Edimbourg (1)
Texte paru le 2013-11-14 par Manuel1

© 2013 — Tous droits réservés par Manuel1.
Il faisait nuit quand on est sorti de l'avion et en attendant ma valise, je suis allé demander Steve dans le hall.
Un mec d'une vingtaine d'année s'est avancé. A jeté un coup d'œil à ma bague et m'a dit que cette nuit on était attendu dans un hôtel moderne de la périphérie, qu'il allait se charger du taxi et des bagages dès que Ben lui aurait indiqué la valise et le sac.
— Si vous avez besoin de moi, n'hésitez pas.
J'ai vu sa bouche s'arrondir et il s'est sucé un doigt en me fixant.
— Ici, ou plus bas. Tout est à vous, Maître.
L'accueil me plaisait. Son air vicieux aussi, je lui ai dit de nous laisser son numéro de portable que j'avais encore du mal avec la langue anglaise.
— J'ai fini mon service dans 1/4 d'heure et si vous voulez aller prendre un verre au bar de l'aéroport je vous l'offrirais avec plaisir.
— OK, Steve.
Ben a montré le sac et la valise et on est allé boire une bière. L'ambiance était déjà différente de chez nous. Plus conviviale surement. Steve est arrivé avec le sac et la valise. Il a attendu le temps qu'on finisse notre bière pour porter le tout jusqu'à un taxi noir ou toutes les places sont derrières, la place avant étant pour les bagages. Il a donné l'adresse et j'ai mis la main entre ses cuisses qu'il a écartées avec complaisance. Comme je l'avais prévu il était prêt et sans slip. Il a réglé le taxi et on a été dirigé vers une chambre impersonnelle, mais confortable. Là, il a baissé son pantalon et remonté sa chemise, montrant une queue bien raide avec de tout petits poils taillés, non rasés, mais roux Il est venu à mes genoux ouvrir ma braguette et a sorti ma queue, donnant de petits coups de langue sur le gland puis des couilles jusqu'au gland. J'ai fait signe à Ben de préparer son cul avec la langue pendant que j'explorais sa bouche de ma queue. Il n'était pas passif, donnant et participant à la partie qui commençait. Caressant mes couilles lisses et s'enfonçant ma queue bien au fond sur mon ventre lisse. Au bout d'un moment, je l'ai appuyé au bureau pour le prendre en levrette , son cul bien salivé par Ben s'est ouvert à la première poussée. Je lui ai claqué les fesses et l'ai laissé s'exciter sur ma queue. En bonne petite lopette, il n'a pas tardé à gémir comme une chienne. Je me suis retenu avant de le retourner, posé sur le bureau et de m'enfiler face à lui. Sa queue raide basculant de gauche à droite au rythme de mes coups de reins. Je l'ai arrêté juste avant de jouir et l'ai fait mettre à genoux pour arroser sa petite gueule de foutre chaud et de le mettre à nettoyer ma queue.
— Merci sir
L'accent n'était pas terrible, mais au moins il l'a dit en français. Il a expliqué que son prénom était Steeve et non Steve, regardant Ben, se demandant s'il devait s'occuper aussi de lui.
— Repasse nous chercher demain matin. Je suppose que tu peux entrer même si la porte est fermée. Tu amèneras du café et te mettras à poil avant de nous réveiller comme il faut.
— Oui sir. Il a remonté son pantalon et est sorti nous laissant seul Ben et moi. J'ai pris le temps de baiser Ben comme il aimait, plutôt brutalement, sans pitié, jouissant de son cul et de sa gueule avant de m'étaler sur le ventre et de lui réclamer un massage profond.
Comme d'habitude, ses yeux se sont allumés et il a commencé à caresser mes fesses, de la langue, humidifiant bien mon anus de salive avant de m'ouvrir avec ses doigts fins, de plus en plus loin et nombreux. Je grognais de plaisir quand il a mis tout les doigts et serré le poing pour me labourer du poignet , son poing serré en moi. Il connaissait mes secrets comme je connaissais les siens. Il s'occupait de ma prostate, je sentais que je mouillais du cul et j'aimais ça. Il est sorti d'un coup, poing fermé me laissant pantelant et béant. On est allé prendre un bain mérité avant de s'endormir.
J'ai été réveillé par une bouche qui tétait mon sexe, l'aspirant de la langue comme un téton. J'ai plaqué la tête sur mon sexe qui grossissait.
— Steeve. Tu aimes la pisse de maîtres ?
Il a hoché la tête sur ma queue et je me suis laissé aller encore à moitié réveillé. Il a tout avalé sagement avant de continuer à pomper ma queue et quand je l'ai redressé pour qu'il s'assoie dessus. Il n'a pas hésité une seconde.
— Remue ton cul doucement.
Il me tournait le dos, je l'ai claqué sur mes fesses pour qu'il serre les fesses sur ma queue. Il était d'une passivité formidable, s'adaptant à tous mes désirs. Je l'ai fait remettre à genoux entre mes cuisses et lui ai jouis sur la gueule avant qu'il nettoie ma queue comme j'aime.
— Quel est le programme Steeve ? N'essuie pas mon jus.
— Vous avez rendez-vous avec le doyen dans une heure et il a décidé de vous octroyer un petit appartement dans l'université. Vous aurez aussi à choisir un élève comme lope à votre disposition pendant le séjour. Ce soir enfin il y a réunion des Maîtres, mais vous serez prévenu pendant le repas.
J'ai senti l'odeur du café et Ben était à côté me tendant une tasse. Magnifique nu comme d'habitude. Sans pudeur, il a passé le doigt sur la joue de Steeve pour le sucer en me regardant. Steeve a bien vu notre complicité.
— Va t'essuyer et t'habiller, tu nous attends dans le couloir.
Il est sorti docile. On a déjeuné et on s'est lavé avant de s'habiller et de ranger tout dans le sac et la valise.
— Viens les prendre Steeve. On est OK pour le rendez-vous. On doit pas le faire attendre je suppose.
Il était venu avec sa voiture et une fois les bagages rangés on est parti. Je trouvais curieux la façon de conduire à gauche, mais Steeve nous a montré le château d’Édimbourg sur sa motte avant de s'engager dans un parking devant des murs hors d'âge d'un grand bâtiment.
Je vous accompagne jusqu'à la porte.
On a suivi de longs couloirs revêtus de bois sombre ciré avant qu'il s'arrête devant une porte. On est entré, accueilli par un jeune mec derrière un bureau qui s'est levé pour nous saluer en français, nous disant que le doyen allait se libérer sous peu. J'ai repéré de petites croutes sur ses lèvres et en fixant son entrejambe, j'ai deviné qu'il portait une ceinture de chasteté sous son pantalon. Il a rosi merveilleusement sous mon regard et il est allé frapper à une autre porte. Il est entré, allant nous annoncer et s'est effacé pour nous laisser entrer. Steeve est resté dehors. Le doyen, un homme de 40 ou 50 ans m'a tendu la main à travers le bureau, Ben se penchant pour baiser son anneau. Jovial, un peu rouge, il m'a regardé attentivement.
— Alors c'est toi dont Serge m'a parlé. T'es bien jeune pour être Maître, mais je ne reviens pas là-dessus et voila ton ami Ben.
Ben a rougi et a baissé son pantalon en signe de soumission.
— Bien. J'ai préparé un dossier depuis hier, tu y trouveras les noms de jeunes aspirants à notre mode de vie ainsi qu'un bref résumé des règles de vie ici. La vie n'est pas très dure, ni contraignante. Nous avons ici de vieux étudiants. J'ai fait aussi nettoyer un petit appartement dans une des résidences. Vous y serez tranquilles. J'ai aussi une carte bleue à ton nom pour te permettre de t'équiper et de commencer à vivre. Ton compte sera approvisionné en fonction de tes prestations. La ville compte de belles boutiques SM et le jeune Steeve les connaît. Ce midi, nous mangerons ensemble, Ben ira avec ses camarades.
J'étais intrigué par les petits soupirs qui ponctuait ses propos et j'ai regardé un peu mieux. j'ai entrevu un pied nu dépasser de sous le bureau. Le doyen se faisait sucer par-dessous. Il a eu un geste pour retenir quelque chose sous la table et une poussée de sueur.
— Mon secrétaire te remettra les dossiers, prenez le temps de vous installer et à tout à l'heure.
On est sorti, Ben se reculottant dans le secrétariat. Le jeune secrétaire discutait avec Steeve et s'est levé à notre retour.
— J'ai deux dossiers pour vous, celui-là, avec les renseignements des postulants, et l'autre que je n'ai pas traduit encore sur les règles de l'université.
J'ai avancé la main pour saisir son paquet et serré ses couilles dans ma main.
— Tu n'oublies rien ?
— Ho pardon.
Il a ouvert sa braguette et m'a laissé explorer. il avait bien une CB en plastic noir et une belle paire pendante dessous.
— Depuis quand tu portes ça ?
— Une semaine, Maître.
— Bien. Donne-moi les clés de l'appartement.
Steeve me les a montrés.
— Je les ai et j'ai repéré sur le plan pour y accéder facilement.
— Bien, passe devant et ouvre-nous, tu ramèneras les bagages ensuite.
On est sorti dans le parc avec beaucoup d'arbres et une petite rivière qui coulait à travers. La résidence était isolée et il a ouvert, nous laissant découvrir pendant qu'il allait chercher les bagages. Il y avait une chambre avec un très grand lit, un salon avec terrasse et une belle salle d'eau avec un coin cuisine. Ben s'est mis nu, dans le fauteuil à oreilles.