Ebay (01)
Texte paru le 2019-03-06 par Marc31

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Cela fait longtemps que je vis seul, enfin sans épouse, elle m’a quitté pour un autre homme ‘plus viril’ ! Cela ne me dérange plus, elle avait raison, je n’avais jamais été le ‘mec’ qu’elle voulait, je vis maintenant en colocation dans une petite maison en banlieue.
À la maison, je me contente de lire ou de regarder la télévision, ni moi, ni mon colocataire Max, ne sommes des ‘fées du logis’ et disons que l’entretien du ménage laisse à désirer. Son truc à lui, c’est internet, il vend et achète les choses les plus étranges, mais son petit commerce marche bien et souvent je l’aide dans ses investissements.
Un soir, alors que Max découvrait ses nouvelles acquisitions, je l’entendis éclater de rire. Curieux, je jetais un coup d’œil sur le contenu du carton qui le faisait s’esclaffer, c’était un fouillis de robes, de vêtements féminins, c’était bien la première fois que je le voyais acheter cela.
Je lui demandais si c’était ce qu’il avait commandé, il me répondit que non, mais que l’ensemble était en bon état et qu’il pourrait surement les revendre et en tirer un bon prix. Il y avait une bonne vingtaine de robes, jupes et aussi des sous-vêtements, des accessoires. Il prit des photos et il les mit en ligne dans sa boutique virtuelle. Mais ce fut un échec, pas une seule vente ! Il semblait évident que les photos de vêtements posés sur une table, cela n’était pas vendeur, il devrait les mettre en situation, sur un mannequin et même mieux sur un modèle vivant, une femme.
Nous y avons réfléchi, c’était ce qu’il fallait faire, mais où trouver une femme qui accepterait de nous aider ? Et puis cela faisait longtemps que lui et moi étions célibataires, et nous n’avions plus d’amie qui pourrait le faire pour nous... J’ai alors suggéré que nous pourrions servir nous-mêmes de mannequin, mais Max mesurait 1m90, large d’épaules, il ne pourrait jamais entrer dans une de ses robes ! Je faisais 1m65 plutôt ‘fluet’… je devais donc me dévouer. J’ai enlevé mon pantalon, ma chemise et Max m’a aidé à enfiler la première robe, c’était un costume médiéval, une robe longue et très près du corps, il a fallu que je retienne ma respiration pour que Max l’ajuste sur moi et serre les lacets qui marquaient la taille et faisaient ressortir mes fesses. Je me regardais dans le grand miroir et je constatais qu’elle m’allait comme un gant ! Je me sentais bien, la robe épousait mon corps, le tissu était doux, et je me sentais si bien…
— Eh bien voilà, nous avons trouvé un mannequin !
Il prit quelques photos, me fit tourner, marcher, prendre des poses, puis il alla les transférer sur son ordinateur. Pendant ce temps-là, j’allais dans la cuisine nous préparer des boissons, bien sûr toujours en robe, ce n’était pas désagréable, le tissu était doux et me caressait les jambes, le torse, je revins dans la salle et m’assis, je découvris comment me poser avec une robe, mais je le sus d’instinct, passer une main pour tirer le tissu, pour ne pas la froisser, et me poser délicatement… Serrer mes jambes, me poser sur le côté et sans le vouloir vraiment je pris des poses féminines qui le firent sourire.
— Tu sais quoi, les photos sont bonnes, mais il manque quelque chose...
— De quel genre ?
Il me sourit et alla fouiller dans ses boites et revint avec une perruque blonde, une couronne de verroterie, et des bagues, qu’il me fit mettre.
— OK, on refait une nouvelle série, je crois que ce sera mieux !
Je les ai mises, et il fit une nouvelle séance de pose, pendant qu’il travaillait sur son ordinateur, resté seul, pour la première fois je remarquais le désordre qui m’entourait et lorsqu’il revint j’avais débarrassé la table, presque rangé notre désordre habituel, il ne dit rien en voyant cela, mais eut un air approbateur. Il me dit que les photos étaient bien meilleures, bien qu’il avait dû me maquiller virtuellement. Je me levais et tout en regardant son travail, je lui amenais à boire.
Je ne le lui dis pas, mais j’adorais être dans cette robe, le tissu était doux, le corselet me donnait une bien jolie taille, et à chaque pas outre la sensation du tissu glissant sur mes jambes, le ‘frou frou’ du velours me charmait. Je gardais la robe encore deux heures avant que nous décidions d’aller au lit, pendant qu’il m’aidait à me déshabiller, il me demanda comment je me sentais habillé comme cela, je ne lui cachais pas que c’était très agréable, mais que je ne voulais pas qu’il pense que je devenais gay, que ce n’était qu’une mascarade’ pour l’aider dans ses ventes, mais il remarqua surtout que pour une des première fois depuis bien longtemps, j’avais sur le visage, un sourire heureux. Il ne dit rien sauf que j’étais très bien sur les photos qu’il avait déjà mises en ligne.
Je n’aurais pas dû être surpris, mais les enchères s’envolèrent, il était convaincu que c’était ‘la fille’ qui mettait en valeur la robe. L’inévitable se produisit, il avait encore vingt autres robes à vendre, je devais donc lui servir de mannequin pour la journée de samedi.
Il estima, en fait décida, que le lendemain je devrais porter un soutien-gorge, avec des ampli-formes, des collants pour cacher mes quelques polis sur les jambes, une espèce de gaine, une culotte en fait qui aplatissait mon bas ventre, pour cacher ma verge et un peu de maquillage, pas grand-chose, juste un rouge à lèvres, un peu d'eye-liner. Cela irait mieux, me rendrait plus féminine pour les photos, qu'il aurait moins de mal à retoucher.
Le lendemain, je me préparais donc, je mis le soutien-gorge, les autres pièces de lingerie, un peu de maquillage, ma perruque… Un dernier regard avant de le rejoindre dans le salon, oui c’était pas mal, mais je le rejoignis en portant un peignoir pour couvrir mes sous-vêtements cela ne m’avais pas dérangé hier soir de porter une robe, mais aujourd'hui, cette tenu sexy, me troublait, il ne fit pas de commentaire, si ce n’est que c’était parfait pour la séance de pose.
Nous avons commencé par une autre robe, rouge cette fois-ci, une tenue de fille de saloon genre western. Poser, se changer, remettre une autre robe, cela prit un temps que nous n’imaginions pas et lorsque vint l’heure du déjeuner, j’étais habillé en servante ‘rétro’ années 1900. Pour une fois, j’avais pris le temps de nous préparer à manger, en plaisantant, je le servis en l’appelant ‘Monsieur’ et lui demandais s’il y avait autre chose pour ‘le service de Monsieur’, en faisant une petite révérence. Après le repas, j’ai débarrassé la table et fait la vaisselle, choses que je ne faisais jamais d’ordinaire.
Nous avons repris les séances, l’après-midi, mais c’était pour des robes, des jupes un peu plus courtes nécessitant des chaussures de femme à talons hauts. La marche sur ces ‘échasses’ fut un peu délicate à acquérir, mais cela n’était pas si désagréable et me donnait de plus belles jambes galbées. J’appris vite sur ses conseils comment m’assoir, croiser les jambes, sans pour autant être vulgaire en robe courte. Pour certaines robes ‘bustier’ je dus coller à l’aide d’une colle spéciale, mes faux seins directement sur le torse, cela s’avéra bien plus pratique, long à poser exactement, mais rapide pour les changements de sous-vêtements imposés par mes tenues. Lorsque nous avons décidé de nous arrêter je portais une robe de soirée noire, 1950 qui m’arrivait à mi-mollet, la taille était très proche de mon corps et le bustier de dentelle noir était très doux sur mes épaules laissant deviner ma ‘poitrine’ nue… À chaque pas, je pouvais sentir le fin tissu en fait de la soie, glisser sur mon corps, mes jambes, c’était merveilleux comme sensation, j’adorais ! Je pensais devoir l’enlever, mais pas avant d’avoir joué ‘l’épouse‘ à Max, j’ai préparé un bon repas, j’ai mis la table avec des chandeliers, des bougies, une bonne bouteille de vin. J’ai refait mon rouge à lèvres, me suis repoudré et j’allais le chercher à l’ordinateur, en l’appelant ‘Mon chéri’ alors il me répondit en me disant ‘Ma chérie’, ce n’était qu’une plaisanterie, mais nous avons joué le jeu durant tout le repas, faisant comme si j’étais une star des années 50, à son premier rendez-vous avec un producteur.
Après le dîner, je débarrassais la table, fis la vaisselle, j’avais gardé ma robe, je me sentais si bien avec elle, j’avais presque envie de sortir, d’aller boire un verre dans un bar dans cette tenue, mais les starlettes ne vont pas dans les bars, je crois, habillées en robe de soir noir…. Max m’aida à la dégrafer dans le dos. Il me dit que ce jour avait été très agréable, ce que je ne contredis pas, moi aussi j’avais aimé être ‘une autre’ ; je sentais cependant qu’il ne me disait pas tout, une certaine tension, un ‘non-dit’, que je ressentais moi-même. Je dormis avec mes ‘seins’ ne voulant pas avoir à les poser de nouveau le lendemain, c’était un peu étrange comme sensation, mais je m’habituais vite à sentir ce poids sur ma poitrine. Il me vint même à l’idée que je devrais, pourrais mettre une nuisette, une chemise de nuit. En tout cas, je dormis sans haut de pyjama.
Le lendemain dimanche, lorsqu’il s’assit à table j’avais préparé le petit déjeuner et déjà rangé la maison. Il me remercia et posa une boite devant moi, et dit que cela devrait être à ma taille. J’ouvris avec une certaine impatience et découvris une paire de stilletos dorés avec des talons immense ! Il précisa que j’aurais peut-être un peu de mal à m’habituer aux talons, mais que pour les robes prévues… C’était la première fois que je mettais de telles chaussures, je les portais de suite afin de prendre l’habitude de marcher avec. Si je compris comment marcher, je découvris aussi qu’avec de telles chaussures, ma démarche était beaucoup plus féminine, je roulais des hanches et des fesses ! J’essayais de résister, mais après tout, pourquoi pas ? J’étais bien habillé en robe, alors… Et puis cela ne sembla pas le déranger, bien au contraire, je lui trouvais un regard… Voyeur, qui fut loin de me déplaire, après tout c’était le but de la manœuvre, je devais être féminine pour les photos.
— Je suppose que nous allons faire une nouvelle série de photo ?
— Si cela ne te dérange pas...
Bien sûr que cela ne me dérangeait pas, et nous avons fait une série années 60, 50. Les années 60 étaient plus faciles à porter, mais les robes 1950 demandaient de porter une gaine, plutôt un corset, pour affiner la taille, mais cela ne me déplaisait pas, c’était même plutôt amusant, il y avait entre autres des jupes droites ‘crayon’ qui, si elles demandèrent un peu d’expérience pour marcher, me donnait une allure très sexy, marquant bien mes hanches, mes fesses et ma ‘poitrine’. Poitrine qui d’ailleurs semblait maintenant faire partie de moi, le poids des seins en silicone ne me dérangeait plus, j’avais appris à me tenir ‘droite’ en cambrant mes reins. En souriant, je me rappelais une des phrases que ma mère disait à mes sœurs ‘Tiens-toi droite ! Sors ta poitrine !’ Elle avait raison.
Le soir, je préparais encore le dîner, mais habillé cette fois d’une robe rose, je ne l’avais pas enlevée, ni même mes talons, c’était une robe 1960 très ‘twist’, taille marquée, top moulant et j’adorais la faire tourner en marchant dévoilant mon jupon blanc. J’ai encore mis une table de fête, me suis remaquillé et je suis allé le chercher pour le repas.
— Le repas est servi mon "doux chéri".
Je disais cela bien sûr, pour plaisanter, pour détendre l’atmosphère. Je fus surpris par sa réponse.
— Je viens "Ma chérie"…
Il s’est levé, mais en passant il me caressa la taille, je poussais juste un petit cri et croisais son regard.
— Oh !
— Je voulais juste te dire que cela fait du bien d’avoir un peu de beauté, dans cette maison et je t’en remercie.
Il venait de me caresser comme on caresse une femme ! Nous nous sommes regardés, ne sachant que dire, nos yeux se sont croisés, nous ne savions plus que faire, alors sans réfléchir, je me tendis et lui posais un baiser sur la joue. Ses yeux rencontraient les miens, une seconde de trop, il se passait quelque chose… Cela nous ramena à la réalité et nous sommes passés à table avant que cela refroidisse, mais nos doigts se touchèrent autant que c’était possible. Quelque chose venait de se produire et nous le savions, mais nous ne voulions pas en parler.
Nous avons mangé en silence, évitant de nous regarder. Il est retourné après à son ordinateur, pendant que je nettoyais, faisais la vaisselle, puis lorsque vint le moment de me déshabiller, je dus aller lui demander de l’aide, mon chemisier étant boutonné dans le dos, il m’a demandé pourquoi je voulais l’enlever, et je lui répondis que je devais redevenir moi-même.
— Donc si je refuse de déboutonner ce chemisier, tu devras le garder, pour la soirée ?
— Oui.
— Eh bien, je vais le laisser boutonner, je pense qu’il te va très bien, et que tu l’apprécies, davantage que pour faire des photos. Tu aimes être comme cela, et moi j’ai envie de passer la soirée avec une jolie femme, cela n’est pas si fréquent ces derniers temps. Tu veux bien ?
— Je ne sais pas...
Et puis, sans réfléchir, je me suis penché vers lui et lui ai donné un baiser sur la joue, en rougissant un peu. Il me regarda, me demanda :
— Pourquoi ?
— Juste pour te dire merci, je croyais que cela te dérangerait, tu ne m’en veux pas ?
— Pourquoi ? Je n’ai pas été embrassé par une jolie femme depuis longtemps, et puis nous n’avons rien fait de mal, non ?
— Je ne pense pas.
Et nous nous sommes embrassés sur les lèvres, mais juste un bisou, peut-être un peu appuyé, qui me troubla.
Un regard et il s’éloigna, disant qu’il avait encore du travail et qu’il voulait réfléchir. Plus tard, j’ai préparé deux cocktails et je lui en ai amené un, j’avais refait mon maquillage, eye-liner, ombre à paupières, mon rouge à lèvres rouge vif, je ne savais ce qui pourrait arriver, j’avais adoré ce dernier bisou et le frémissement qui m’avait parcouru.
— Je me demandais si tu avais bientôt fini ?
— J’ai presque terminé, mais je me demande, pour la mini robe noire, je crois que c’est peut-être trop sexy…
Je regardais les photos, c’est vrai que la robe était très décolletée et que je dévoilais haut mes jambes, on voyait même le début des jarretelles. Il me trouvait donc ‘sexy’ ? J’étais gêné, mais en même temps heureux, enfin ‘heureuse’ de lui plaire.
— Mais non, pourquoi, je ne te plais pas dedans ? Cela te dérange que je sois "sexy" ?
— Bien sûr que si, tu es charmante, mais pour la mise en vente… Nous pourrons refaire cela, mais je garde les photos !
— Tu as assez travaillé, viens te reposer.
Il se retourna et me sourit.
— Si c’est ‘Ma Chérie’, qui me le demande comment lui dire non ?
Et il passa sa main autour de ma taille, comme tantôt, je me laissais faire quelques secondes, m’appuyant contre lui, et lui posais un baiser sur la joue, je lui dis que la télévision était intéressante et lui demandais s’il voulait la regarder avec moi.
Nous nous sommes retrouvés devant la télé, sur le canapé, à boire notre deuxième verre, j’avais posé mes jambes sous moi, laissant voir mes genoux, mon joli jupon blanc à ‘frou frou’ ; il a passé son bras autour de mes épaules, je me suis blotti contre lui, ma tête sur son épaule, c’était doux, il me caressait et je le laissais faire, peut-être l’effet de l’alcool ? Je me disais que je ne devrais pas le laisser faire, mais je ne me sentais plus moi-même et c’était une sensation merveilleuse, il était grand et fort et je me sentais si bien dans ses bras… Il descendit sa main et me caressa les jambes, glissant sous mon jupon, j’adorais sentir sa caresse sur mes bas de soie, je me blottis encore plus près de lui et je sentis sa verge en érection… je le caressais au travers du pantalon, il ne dit rien, mais je sentais sa verge grossir, prendre une dimension, un volume… Je lui caressais le sexe, il me caressait les cuisses, il ne tarda pas à poser ses lèvres sur les miennes, sa langue se glissa dans ma bouche offerte, notre premier vrai baiser ! J’avais un peu honte, mais je me disais que ce n’était pas vraiment moi, qu’il avait embrassé, mais une jolie femme en jupon…
Lorsque le film se termina, je lui proposais de nous lever et d’aller nous coucher, mais il me dit qu’il n’était pas prêt, un petit Pb… Il prit l’air embarrassé, et me dit qu’il avait besoin d’un ‘soulagement’. Il devait attendre avant de pouvoir se lever. Il avait ses mains sur son entrejambe et je vis une grosse bosse… Il bandait comme un âne !
— Un pipi ou autre chose ? lui dis-je, en rougissant.
Je l’embrassais sur la bouche, c’était un bisou, mais je ressentis de nouveau ce frisson ; le baiser devint passionné, sa langue courrait dans ma bouche offerte, nous nous caressâmes, nos mains courraient sur le corps de l’autre, il glissa ses mains sous ma robe, remonta le long des bas, du porte-jarretelle, et mes fesses, mon cul, pendant que je le masturbais avec amour. Il avait une érection magnifique, je perdis la tête, et glissais mes doigts dans son pantalon. Je chatouillais son gland, il se mit à gémir en fermant les yeux.
— Si je suis une femme, celle qui te plait, je crois que je devrais aller plus loin, enfin si tu le veux bien… lui dis-je en rougissant.
Il ne me répondit pas, parce que nos bouches étaient soudées dans un baiser ‘de feu’, mais il semblait tétanisé. Lentement, j’ai défait sa ceinture, sa braguette, et fais glisser son boxer, je libérais sa bite et ses bourses, c’était la première fois que je touchais une verge autre que la mienne, qu’elle était belle, longue et large, quand je comparais avec ma ‘minuscule’… elle se dressait fièrement, décalottée, superbe, je restais un instant en admiration ; je le branlais doucement la prenant dans ma main et je lui chuchotais à l’oreille ce que ‘sa femme’ voulait lui faire. Il ne dit rien, mais sa contraction valait tous les mots du monde, il bandait encore plus ! En fait, il poussa un gémissement de bonheur et je me mis à genoux devant lui. Je n’avais jamais fait une fellation de ma vie et jamais ma femme ne me l’aurait fait, mais j’avais vu quelques films et surtout un instinct me poussait. Je commençais par embrasser le gland, le léchais doucement puis pris en bouche son pénis ? J’eus un peu de mal, il était si gros, si long ! Le gland courrait sur ma langue, la tête touchait presque le fond de ma gorge… Il prit alors le ‘contrôle des opérations‘. Il me saisit par les oreilles et me guida, afin que sa verge rentre et sorte de ma bouche à un rythme de plus en plus soutenu, je savais ce qui allait arriver, et j’avais un peu peur, mais quand il éjacula deux fois dans ma bouche, qui lui servait de sexe ‘offert’, je ne pouvais reculer, il me tenait trop bien, et il semblait si heureux, il gémissait, enfin il criait de plaisir. Je ne pouvais me dérober à sa jouissance, le premier jet me surprit, c’était chaud et parfumé, je découvrais le gout de son sperme. Ce fut une révélation, j’adorais cela et le second jet, je l’avalais avec plaisir, l’aspirant le faisant tourner dans ma bouche, mon sexe, nous procura un second plaisir, nous étions un, nous jouissions de concert ! Lorsque je sentis sa bite se calmer, je la retirais doucement et le léchais, je le nettoyais avec douceur et dévotions. J’avais encore en bouche le gout de sa jouissance, c’était bon, et pour le remercier j’embrassais sa verge maintenant redevenue plus ‘raisonnable’ en taille.
Max, me fit me relever et m’embrassa longuement, sa salive, son sperme, tout était merveilleux. Il me regarda dans les yeux.
— Bon sang, c’était merveilleux ! Mais, toi, cela va ? Tu as aimé ?
— J’ai adoré, et je crois que toi aussi, j’espère ne pas t’avoir déçu, je le pense pas.
Il m’attira sur le canapé, mon dieu qu’il était fort, il me souleva comme une plume et me prit dans ses bras. Il m’embrassait dans le cou, tout en me caressant les jambes.
Je lui murmurais à l’oreille : "Et maintenant, qu’allons-nous faire ?"
— Eh bien, cela dépendra de ce que ma ‘petite amie’ veut faire, mais personnellement je suis heureux d’avoir trouvé une ‘gentille petite femme’ qui sait faire à manger, tenir la maison et qui sait aussi bien’ s’occuper’ de moi. J’ai adoré. Nous pourrions peut-être penser ‘plus’.
— Bien sûr, à toi de décider, mais je serais heureux de recommencer avec toi ces instants de bonheur, ta bouche est comme un sexe et je l’aime.
Je l’ai embrassé dans le cou, et je me suis levé pour aller préparer deux cocktails, mais en marchant vers la cuisine, je sentais encore le gout de sa jouissance dans ma bouche, le frou-frou du jupon, de ma robe sur mes jambes… Tout me disait que je devais accepter d’être sa ‘femme’, une femme aimante et dévouée à son bonheur, son plaisir. Je me rendais compte que, si j’avais éprouvé du plaisir en lui faisant une fellation, j’avais aussi apprécié de le rendre heureux.
Lorsque je revins dans le salon avec les verres, je m’assis tout contre lui, me blottis dans ses bras.
— Oui, bien sûr que je veux être encore’ ta femme’ j’ai passé un merveilleux week-end, et j’en veux beaucoup d’autres, mais il va falloir renouveler ma garde-robe, si tes affaires marchent bien… À moins que tu ne veuilles en garder quelques-unes ?
Il me dit que bien sûr, il voulait que je sois sa femme, le week-end prochain et qu’il s’occuperait naturellement des vêtements de sa ‘femme’.
J’ai, nous avons passé la semaine en essayant de nous éviter, un homme et une femme, durant le WE, c’était bien, mais deux hommes, cela nous gênait, je ne savais comment assumer ce que je ressentais. Je n’étais quand même pas homosexuel ! Ce que nous avions fait, c’était différent, j’étais un peu se femme, et puis nous avions trop bu. Cependant, je continuais m’occuper de la maison, des repas lorsque je rentrais si nous nous faisions la bise pour nous saluer, ni lui ni moi, nous ne voulions de relations homosexuelles. Ce n’était que des bises sur la joue. Je passais la semaine sur internet à consulter des sites féminins, je m’intéressais à la cuisine, à la coiffure, à la mode, au maquillage. Mais aussi au monde des travestis ; des ‘sissy’, bien sûr que nous n’étions pas homosexuels, mais je me sentais vraiment très proche de ces créatures, qui m’attiraient tout en me faisant, peur de ce que je ressentais. Il n’en allait pas de même de Max qui travaillait sur son site, faisait les envois et durant la semaine, et les colis ont commencé à arriver à la maison.
Max me demanda si je voulais voir ce qu’il avait acheté, mais je lui dis que j’avais prévu, de m’occuper de mon côté féminin, m’épiler, trouver des maquillages, avoir une peau douce… Il fallait que nous pensions à vendre nos vêtements ! Il me comprit, mais il me dit de regarder quand même ce soir certains paquets, cela devrait me plaire.
Je fis comme je l’avais prévu, je m’épilais les jambes, les bras, les fesses et je m’appliquais un fond de teint légèrement halé, mais sur tout le corps. Puis j’ouvris les paquets, un set manucure, avec des ongles, des vernis de toutes les couleurs, deux chemises de nuit, enfin plutôt des nuisettes, et une paire de faux seins, mais du D… avec bien sûr la colle spéciale pour faire tenir 1 kg sur ma poitrine ! Un soutien-gorge était conseillé, mais pour ce soir cela irait, je verrais demain, l’effet en baby-doll était fabuleux, Maryline ! J’ai essayé la perruque, noire et bouclée, merveilleusement féminine et je décidais d’aller me servir un verre dans la cuisine.
Max était dans la pièce, il me regarda, siffla et me dit que j’étais incroyablement sexy ! Il me servit, un puis deux verres de vodka. Je ne bois jamais d’alcool en semaine et cela me monta vite à la tête, il m’attira dans ses bras et ce fut moi qui lui tendis les lèvres… Ah ce baiser, un baiser profond, presque sexuel, je me sentis fondre contre lui et lorsqu’il posa ses mains sur mes épaules, je ne résistais plus, je m’abaissais à genoux devant lui, devant ‘Mon homme’, je voyais la bosse dans son pantalon ? Allais-je être cruelle ? Je n’eus pas vraiment le choix, il avait déjà sorti sa jolie bite, c’était beau et excitant, surtout qu’il avait aussi sorti ses couilles qui faisaient comme un nid d’amour à sa verge. Il bandait fort et sa verge relevait, je n’eus qu’à ouvrir la bouche pour la prendre. Je commençais par embrasser le gland, déjà tout humide, il y avait une semaine que j’attendais ce moment et je savais déjà ce que j’allais faire. Tout en lui caressant les boules, je fis glisser la tête sur ma langue tendue, faisant comme un tapis au corps que j’avalais doucement le faisant venir jusqu’au fond de ma gorge. Comme je m’y attendais il voulut diriger et je lui laissais la direction, après tout c’était surtout son plaisir, j’étais ‘la femme’, ma bouche un sexe offert dans lequel il ne tarda pas à jouir pour mon plus grand bonheur. Je savais maintenant ce qui allait arriver et lorsqu’il éjacula j’étais prête, peut-être pas à la troisième giclée de sperme, mais je l’avalais avec plaisir. J’adorais son miel, un peu épais, parfumé et je levais les yeux lorsque je léchais le gland qui avait su me donner tant de plaisir, il me regardait en souriant, tout en me caressant les cheveux. Je pris conscience de la situation, j’étais là à genoux devant un homme, que je venais de sucer et mon plaisir avait été double, le mien bien sûr, mais surtout celui de savoir que je lui avais fait du bien !
Non, je devais réagir, réfléchir encore, ce n’était pas possible ! Je me relevais, lui fis une bise gentille sur la bouche, et j’allais dans ma chambre. Sans vraiment y réfléchir, je passais une petite nuisette rouge, elle était en satin et si douce, j’en frissonnais. Je dormais en nuisette ! J’ai essayé de dormir, mais je vivais tant de choses nouvelles, je prenais maintenant l’habitude de faire des fellations, j’y prenais presque autant de plaisir que lui… et le poids des mes seins sur ma poitrine, je devais dormir sur le dos !, la sensation de la soie de ma nuisette sur ma peau nue… Cela allait peut être un peu trop loin, je devais m’arrêter, mais en avais je vraiment envie ?
Le matin, je préparais le petit déjeuner pour ‘mon mari’, j’avais passé sur ma nuisette, un déshabillé de dentelles noires, j’étais plus ‘décente’, ‘présentable’, mais je devinais à son regard et à sa main sur mon corps que je lui plaisais, et cela me fit plaisir, non pas un plaisir sexuel, mais le bonheur de lui plaire. Un baiser, presque sage, sur ses lèvres pendant qu’il me tenait par les hanches et nous avons parlé du programme de la journée, j’allais m’occuper du ménage et lui allait travailler sur son ordinateur, mais pas avant d’avoir vérifié la dernière livraison.