Comment j'y suis venu (01)
Texte paru le 2018-12-29 par Charly Chast

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'''Épisode 01 - La Découverte'''
Ça faisait un moment que j'y pensais… Très exactement depuis le soir ou par le plus grand des hasards j'étais tombé sur un site Internet ou on voyait deux hommes étrangement costumés. Au début, j'ai pensé à un costume genre exhibition. Ils étaient presque nus, et portaient une sorte de ceinture en métal et un cache-sexe en métal également. Un objet assez volumineux qui me faisait tout de suite fantasmer. Bien sûr c'était juste un déguisement pour une soirée, un jeu sexuel juste pour un moment, quelques heures, une soirée…
Je m'attardais sur le site, et rapidement je comprenais que si c'était bien un dispositif pour un jeu sexuel. Ce n’était pas forcément juste pour quelques heures…
J'avais du mal à y croire, le dispositif paraissait énorme et je ne voyais pas vraiment comment on pouvait le porter en permanence. Il devait gêner dans les mouvements les plus simples et il devait aussi être très visible sous des vêtements normaux. Aucune chance de le porter avec des vêtements un peu serrés, même si on ne porte pas de pantalon ''moule boule'', seuls des vêtements très larges permettent de porter ce genre de truc… Et certainement pas sur une longue période !
Par la suite, je faisais des recherches et je trouvais plein d'autres dispositifs sous le titre ''ceinture de chasteté''… Le terme ceinture était bien exagéré, la plus grande partie de ces dispositifs n'avait aucun rapport avec la ceinture. C'était des cages ou des tubes de chasteté.
À chaque fois que je me retrouvais sur un de ces sites, je fantasmais et au bout de quelques instants je bandais…
J'en voulais un !
Je me documentais donc longuement sans en parler à mes proches. Francis aurait bien rigolé en voyant ce genre de truc et si je lui avais dit que ça me faisait envie, que je voulais faire cette expérience, que je voulais savoir ce qu'on ressentait quand on avait la queue coincée dans ce genre de cage… Ça devait être… je ne sais pas… excitant… frustrant… en un mot, bandant !
* Ça fait mal ? |
Je me posais ces questions. Je cherchais et finissais par trouver des réponses. Pas toutes les réponses, mais j'arrivais à bien me documenter. Il restait le problème de la taille ! Je n'ai pas une bite si grosse que ça, mais au niveau diamètre, si, quand même un peu. Au niveau longueur, seize bons centimètres, mais au niveau largeur, pas loin de cinq…
Je vous dis ça, mais c'est en érection bien sûr. En position repos, c'est plus petit. Mais comment savoir quelle taille il faut ? Une bite, ça change tout le temps de taille ! Rikiki quand on vient de se baigner dans la mer, l’eau est froide… Pas forcément trop grosse quand on sort de la baignoire… Sous une douche chaude, ça pendouille et rapidement ça prend un certain volume et si on profite de la situation du moment pour se frictionner bien ça devient rapidement beaucoup plus gros. Là ça ne pendouille plus du tout et c'est un gros bazar qui se redresse fièrement presque à la verticale quand on est jeune et un peu plus à l'horizontale quand on est plus vieux… Bon, c'est la vie…
J'en profite pour faire un aparté… S'il y a des garçons qui ne comprennent pas de quoi je parle et qui se disent… ''Mais qu'est-ce qu'il raconte ?'' Ou encore ''De quoi il cause ? Je ne comprends rien !'' Un conseil, allez consulter ! Ce n’est pas forcément grave, mais il faut en parler !
Bon, je reviens à mes moutons ! Enfin mes moutons… Là, je serais plutôt en train de jouer aux boules. Une queue, des boules et ce n’est pas du billard… Mais qu'est-ce que c'est donc ? Prenez la queue avec la main, doucement, mais fermement, serrez bien la main autour de ce manche, ce n’est pas ça qu'on appelle un joy-stick, mais on pourrait, ça le fait. Ramenez la main à la base de la queue en tirant la peau, à l'extrémité ça se débouche (oh comment je dis ça moi !). Si vous êtes circoncis, à l'extrémité c'est déjà débouché depuis le début, mais vous pouvez continuer à procéder…
Avec une de ces cages autour de la queue on ne peut pas faire ça. Je jetais un œil sur mon écran d'ordinateur et continuais à me frictionner la bite, mon gland se dégageait puis se recouvrait en même temps que ma main s'activait. Ma queue était dure comme du bois et se relevait fièrement. Je continuais à m'astiquer la queue, j'accélérais le mouvement, je ralentissais puis reprenais… Sur l'écran, je faisais défiler les images, il y avait différents dispositifs, j'avais la cervelle en feu et je refermais la main de toutes mes forces sur ma queue, elle résistait, elle restait ferme et dure. Le gland se dégageait complètement, le prépuce restait resserré à la base de mon gland. Différents modèles de dispositifs de chasteté défilaient sur mon écran, ils avaient de l'imagination les fabricants…
Je changeais de main ! Quand on vous dit… ''Change pas de main, ça vient !'', il ne faut pas prendre l'expression au mot… Surtout que moi je n’étais pas pressé que ça vienne… Je prenais mon temps. Les images ne défilaient plus sur mon écran. Je crachais abondamment dans ma main. Quand on en vient à se frictionner le gland, il ne faut jamais le faire à sec. Je refermais ma main sur mon gland, crachais de nouveau et me frictionnais la queue sur toute sa longueur. Doucement sur le gland, plus fermement sur le reste. J'attrapais du gel dans un tiroir, en déposais une bonne dose sur le bout de ma queue et reprenais avec un peu plus de fermeté. Je refermais doucement ma main autour de mon gland, le frictionnais comme pour le reste de ma queue, refermais plus fermement ma main et continuais. Et finissais par la serrer de toutes mes forces et me frictionnais alors le gland avec force. Je penchais la tête en arrière et commençais à respirer fort !
Je ramenais lentement ma main vers la base de ma bite, je tirais sur la peau à la limite de la douleur. Je rajoutais encore une bonne dose de gel et continuais. Au moment où je caressais mon gland, je refermais ma main avec une force extrême, je relâchais un peu pour ne pas trop tirer sur la peau. Je m'attardais sur le gland qui était maintenant lubrifié à l'extrême, je serrais de toutes mes forces et faisais tourner ma main dans un mouvement circulaire. Je frissonnais, je tremblais et respirais avec force.
Je changeais de main de nouveau, m'essuyais la main sur mon pantalon et reprenais la souris, les photos défilaient de nouveau sur mon écran. C'est doucement que je me caressais la bite maintenant, ma respiration redevenait normale, j'avais failli jouir. Je ne voulais pas jouir, je m'imaginais avec un dispositif de chasteté, une cage ou un tube autour de ma queue… Mais le problème restait le même, c'était un problème de taille. Comment on calcule la taille du truc qu'il fallait prendre, en plus je suis large, il me faut une longueur normale ou à peu près, mais taille large !
Je me documentais. Il devait bien y avoir un site qui parle des mesures à prendre et comment les prendre. Avec la main gauche, je continuais à me masturber avec plus ou moins de vigueur, peu à peu je me laissais aller.
Ne pas jouir ! Ne plus jouir ! Pendant combien de temps ? Frustration ! Désir, le plaisir vient du désir, mais si le désir est paralysé, bloqué, la frustration peut-elle devenir un plaisir ? Je bandais fort, ma queue était de nouveau dure comme du bois et se contractait par intermittence, je respirais fort de nouveau, je n'arrêtais pas les mouvements de ma main, je ne pouvais plus m'arrêter, je ne le voulais pas pourtant, je ne voulais pas jouir. Je remettais une nouvelle dose de gel et c'est avec les deux mains que je me masturbais maintenant.
D'une main je me frictionnais la queue, de l'autre je me frictionnais le gland. Je refermais les deux mains de toutes mes forces et avec un mouvement de rotation, une main dans un sens, la seconde dans l'autre sens je me branlais avec vigueur. C'était bon, je me retenais de jouir tant que je le pouvais, mon souffle était irrégulier, je ne regardais plus mon écran, je ne pouvais plus arrêter, mes mains ne m'auraient pas obéi… Je frissonnais et brusquement échappant à mon contrôle je passais le point de non-retour, mes mouvements devenaient frénétiques puis j'éjaculais avec violence, je m'étais penché en arrière, je tremblais en gémissant et je recevais une giclée de sperme sur la figure. C'était bon, terriblement bon. Je tremblais, une autre giclée et une autre encore, je suçais mes doigts, ils étaient recouverts de sperme, c'était bon !
J'avais pris mon plaisir, je me sentais bien. Je me laissais tomber en arrière, mon fauteuil se penchait et je ne bougeais plus, je restais là tranquille, je reprenais mon souffle, je devais probablement arborer un grand sourire béat.
C'est cool la chasteté ! Enfin, je ne suis pas sûr que ce que je viens de dire ait vraiment du sens ! Mais bon…
Dans les jours qui suivaient, je continuais mes recherches (et mes branlettes), je finissais par trouver les informations que je cherchais, la mesure de la longueur de la cage, la largeur… Le diamètre du cockring…
Je commandais un de ces dispositifs ! Pour n'embarrasser personne, je ne vous donnerai ni la marque ni le modèle… J'veux pas avoir des ennuis moi !
Pendant les jours qui suivaient, je me rendais sur le site tous les jours. Je me posais plein de questions sur ce qu'on pouvait ressentir, si c'était facile à enfiler, si ça faisait mal, si on pouvait bouger normalement, si ça se voyait… J'étais rassuré, le témoignage d'un mec qui portait un truc comme ça me le confirmait… C'était cool… Je m'inquiétais, le témoignage d'un mec qui portait ce truc racontait exactement le contraire… Ce n’était pas cool !
La livraison traînait, c'est toujours trop long quand on attend. Je surveillais ma boîte aux lettres tous les jours, mais rien ne venait…
Francis (un régulier) me trouvait de plus en plus câlin. Je ne lui racontais rien, mais il devinait, il pressentait que quelque chose était en train de changer en moi…
J'étais beaucoup plus attentif, plus attentionné. On se voyait toujours régulièrement, il passait me voir ou je passais le voir et on passait de bons moments ensemble.
Francis est actif, très actif même. Moi, je suis actif aussi ! Enfin bon, je suis surtout passif ! Et Francis est bien monté. On n'est pas en couple, on est potes de baise et on est amis aussi… Amis de baise… Enfin, on baise, on s’envoie en l'air, il m'encule, des fois je l'encule aussi, mais moins souvent ! Lui il s'en passe très bien !
Eh oui ! Je suis aussi un branleur… Hé, hé, hé !
Enfin avec Francis on ne fait pas que baiser… On sort, on voit du monde, on va boire un verre, cinéma, ballades… Non, non, il ne faut pas s'imaginer que… En fait, on fait plein de choses ensemble. L'autre jour par exemple il est passé me voir sans prévenir, je lui ai proposé une bière et… Bon d'accord, là c'est un mauvais exemple, on n'est pas sorti, on n'a pas vraiment parlé, on n'a pas regardé un film… On a baisé… Enfin, il s'est fait plaisir, et moi aussi d'ailleurs !
Il avait une grosse envie subite en passant dans le quartier où j'habite, il a dit. Il s'est arrêté, c'était à midi et il avait travaillé le matin, l'après-midi il travaillait aussi. Moi j'étais chaud, je venais de faire quelques recherches sur l'Internet. Toujours le dispositif de chasteté, je n'avais pas encore reçu le mien. J'avais une grosse envie aussi.
Entre nous, on ne fait pas de manière, il est rentré et dès que j'ai refermé la porte il m'a embrassé avec passion, je l'ai pris dans mes bras et je lui ai rendu son baiser. Vous n'imaginez tout de même pas que j'allais le repousser !
— Francis : J'avais une petite heure de liberté, tu me suces la queue, tu serais mignon !
Il me disait ça en ouvrant puis en baissant son pantalon sans faire plus de manières… Et hop, c'était parti !
J'aime bien sa queue, elle est belle, bien droite, de bonne taille, il a un gland superbe, bien large. Il ne doit pas être plus large que moi, mais il fait bien quatre ou cinq centimètres de plus en longueur. C'est sans hésiter que je me mettais à genoux, je lui ouvrais la braguette et prenais sa bite dans ma bouche, il était un peu surpris par une réaction aussi rapide, c'est vrai que là je démarrais au quart de tour, et il ne bandait pas totalement quand je commençais à le sucer, je vous rassure, ça ne durait pas !
— Francis : Mais on se calme !
Il se retirait doucement, il avait l'air amusé.
— Francis : Je serai mieux assis sur le fauteuil… Tu as quelque chose à boire ?
Il baissait son pantalon sur ses chevilles et s'installait confortablement sur le fauteuil une bière à la main, il écartait bien les cuisses. Je le regardais faire, il avait le sourire, il relevait la tête vers moi, nos regards se croisaient…
— Francis : Vas-y ! Je te laisse faire…
Je tombais à nouveau à genoux devant lui, il bandait ferme à ce moment, il ne se tripotait pas, ne prenait pas la peine de se stimuler, il s'en remettait entièrement à moi. Je lui caressais rapidement la bite avec douceur puis lui donnais un baiser sur le gland, je passais ma langue en insistant sur l'ouverture de l’urètre. J'ouvrais bien large la bouche et prenais son gland dans ma bouche tout en lui caressant la queue, je passais ma langue autour de cette partie très sensible et il réagissait rapidement par des gémissements destinés à m'encourager.
Je penchais la tête un peu plus et sa queue rentrait plus profond, il me caressait la tête. Sa main posée sur ma nuque il me massait doucement le cuir chevelu, son autre main me caressait la joue. Je m’appliquais à lui faire plaisir. Je bandais moi aussi, mais je ne voulais pas me branler, je n'ouvrais même pas mon pantalon et je ne me tripotais pas… Mais je bandais ferme !
Brusquement, sans prévenir, avec ses deux mains il appuyait sur ma tête et j'avalais de force sa queue sur toute sa longueur jusqu'au fond de ma gorge. Par surprise, je résistais, puis je me ressaisissais et le laissais faire.
Je relevais la tête, il gardait ses deux mains sur l'arrière de ma tête, il me laissait respirer puis sans prévenir, au moment où il le décidait il relevait son bassin et appuyait fort sur ma tête. Je sentais son gland me rentrer dans la gorge. C'était violent, un instant je ne pouvais plus respirer, il me maintenait un instant comme ça, me relâchait, se laissait retomber et recommençait. C'était irrégulier, c'était comme il le sentait, c'était lui qui pilotait. Moi je suivais, moi j'encaissais !
Il me laissait un petit moment reprendre mon souffle et sans prévenir recommençait. Sans pitié. Je sais qu'il m'aime beaucoup ce petit gars, mais je peux vous garantir qu'à ce moment ce n'est pas à moi qu'il pensait… Il ne pensait qu'à son plaisir ! S'il voyait que je manquais de souffle, il me laissait respirer un instant, je relevais les yeux vers lui, il me regardait et me souriait.
Vous savez, il faut faire du sport si on veut être un bon suceur, surtout si votre partenaire est monté comme mon petit Francis… Ben oui, il faut avoir du souffle… Enfin, je dis ça, mais justement j'en fais ! Hé, hé, hé.
Je sentais ses muscles se détendre, il me caressait la tête avec douceur maintenant. Je m'activais, j'avalais sa queue, je relevais la tête de plus en plus vite. Quand je relevais la tête, je le masturbais doucement avec la main, je lui caressais le gland, c'est là que c'est le plus sensible et il réagissait puis à nouveau j'avalais sa queue. Sa respiration devenait plus forte, plus rapide et je sentais arriver une conclusion proche. Brusquement, je le sentais se contracter, il me surprenait en me saisissant ma tête fermement avec les deux mains. Il relevait son bassin avec force et vigueur. Il me donnait des coups de reins contre ma figure et en même temps appuyait sur ma tête de toutes ses forces, je ne pouvais que subir, qu'encaisser ! J'aime bien, mais là il y allait un peu fort ! J'encaissais !
Il éjaculait dans ma bouche et je sentais son sperme couler dans ma gorge, sur ma langue… Tous ses muscles se détendaient alors en même temps et il se laissait tomber sur le fauteuil, inerte. Je gardais encore un moment sa queue dans ma bouche et je la sentais se ramollir. Elle ressortait doucement et je continuais la succion ; quand elle ressortait de ma bouche elle était toute propre, pas une goutte de sperme, elle était humide et je l'essuyais avec mon mouchoir. Il me regardait faire avec un petit sourire. Il débandait rapidement, se relevait et refermait son pantalon, enfin il terminait sa bière !
— Francis : Tu suces de mieux en mieux mon petit Dean !
— Moi : Merci, c'est gentil.
— Francis : Je ne te rends pas la politesse, il faut que je reprenne le boulot dans pas longtemps.
— Moi : Mais ce n’est pas grave, ça m'a fait plaisir.
— Francis : Pas qu'à toi !
Il me quittait rapidement après m'avoir donné un tendre et chaste baiser dans le cou. Il avait le sourire, moi aussi j'avais le sourire… Je pensais alors à regarder dans ma boîte aux lettres.
Ouais ! Il y avait un colis. Un petit colis dans un emballage discret, comme prévu !
Rapidement, je rentrais avec ce petit paquet. Frénétiquement, je l'ouvrais. C'était bien ça. Je bandais comme un malade. J'examinais l'objet, ça me semblait petit et je me demandais comment ma bite pourrait tenir là-dedans. Je l'examinais sous tous les angles et ce petit truc me semblait énorme, dans le pantalon il devrait être visible. On le remarquerait de loin. On ne verrait que ça !
Bon, vous allez vous dire que je ne suis jamais content ! Ce n’est pas vrai ! Bon, ce n’est pas toujours faux ! Mais là, il y avait de quoi ! Je baissais mon pantalon et ma bite était bien plus grosse que le truc, c’est vrai que je n'avais pas un pantalon particulièrement serré et on ne voyait pas forcément que je bandais (si, si, je faisais un essai devant le miroir de l’entrée) … Finalement, ce n’était peut-être pas si gros que ça, en tous cas pas trop gros. Non, c'était trop petit !
Je voulais l'essayer tout de suite, oui, mais… Je bandais toujours comme un malade… Bon, il ne me restait plus qu'une chose à faire, et comme je vous disais, je suis un pro !
Donc je me branlais !