Comme des cuillers emboîtées
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Texte d'archive:
Date de publication/archivage: 2012-09-11 Auteur: Sylvain |
Là, j'avais tiré le gros lot. C'est ce que je me suis dit alors que je limais son trou humide. On était dans la position des cuillers qui s'emboîtent, sur le côté, à «la paresseuse». C'est le meilleur moyen pour profiter longtemps et pleinement d'un cul juteux. Et là, j’avais mon engin de taille respectable bien planté entre ses deux miches. J'allais et venais tout doucement, et ça glissait rudement bien. Parfois, j'empoignais son engin presqu'aussi gros que le mien, et j'avais l'impression que c 'était le mien qui l’avait traversé et que je branlais.
Mon minet était vraiment en chaleur. Il gémissait sans arrêt, complètement ailleurs. Mon limage avait l'air de tellement lui plaire qu'il répétait tout le temps dans un râle: «Elle est bonne, ta queue! Ah, j'aime ça, c'est bon! Tu me fais du bien!...» Et en disant ça, il faisait jouer son sphincter autour de mon sexe. Moi, je lui mordais les oreilles ou le cou pour ne pas jouir tout de suite. Mais j'ai senti que je ne pourrais plus tenir longtemps. J'ai dit à Pascal: «Je vais bientôt jouir dans ton cul!» Il m a répondu: «Oui, vas-y, lâche-moi tout dans le cul, c'est bon!» Mon orgasme est venu presque doucement et tout a explosé dans mon crâne. J'ai à peine senti que Pascal jouissait dans ma main, lui aussi. Nous nous sommes endormis ainsi, moi avec ma queue dans son cul.
Au cours de la nuit, on a recommencé deux fois. Le matin, pour le remercier de tant de plaisirs, je l'ai sucé jusqu'au bout, et j'ai avalé son jus de jeune petit minet imberbe. Il avait encore de la ressource, l'animal!
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