pas fermé la porte. Je n’entendis pas Cyril entrer, ni ne le vis dans le miroir. Alors que j’attaquais le rasage lui-même, je sentis quelque chose sur mes fesses. Je me coupais du coup et me retournai. Je faillis trébucher sur Cyril qui s’était mis à genoux (c’est pour ça que je ne l’avais pas vu dans le miroir).

«Qu’est-ce que tu fous là?» dis-je, le rasoir à la main et la mousse sur le visage. Il me sourit et me fit signe de me retourner face au miroir. Ce que je fis. Je sentis alors ses mains se poser sur mes fesses, légèrement velues. Il les caressait doucement, rendant du coup ma bite dure comme du bois. Elle buta d’abord contre le lavabo, puis se retrouva dressée au dessus. J’avançais doucement mon corps afin que mes bourses se posent sur le bord froid de ce même lavabo. Cyril écarta alors délicatement mes deux globes, glissant un doigt humide dans ma raie. Je gémis doucement de ce contact nouveau encore pour moi.

Puis je sursautais en sentant sa langue venir lécher mes poils.

— Tu fais quoi, mek?

— Je te matais depuis le lit et j’ai eu envie de venir lécher ton cul poilu, Franck!

Je me repositionnais de nouveau en m’écartant du lavabo et en penchant mon corps en avant, cambrant un petit plus mon cul pour lui faciliter le passage. Sa langue courut le long de la raie avant de s’arrêter sur ma rosette. Cette sensation me fit fermer les yeux, durcir ma bite et lâcher des soupirs de plaisir.

Cyril entreprit de la lécher, puis de pénétrer lentement sa langue à l’intérieur. «Heureusement que je viens de prendre ma douche!», pensais-je. C’était très bon et Cyril touchait des points sensibles que je ne connaissais pas. Ma queue était trop dure et je me mis à me masturber. Ses deux mains étaient de chaque côté de mes fesses et je sentais son nez accompagner sa langue fouineuse. J’accélérais ma branlette et dans un petit cri, lâchais la sauce dans le lavabo.

— Putain! Quel panard! C’était trop bien, Cyril!

— C’est vrai? Ça t'a plu?

— Regarde ce qu’il y a dans le lavabo et tu comprendras!

Il se redressa, la queue compressée dans son slip (le premier que je le voyais porter de la semaine après tous ses boxers) et rigola.

— Effectivement, ça t’a plu.

Je penchais la tête pour l’embrasser goulument, ma main courant sur le tissu de son slip.

— T’as l’air bien excité aussi, mek! Va te doucher et je te rends la pareille.

Il enleva son slip et la queue droite, se dirigea vers la douche.

— Et lave bien ton cul, si tu vois ce que je veux dire!

Je retournais sur le lit et enfilais à mon tour un slip. Au bout de cinq minutes, il revint, la queue débandée mais encore épaisse de sa trique.

— Allonge toi sur le ventre et relève les fesses.

Il ne se fit pas prier. Je m’installais à genoux derrière lui et caressais son beau petit cul noir et bombé sans poils.

— J’adore tes fesses, Cyril! Elles sont si rondes et si appétissantes.

J’écartais les deux globes en ébène et remarquai qu’il n’avait pas non plus de poils dans la raie, mais pas un seul! Je pris rapidement les opérations en main en y glissant ma langue. Ça sentait bon le shampooing. Au fur et à mesure que ma langue le pénétrait, il remuait le bassin, excité comme un toutou avec son os. Je l’entendais gémir sous mes coups de langue. J’attrapais sa queue par-dessous lui et le branlais en même temps. Son souffle s’accélérait. Je tentais alors de remplacer ma langue par un doigt. Il cria un peu mais lorsque celui-ci le fourragea plus profondément, ce furent des gémissements de plaisir qui le remplacèrent.

— Oh oui, continue, Franck. C’est bon, va plus loin encore. Hummmm...

Je ne me fis pas prier. Un doigt dans le cul, l’autre main sur sa pine à le branler et je sentais bien que la mayonnaise n’allait pas tarder à monter. Dans une succession de petits cris, il lâcha sa purée sur le lit. J’enlevais alors ma main mais continuai doucement à faire glisser mon doigt dans son anus. Il n’ouvrit les yeux que lorsque je l’enlevai. Il resta sur le ventre, fatigué.

— Fais gaffe, mek, tu vas mettre du foutre partout!

Il se releva, sourire aux lèvres.

— Putain! Si t’as joui comme j’ai joui, t’as du prendre ton pied, non?

— C’est sûr, Cyril. Ça fait trois ans que je me branle tout seul et jamais j’ai ressenti ce que tu m’as fait l’autre jour et aujourd’hui.

Il se rapprocha de moi et me roula une pelle délicieuse. Nous reprîmes une douche et nous rejoignîmes mes parents dans la salle télé.

— Alors, les jeunes, vous faisiez quoi? me dit mon père.

— Rien, papa. Je me suis rasé et on a discuté.

La semaine se termina (malheureusement) et Cyril retourna chez ses vieux. Nous habitions à 40 kilomètres et nous décidions de nous revoir aux vacances d’été.

À suivre…



Dernier courriel connu de l'auteur : charlie_brown8080@yahoo.fr