Cul blanc pour bite black
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Texte d'archive:
Date de publication/archivage: 2017-07-28 Auteur: Thierry |
C’est en France, où j’étais en vacances au mois d’avril, que j’ai découvert votre magazine qui devrait être distribué sous le soleil des Antilles. Récemment, comme cela m’arrive parfois, je sortis me balader dans Pointe-à-Pître vers 1h30 du matin. Au carrefour d’une me je croise un mec qui m’interpelle assez gentiment, puis plus directement:
— Qu’est-ce que tu fais: tu donnes ou tu reçois?
— Je donne!
— Ah bon! et c’est comment en longueur, en largeur?
— Devine!
— Je veux bien voir!
Et là, je soulève mon tee-shirt car j’ai la bite à l’air. J’adore me balader comme ça. Il se jette dessus sous le réverbère, et me taille une pipe sans se soucier du lieu où nous nous trouvons. Adossé à un véhicule, je lui maintiens la tête avec mes mains et je m’enfonce tant c’est bon. Tout d’un coup je l’arrête.
— Nous serions mieux dans un endroit plus discret.
Nous nous dirigeons alors vers un quai peu éclairé jusque dans un vieux conteneur ouvert. Là, il se jette sur ma queue et je regarde d’en haut ce jeune blond me taillant une turlutte d’enfer ma bite gonfle encore et encore. Soudain il se lève, se tourne et me demande de l’enculer en offrant son petit cul bronzé à ma bite black. Un petit coup de gel et je vois ma pine glisser et disparaître dans ce doux étui, juste à la bonne pointure, et je commence à le ramoner. Il se cambre et en redemande. Il ne bande pas mais qu’est-ce qu’il bouge bien! Je l’empoigne par les hanches et m’active un peu plus, plus vite, et je l’entends gémir; de douleur ou de plaisir, je n’en sais rien... Je lui écarte les fesses et m’enfonce encore plus puissamment. Il se redresse, me caresse les couilles et me supplie de jouir. Dans une dernière poussée, très forte d’ailleurs, je gicle et je le maintiens. Il se dégage enfin et me suce pour goûter à mon foutre chaud, car il me dit adorer le sperme.
Ça me remet vite en condition, mais il refuse de se laisser ramoner à nouveau car il a le cul en feu. C'est dommage car je le culbuterais bien à nouveau, mais c'est une pipe royale qu'il me fait et je lui gicle mon foutre sur le visage. Le contraste de ma bite black sur ses lèvres est hyper-bandant. Après m’avoir tout léché, nous nous rhabillons et partons dans des directions opposées. Je le croise plus loin alors qu’il récupère sa voiture, et il me sourit...
J’ai erré depuis dans le but de le revoir, mais en vain. Un petit cul comme celui-là ne s’oublie pas aussi vite! Tendres câlins des Antilles.
Thierry, 25 ans.