Chaleur du soir
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Texte d'archive:
Date de publication/archivage: 2014-07-14 Auteur: Christophe |
Lisant Hommes pour hommes depuis pas mal de temps, je m’étais dit que, dès qu’il m'arriverait une histoire pas mal, je vous écrirais. Eh bien ! ça y est.
Étudiant nantais, je vais à la piscine du campus chaque vendredi et samedi soir, pour m’entretenir physiquement et surtout pour mater les mecs. Ce soir-là, j’étais resté jusqu’à ce qu’un mec bien foutu, qui m’avait plus maté que je ne l’avais fait, aille aux vestiaires et douches. Je sortis du bassin juste après lui, il avait la même taille que moi, à peu près 1m68, une musculature proportionnée à sa taille et surtout un slip vraiment bien rempli. Il m’avait vu sortir du bassin et me regardait en souriant. Il voulait la même chose que moi. On se retrouva dans une cabine. Il s’approcha de moi et on se roula un patin à ne plus pouvoir respirer. Je lui caressai le corps, le dos et lui descendis le slip, il fit de même pour moi et on put se repaître de la vue de nos bites érigées : la sienne était plus courte que la mienne mais beaucoup plus épaisse. Je commençais à l’embrasser un peu partout, il s’adossa au mur les jambes écartées et laissa ses bras pendre.
Il était presque imberbe. Je lui mordillais les tétons, passais ma langue sur ses abdos et j’arrivais enfin sur sa queue bien épaisse et bien dure. Il n’arrêtait pas de gémir, de tendre son corps en avant. Je le plaquais au mur et commençai à lui travailler les couilles, bien lourdes. Je tirais dessus un peu, jusqu’à ce qu’il gémisse encore plus fort. Il aimait ça. Je lui pris la queue dans une main et la décalottai violemment. Le gland était rouge, épais, je passai ma langue dessus et le pris en bouche en tirant toujours autour de sa queue. Je refermai ma bouche sur sa bite et commençai à l’avaler. J’ai eu du mal, car elle avait un sacré diamètre. Puis je la sentis buter au fond de ma gorge, et là, c’est lui qui se servit de ma bouche comme d’un cul. Il ne me ménageait pas, allait et venait rapidement, ressortait sa bite entièrement, toute gluante de salive et la renfonçait d’un seul coup. Les larmes me montaient aux yeux, mais c’était tellement bon ! Ses mains s’agrippaient à mes cheveux, cette queue épaisse me distendait la bouche... et d’un seul coup, il éjacula, me lâchant toute sa semence au fond de la gorge, chaude et abondante. Il se retira et s’affala sur le sol en me souriant. «Maintenant c’est ton tour !» me dit-il.
Il me fit asseoir sur le banc de la cabine, les jambes écartées et me caressa tout le corps, me mordilla partout et commença à me tailler une pipe. Pendant ce temps, je me penchais en avant et lui écartais les fesses. Il se laissa faire et tira de son sac un tube de Nivéa. Il reprit ma bite en bouche et je m’enduisis les doigts et sa rondelle de crème. Je mis un doigt et un deuxième. Ses mains serraient de plus en plus mes hanches. Un troisième doigt et il fut fin prêt. Il lâcha ma bite luisante de salive, je restai assis sur le banc et il vint se mettre à califourchon sur moi. Je pris ma bite en main et l’approchai de son anus. Il descendit son corps lentement et s’empala. «Oh oui ! Hum ! C'est bon !» me dit-il. Je n’en pouvais plus, il savait serrer son cul quand il le fallait, imprimer des mouvements longs, se laisser retomber entièrement sur mon corps, ses fesses écrasant mes couilles. Depuis longtemps il s’était remis à bander et je commençais à le branler durement. Il criait presque et je donnais moi aussi des coups de hanches en avant, m’enfonçant plus fort à chaque fois. Il rebondissait sur mon corps, entièrement en sueur, les muscles saillants. On était comme des bêtes, râlant, jurant, nos corps s’entrechoquant et on a joui tous les deux en même temps longuement, moi m’épanchant par saccades en lui, et lui m’aspeigeant le torse. Je restai en lui, il se mit contre moi : nos corps encore brûlants se caressèrent. Il se retira, souriant toujours.
Depuis, chaque vendredi soir, à la piscine, on se retrouve dans la même cabine. Des fois, il emmène un copain, des fois c’est moi et c’est des partouzes délirantes !
Christophe