Contrôlé par un père très sévère (02)


Contrôlé par un père très sévère (02)
Texte paru le 2020-04-06 par Jerome3140   Drapeau-be.svg
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Les choses ont peu changé après cette nuit. D’abord, ma cage de chasteté est restée en place à mon grand désarroi ; papa voulait que je sente qu'il était toujours mon maître, je suppose. Et c’était aussi un moyen pour me taquiner et pour m’humilier comme l’obligation que j’ai eue de me raser les poils du pubis, de mes couilles et même sous mes aisselles.


Donc, dès le lendemain de mon anniversaire, papa a fait la loi. A partir de maintenant je devais me lever trente minutes plus tôt et le réveiller avec une belle pipe douce mais qui prenait parfois d’autres dimensions et s’il n’était pas satisfait de mes services, il me foutait une raclée d’au moins dix minutes avec ses grandes paluches.


Puis, je devais préparer le petit déjeuner car papa avait besoin d’un petit déjeuner copieux pour conserver son physique et s’il n’était pas satisfait de mes services, il me foutait aussi une raclée d’au moins dix minutes avec ses grandes paluches.


Dans le pire des cas, il ne me restait pas de temps pour m’occuper de moi-même et il m’arrivait parfois d’aller à l’école sans m’être laver et je terminais mon habillage sur mon vélo occupé à sprinter pour ne pas arriver en retard aux cours.


Papa s'attendait à ce que je garde mes notes que j'avais depuis mes quatorze ans et la cage était bien meilleure. Il me dit qu’il serait très sévère en cas de résultats moindres et certainement en cas d’échec. Aussi toute retenue le mercredi donnerait lieu à une punition doublée d’interdictions ou de sanctions.


Donc je devais faire attention à mes travaux scolaires mais aussi à ma tenue en classe vis-à-vis des élèves et des profs pour ne pas risquer une retenue pour indiscipline ou injure par exemple. Je devais aussi faire un maximum de devoirs et de leçons entre les cours pour être disponible le plus tôt possible pour papa, une fois rentré.


Après l'école, papa s'attendait à ce que je rentre directement à la maison et très vite, il m’a interdit d’aller à l’école à vélo. Et si le matin, malgré tout, j’avais presque toujours assez de temps pour aller à l’école, le soir il m’obligeait à courir et pour arriver fatigué, humble et en sueur à la maison.


Une fois rentré, je devais me déshabiller le plus vite possible et plier soigneusement mes affaires près de la porte d’entrée et, une fois totalement nu, je devais courir jusqu’au salon, me mettre à genoux, mains sur la tête, en attente de ses ordres.


La plupart du temps, papa était là regardant la télé ou lisant un livre. Si je n'étais pas à ses pieds comme un chien à 16h20 (les cours finissant à 16h00) j’étais puni et il n’acceptait aucune excuse. Et comme correction, c’était toujours la fessée.


Si papa n'était pas là (ce qui arrivait pas très souvent puisque papa travaillait de la maison) je devais l'attendre à genoux mains sur la tête dans le hall d’entrée, jusqu'à son arrivée. Je ne pouvais me mouvoir que lorsque le téléphone sonnait dans son bureau ou quand on sonnait à la porte. Dans ce cas-là, je devais enfiler un jock rose de danseur qui était accroché d’une façon très visible près de la porte d’entrée; ceci pour être légalement présentable (mais complètement humilié) si je devais saluer un étranger.


Normalement, papa commençait la soirée avec une tâche humiliante comme servir de repose-pied pour ses baskets pointure 47 souvent sales après le sport pendant qu’il dégustait une bière en se relaxant. Parfois il voulait que je lui donne un bain avec ma langue, le léchant partout avec une spéciale attention aux zones érogènes et finissant presque toujours avec un long, très long léchage de son mandrin.


Sur le même thème, il me donnait de temps en temps ses vêtements et sous-vêtements trempés de sueur qu’il portait à la salle de sport et je devais d’abord les porter, puis je devais renifler et sucer chaque pièce vestimentaire jusqu'à ce que j’ais son odeur, son parfum collé sur mon corps et dans ma tête.


D'autres fois, il me donnait un objet, un gode ou un fouet par exemple que je devais utiliser sur moi-même pour son plus grand amusement. S'il n'était pas impressionné par ma tentative, il prendrait la chose lui-même en main et augmenterait le niveau de douleur ou d'humiliation jusqu'à ce que je le supplie d’arrêter.


Ceci est devenu notre routine. Nous cuisinons aussi à tour de rôle. Quand c’est mon tour, je fais des repas extravagants essayant de me surpasser à chaque fois pour qu'il soit gentil et content et, comme récompense, peut-être qu’il me branlerait avant de devoir aller au lit - ce qui était le meilleur soulagement sexuel que je pouvais espérer la plupart du temps.


Quand papa cuisine il en va tout autrement. Il se nourrit d’abord lui-même et ensuite quand il est repu, je dois manger tout ce qu’il me laisse avec, habituellement, un ingrédient de plus, soit sa ou ma pisse, ses crachats, son ou mon sperme et même parfois sa sueur. Ces jours-là, je mange dans une écuelle par terre avec une cuillère mais le plus souvent avec mes mains attachées dans le dos sous son regard amusé.


Il me donne bien sûr du temps pour finir mes travaux scolaires, mais toute la soirée je suis en stand-by pour lui servir de jouet, pour les jeux qu’il voudrait me faire subir. Cela signifiait que je ne savais jamais combien de temps j’aurais pour moi. En moyenne, papa se déchargeait cinq fois par jour et il ne pouvait pas supporter de gaspiller une éjaculation qui ne me nourrissait pas ou qui n’arrivait pas dans mon cul de salope.


Aussi, j'essayais d’être toujours propre et lubrifié, parce que je devais toujours être prêt à l’emploi. Mais j'ai découvert que sa faiblesse était le culte de son corps. Je parvenais à le rendre plus doux, gentil en lui caressant et en suçant ses bras musclés et son torse… s’il m’en donnait la chance. Mais le plus souvent je me retrouvais enchaîné à mon lit ou au sien humilié, puni, bâillonné mais surtout baisé… parfois pendant des heures.


Le week-end, papa avait des plans spéciaux qui impliquaient des sorties comme le premier samedi après mes 16 ans.


Ce samedi-là, papa m'a réveillé tôt. Moi, j'étais groggy à cause de l’insomnie de la nuit écoulée mais j’ai obéi quand il m’a dit de mettre un short ample. Je ne comprenais pas ce qui se passait mais j’étais heureux de pouvoir porter des vêtements… ce qui était devenu rare.


Papa lui portait le même short que moi et une chemise hawaïenne. Après le petit-déjeuner que nous avons pris ensemble pour la première fois il m’a dit tout en ébouriffant mes cheveux :


— Tu es une bonne petite salope, tu le sais bien, mon garçon ? Je ne pensais pas que tu pourrais t’adapter aussi vite. Mais tu t’en sors très bien. Ne me déçois pas ma pute !


J’ai rougi en entendant ces compliments/insultes qui me faisaient à la fois chaud au cœur et m’humiliait en même temps.


Une fois la cuisine en ordre, il m’a dit :


— Viens fiston, on va faire un tour en bagnole.


Comme il venait d’acheter une nouvelle voiture, je pensais qu’il voulait la tester et nous avons pris la route, lui au volant et quand nous étions sur une route secondaire il m’a cédé le volant ; j’étais très surpris.


C’est vrai que chez mes grands-parents j’ai appris à conduire à treize ans mais que sur des chemins privés et à seize ans, je n’étais toujours pas en âge de conduire sur les routes ; je n’avais pas l’âge pour avoir un permis de conduire ! Il m’a dit :


—Ok, mon garçon, tu te souviens comment tout fonctionne ici ?


Et j’ai acquiescé. J’étais assis au volant torse nu et papa à côté de moi. Doucement j’ai pris la route, tranquillement et papa semblait content. Mais bien vite, j’ai commencé à m'inquiéter… Et si la police, s’ils découvraient que j'étais mineur… mais déjà, papa m’a fait signe de prendre à gauche et, à ma grande surprise nous étions sur une autoroute. Mais comme nous étions matinal, il n’y avait quasi pas de trafic.


— Maintenant, mon garçon, accélère pour monter sur l’autoroute ! Je veux que tu fasses du 120 à l’heure, le maximum de la vitesse autorisée !


Et je l’ai fait, je transpirais à cause du trac. Puis derrière moi, une voiture a commencé à nous dépasser ; je devenais nerveux, à la limite je voulais rentrer à la maison.


— Fiston, je sais que tu es nerveux, et c'est bon. Je suis là. Je ne laisserai rien nous arriver.


Alors, soudainement, papa a tiré mon short vers le bas sur mes genoux, puis jusque sur mes chevilles, il a sorti une petite clé miracle de sa poche et défait ma prison personnelle, laissant ma bite exploser en plein air.


Instinctivement, elle a gonflé et ma respiration était saccadée et je me sentais vacillé.


— Tu es tellement chaud quand tu as peur, mon garçon.


En disant cela, sa main était déjà sur ma bite raide et il a commencé à me branler lentement tenant ma queue vers le bas. Je tremblais et je transpirais au volant. Il a lâché brusquement ma bite vers le haut et comme par enchantement je me suis détendu. Mais déjà papa avait un autre challenge pour moi.


— Ok, fiston, tu te mets maintenant sur la bande de gauche et je veux que tu accélères, que tu dépasses cette bagnole !


Mon cœur martelait ma poitrine et nous allions bien trop vite ; déjà 10 km/h trop vite…et papa a commencé à me branler plus vite.


— Plus vite petite salope, conduis cette bagnole plus vite !


Et j’ai mis tout mon poids sur la pédale de l’accélérateur tandis que papa se penchait sur moi et s’est mis à me sucer la bite. J’avais le souffle coupé et j’en perdais presque le contrôle de la voiture. La seule chose que je voulais c’est de pouvoir fermer mes yeux pour me perdre dans les sensations.


Mais comme j’étais au volant, je devais bien garder mes yeux grands ouverts sur la route.


— Plus vite, petit enfoiré ! Grognait papa en train de me sucer.


Nous avons dépassé les 160 km/h, puis presque les 180. La moindre courbe de la route pouvait devenir un problème. Si une voiture de police nous attrapait maintenant, nous risquions la prison !


Je frissonnais quand j’ai senti que je m’approchais de mon orgasme et papa qui me faisait toujours accélérer… près de 200 à l’heure puis le moteur rugissait à fond alors que nous dépassions les 215 km/h.


Nous allions trop vite, bien trop vite et j’ai eu un moment de panique… nous n’allons pas nous en sortir vivant… Et tout à coup, j’ai explosé dans la bouche de papa. Tout mon corps tremblait et ruisselait de sueur froide.


Je commençais à défaillir et a dévié de la route. Papa s’est alors redressé laissant ma bite seule et avec ses mains fortes, il a saisi le volant et nous sommes revenus sur la route à une vitesse normale. Tout ce temps, ma bite n'avait pas cessé de juter et j'avais éjaculé sur mon ventre et ma poitrine.


— Calme-toi, petite garce ! Reprends le contrôle ! J’espère que tu as apprécié ?


Je ne pouvais dire que :


— Oui, papa.


C'était sûrement l'orgasme le plus intense de ma vie. Je tremblais, c’était complètement dingue mais j’avais adoré.


Mais mon premier samedi de mes seize ans était loin d’être terminé.


On est sorti de l’autoroute et on s’est arrêté dans une station-service et nous nous sommes dirigés vers les toilettes. Contre le mur extérieur, se trouvait l'un de ces longs urinoirs en métal n’offrant aucune intimité et qui sentait les produits chimiques des toilettes publiques mélangée à une odeur corporelle et de pisse.


Je voyais à la tête de papa qu’il était plus qu’excité et son sourire en coin ne m’annonçait rien de bon. Il a posé une main sur mon épaule et m’a ordonné :


— Fous-toi à poil !


Je n'avais pas grand-chose à enlever, juste mon short et une paire de sandales et papa, à ma grande surprise les a laissé tomber dans l’urinoir.


— Ok, petit pédé de fils, tu m'as fait tellement vibrer quand je t’ai sucé que je vais me payer sur ta petite personne.


Puis, nous sommes rentrés dans les chiottes et là, l’urinoir était en fait un mur couvert de plaques en métal où l’eau coulait en permanence dans une rigole qui récupère aussi les urines des pisseurs. Moi, j’ai dû prendre place en face de papa. Avec mon dos contre le métal froid et humide ce qui a eu comme effet de faire frissonner ma peau nue.


— A genoux ! Je veux que tu ne fasses plus qu’un avec ce pissoir.


J’ai fait face au mur de métal, mon visage recevant toute la flotte de l’urinoir. Papa est venu se mettre au-dessus de moi et a crié :


— Ouvre grand ta gueule de sale pédé, de petite pute !


Papa sortit sa bite monstrueuse à demi dure et a visé mon visage.


— Tiens ta gueule de soumis bien ouverte et avale tout ; je le veux ! Criait papa pendant que sa bite pissait et ruisselait sur mon jeune visage.


Je n'avais encore jamais goûté de la pisse, même pas la mienne, mais tout à coup j’en voulais désespérément plus. J'ai essayé d'avaler autant que je pouvais, mais papa à la longue, papa a continué à bouger sa bite pour que tout mon visage, tout mon corps en profite ; j’étais trempé par sa pisse.


Ce que je pouvais goûter était diablement délicieux et je voulais que chaque goutte qui sorte de la bite de mon père sous quelque forme que cela soit me nourrisse ou me désaltère. Papa a alors branlé sa bite bien dure (cela n'a pas pris longtemps) et l'a enfoncé dans mon petit trou encore ouvert qui me sert de bouche.


— Oh putain ouais, avale-moi, avale toute ma queue !


Papa a percuté le fond de ma gorge, et c’était douloureux. Moi, je voulais sucer son gland et sa tige mais papa ne m'a pas laissé le choix, il m'a baisé la gorge comme il baise ma chatte sans égard pour ce que je voulais.


— Oh merde, quel fils ! A-t-il gémit pendant qu’il me tringlait ma gueule de salope.


J’ai réussi à prendre la totalité de sa bite jusqu’au fond de ma gorge et même si cela me faisait mal je le faisais simplement pour lui plaire, pour lui être agréable mais aussi comme soumis. Il m’a baisé si longtemps que j’en pleurais et que mes larmes mêlées à ma morve me coulaient sur la figure mais il tenait l’arrière de ma tête qui était comme empalée sur sa bite. Enfin, il a craché son nectar. Il se mordait la lèvre pour ne pas rugir mais son premier jet m’a presque étouffé et je pense que son orgasme était monumental.


Papa a baissé les yeux sur son propre fils, assis dans l’urinoir, couvert de pisse, et d’eau, dégoulinant de sperme et il souriait de satisfaction. Sa bite était encore toujours dans ma bouche et je sentais qu’elle se contractait pour m’offrir ses derniers jets. Puis, la bite de papa a glissé entre mes lèvres, sa respiration commençait à se normaliser. Papa souriait et je l’ai embrassé amoureusement ; pas sa bouche, mais sa queue et ses couilles poilues.


Moi, j’étais encore toujours à poil aux chiottes quand nous avons entendu les pétarades de quelques motos. Papa est allé à leur rencontre sur le parking m’obligeant de rester à genoux les mains sur la tête en attendant la suite des événements.


Il s’est avéré que c’était un ami de papa, un ami de jeu qui était accompagné de deux de ses (comment dirais-je) de ses jouets, de ses soumis, de ses larbins. Papa est revenu aux toilettes avec son ami et les deux gars qui devaient avoir au maximum vingt ans et papa a dit :


— L’ami, voici mon fils de seize ans, Julien ; il est en formation pour devenir une vraie pute.


Et le gars a ajouté :


— Si je comprends bien, on fait coup double : on s’occupe de l’apprentissage du tien et mes deux chiens vont avoir leur petit os pour s’amuser pendant que nous on va s’abreuver.


Papa et son ami sont allés vers le bar et les deux gars sont restés près de moi, très près de moi et je dirais même en moi. Mais commençons par le début. L’un des gars, Éric est sorti un instant et est revenu avec un petit sac à dos et durant son absence, l’autre, Alban, m’a embrassé et joué avec mes couilles un bon moment.


Du sac, il a sorti des cordes et en moins de deux, je me retrouvais suspendu par les bras, mes pieds touchant à peine le sol.


— Tu sais, chez nous, avec notre maître, avant d’être baisé, il aime nous faire souffrir et on va en faire de même avec toi.


Ils avaient chacun une cravache en main et ils m’ont frappé durement jusqu’à ce que je pleure comme un gosse et que je les supplie d’arrêter et que je ferai tout ce qu’ils voudront, même boire leur pisse. Alors, Éric a ajouté :


— On ne s’arrêtera que si on peut te chier dessus.


Et je souffrais tellement que j’ai accepté. Ils m’ont détaché et je suis devenu leur jouet. Ils se sont tous deux foutus à poil et tous deux avaient une bite bien plus petite et mince que celle de papa et, malgré que je n’ai perdu ma virginité que depuis quelques jours et qu’en plus, ils n’avaient pas de lubrifiant c’est presque sans douleur que le premier m’a pris pendant que je devais sucer l’autre.


Mais le pire c’est que tout le temps, sans discontinuer les deux gars me donnaient des fessées sur mon cul et des gifles en pleine figure à tel point que les larmes coulaient sur mon visage alors qu’ils me baisaient brutalement ; ce qui n'a fait qu’exciter encore plus mes deux tortionnaires.


Quand tous les deux s’étaient vidés dans mon cul, ils se sont aussi mis à me pisser dessus ensemble et comme Alban bandait encore très fortement, il s’est approché de moi, m’a pissé en bouche avant de me baiser encore la gueule.


Nous avons entendu revenir papa et son ami mais cela n’a pas empêché Éric de me chier sur le ventre alors que nos maîtres revenaient, et ni Alban d’aller récupérer le foutre qui coulait de mon cul et de me le foutre en bouche en m’obligeant de lécher ses doigts. Dois-je dire que je bandais à fond… surtout que papa ne m’avait pas encore remis ma cage de chasteté.


Avant de prendre congé de son ami, papa m’a offert, après qu’il m’ait pissé dessus pour enlever l’étron sur mon ventre, à son ami tandis que lui baisait ma gueule de salope.


Papa m'a fait remercier Éric et Alban à haute voix, voix qui était assez rauque puis me tenant par le cou il m’a fait traverser tout nu le parking jusqu’à la voiture ne se souciant ni des gens ni des caméras de surveillance. Il m'a jeté sur le siège passager, s’est assis à son tour au volant et il a rattaché ma cage. C’est à ce moment-là que je me suis rendu compte que j’avais au moins juté une fois durant cette dernière séance puisque mon sperme sortait encore un peu de ma bite rasée.


L’odeur de sperme a commencé à devenir un peu trop forte alors papa a ouvert les fenêtres et quand nous étions sur l’autoroute, chaque fois que nous dépassions un camion, papa ralentissait et klaxonnait pour que le type voit mon corps nu et crasseux ; une humiliation de plus à laquelle papa me soumettait.


Nous sommes finalement arrivés à la maison vers le milieu de l'après-midi. Nous sommes sortis de la voiture et papa m’a dit :


— Fiston, tu sens le stupre et la merde !


Mais cela ne l'a pas empêché de goûter à ma bouche avec sa langue tout en me soulevant et portant mon corps fatigué jusque dans la salle de bain où il m’a lavé complètement sous la douche.


Ensuite, il m'a encore porté jusque dans ma chambre et il m’a attaché au lit et durant près d’une heure il m’a baisé lentement et quand il m’a rempli les entrailles de son foutre, je m’étais endormi. Il s’est penché sur moi, m’a embrassé sur le front avant de baisser mes jambes dans une position plus confortable et de couvrir mon corps immobile d’un édredon. Puis il a quitté ma chambre sans dire un mot.


Malheureusement, les choses n’en sont pas restées là. Papa est devenu encore plus strict, sévère et les jeux sexuels ont pris d’autres dimensions.


A suivre…