Esclavage recherché, trouvé et accepté (02)


Esclavage recherché, trouvé et accepté (02)
Texte paru le 2021-11-22 par Jerome3140   Drapeau-be.svg
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CRUAUTÉS DOUCES ET AIGÜES

J'étais comme lapidé, et sans même penser à ce que je faisais, j'ai posé mes mains sur son ventre, et je l’ai repoussé légèrement et Kevin n’a pas opposé de résistance se demandant ce que j’allais faire. J'ai continué à le repousser jusqu'à ce que mes bras soient tendus et qu'il y ait assez d'espace pour que je puisse me mettre à genoux.

Nous étions l’un près de l’autre et je l’ai regardé droit dans les yeux. Je savais combien cet instant était précieux et je me doutais aussi que c'était la dernière fois que je pourrais lui faire face sans être à genoux…

Après quelques secondes d'une longue hésitation, je baissai la tête, et je me suis agenouillé devant lui.

— Kevin ... s'il vous plaît ...

Fut tout ce que j’ai dit. Puis j’ai levé les yeux vers lui, interrogateur. De sa position dominante, il me regardait, visiblement fier d'avoir remporté sa dernière victoire sur moi.

— Kevin… s'il te plait…

Ai-je répété et j’espérais qu’il capte tous mes sentiments de soumis qui était dedans. Sans hésitation, il écarta son bras droit, les doigts tendus ouverts et m’a dit :

— Désormais, tu t'adresses à moi en tant que Maître, est-ce que c'est clair ?

Il n'avait pas encore fini de le dire, que déjà la paume de sa main et ses doigts ont frappé mon visage.

— Euhhh ! ... Oui, Maître.

— J'espère que cela t’aidera à te souvenir

A-t-il tout en tenant le dessus de sa main directement sur mes lèvres.

— Maintenant embrasse et excuse-toi !

Ordonna-t-il. Je lui ai tenu la main sachant parfaitement que c'était celle avec laquelle il venait de gifler mon visage, puis j'ai fermé les yeux, et avec un immense respect, j'en ai embrassé le dessus en disant :

— Excuse-moi, Maître.

— Lève-toi maintenant ! Et fous-toi à poil, Henry !

Et me tournant le dos, il a ajouté :

— Je reviens tout de suite.

Au moment où il se dirigeait vers les chambres, il a laissé tomber sa serviette, et j'avais assez de temps pour admirer le dos de son corps nu, de ses larges épaules, là où le soleil avait bronzé sa peau et dessiné les marques de ses maillots de corps et de ses shorts. Et la forme en V de son corps était d'une beauté insupportable.

Il est revenu d’un air hautain et, s’il voulait profiter de sa superbe sur moi, je savais que je devais me préparer à un enfer de souffrances. Il marchait sans se presser, presque comme un mannequin, comme il ne faisait aucun doute pour lui que j’étais en pleine admiration, disons même en pâmoison.

Mais en même temps, je tremblais aussi de peur à l’idée qu’il était conscient de l’effet qu’il faisait sur moi. Sans me regarder il m’a ordonné :

— Ramasses , ma serviette ... et tu la mets dans le panier à linge.

Même pas 3 minutes ne s'étaient écoulées, depuis que je me suis agenouillé devant lui, et pourtant, il me traitait déjà comme si j’étais son home boy depuis longtemps. Mais profondément en moi, je me suis senti terriblement offensé par cette supériorité et cet anonymat lorsqu’il s'adressait à moi. Et cette manière désinvolte de garder son dos tourné, tenant pour acquis que je vais exécuter ses ordres.

À cause de sa manière de me commander, le fait de devoir ramasser sa serviette était franchement dégradant à mes yeux sans oublier cette gifle sur mon visage. Je me suis demandé combien de ces tâches, j'aurai à assumer, avant de mériter le droit d'adorer son corps.

Tout ce que je savais, c'est que cela ne me sera sûrement pas donné ; je suis certain qu’il va en faire une sorte de récompense !

Il n'a pas fallu une minute avant son retour, et tout ce qu'il m’avait ordonné de faire était fait. J'avais enlevé mes vêtements sauf mes sous-vêtements, mais à côté de ça, je tremblais de peur, comme une feuille de papier. Il a déposé son Smartphone qu'il avait apporté avec lui sur une étagère, près du téléviseur.

— Regarde ça !

A-t-il dit avec un demi-sourire aux lèvres tout en levant son bras pour me montrer un tas de ceintures qu'il avait apporté. Il y avait quatre ceintures en cuir, de couleurs brunâtres naturelles et de largeur légèrement différente et il les tenait par deux dans chaque main.

— Oui, Maître.

— Elles appartiennent à mes colocataires. Je me demande simplement pourquoi ils les ont laissées ici ?

Dit-il avec une expression de fausse innocence qui renforçait à la fois le charme de son visage et la cruauté de ses intentions.

— Je ne sais vraiment pas, Maître.

Fut tout ce que je pouvais dire mais je commençais à deviner où exactement il voulait en arriver. Mais il semblait n'en avoir pas encore assez avec cet asticotage.

— Je crois comprendre qu’ils ont laissé beaucoup de choses dont ils n’auraient pas besoin chez eux. Mais pourtant, une ceinture, peut être utilisée n'importe où, n’est-ce pas ?

En de nombreuses occasions encore à venir, j'aurai des raisons de penser que pour lui, taquiner, asticoter, harceler ne sont pas seulement des introductions formelles à ce qu'il est sur le point de me faire subir, mais aussi une source de plaisir en soi ; un plaisir sadique !

Je me suis demandé si ses taquineries étaient une préparation à une soumission ou si c’était la soumission elle-même qui était pour lui la vraie raison et que ses humiliations l'excitaient pour le but à atteindre. En un mot était-il un Maître ou un sadique ?

Bien sûr, il utilisait souvent ce harcèlement pour simplement retarder son propre plaisir afin de le rendre encore plus fort et plus agréable quand la jouissance arrive, tandis que pour moi, ses taquineries ajoutaient à ma souffrance une dimension morale à la dimension physique.

Cela faisait naître en moi des espoirs pour retomber encore plus bas quand tombait le verdict final. C’était devenu de plus en plus évident pour moi, qu'il appréciait toute situation où il pouvait étendre son pouvoir sur moi. Tant qu'il dominait sa victime avec uniquement sa beauté et sa séduction.

Que ce soit en me taquinant avec cruauté ou en me soumettant et tant que je craignais et détestais ce qu'il me faisait, il y trouvait un vrai plaisir sadique. Dans cette situation, si j'avais encore quelques utopies, sur ses volontés ou ses intentions, le double sens de : une ceinture est quelque chose que l'on peut utiliser n’importe où ne laissait aucune place à l’espoir.

Cela montrait clairement qu’il était prêt à me fouetter, mais ce qui était insupportable c’était son machiavélisme de prendre son temps pour me préparer à ma souffrance.

— Maintenant, va au bar et surprends-moi ! Exécute toi-même ce que tu penses être mon prochain ordre !

A-t-dit et j’ai seulement hoché la tête, car je ne pouvais rien dire. Je suis allé dans le coin du salon, où se trouve le bar et je me suis penché dessus en posant mes bras croisés sur le dessus et ma tête sur mes bras, face cachée. Je pouvais presque entendre mon cœur battre.

— Bien !

Fut tout ce qu'il dit, et sans tenir compte de moi, il a attrapé mon slip, et le fit glisser lentement vers le bas.

— Ces belles petites fesses en forme de petits pains mignons semblent mourir de faim et ainsi tu vas connaître le goût des ceintures en cuir fin !

A-t-il ajouté pendant que ses mains caressaient mes fesses, lentement et légèrement. J'ai soupiré.

— Tu aimes ça, petite salope, n’est-ce pas ?

A-t-il dit tout en continuant à me travailler. Je ne pouvais que comprendre la beauté gracieuse de ses magnifiques doigts et comment ils se promenaient autour de mes fesses et une chaleur bienfaisante s'est répandue sur mon corps. Ma respiration a commencé à s'accélérer et ma bite est devenue toute dure.

— Tu aimes ça, petite salope, n’est-ce pas ?

— Oh oui, maître ... mais c'est trop !

En effet, après une ou deux minutes de cela, la sensation est devenue plus intense que je ne le pensais. Dans mes rares relations sexuelles précédentes, je n'ai jamais éprouvé de sensations de cette intensité, et jamais pensé que le plaisir physique pouvait atteindre de tels sommets.

J'étais juste sur le point d'attraper ses mains pour l'arrêter, ou juste pour faire une pause, mais j'avais peur ce que cela pourrait me coûterait, alors je n'ai pas osé. Ses mains ont continué lentement travaillant librement mes fesses, faisant des rotations douces et lentes, tandis que ma respiration allait plus vite, plus profondément et mélangée avec un gémissant.

Après quelques minutes, j'ai senti que ma charge pouvait éclater à tout moment, mais sans tenir compte du fait que j'avais besoin qu'il s'arrête ou qu'il m'autorise simplement une pause. Ses doigts lisses ont même commencé à chercher des explorations plus profondes. Durant chacune de leurs rotations, ils ont menacé de glisser entre mes petites fesses ; c'était électrisant.

Chaque fois qu'ils s'éloignaient, c'était seulement pour revenir et me menacer à nouveau. En conséquence, je resserrais mes muscles autant que je pouvais pour me protéger d'une nouvelle entrée de ses doigts, et je ne pouvais me relâcher que quand je sentais que ses doigts s’éloignaient, donc, une fois de plus, quand les mouvements des doigts de mon maître le permettaient.

Kevin a apprécié, je pense, ce jeu de guerre où il menaçait d'attaquer et où il m’autorisait à me défendre. Tout mon corps tremblait, sous la magie insupportable du toucher de ses doigts.

Je me suis noyé dans la chaleur des sensations qu'il m'apportait, et je ne pouvais tout simplement pas dire quand ni comment je me suis retrouvé avec mon visage posé sur le dessus du bar avec mes bras complètement étirés et mes mains saisissant le bord de l’armoire si fortement que j’aurais pu le briser.

J'ai seulement réalisé que je soupirais, criais et suppliais et tout d'un coup ça s'est passé :

— Wow… Kevin .... s'il te plait ... Kev.. fff ... Uuu Kevin s’il te plaît…uhh ...

J’étais dans un état tel que je ne parvenais pas à formuler clairement mes souhaits : est-ce que c'était pour arrêter ou pour continuer ?

Après quelques minutes de plus, l'intensité du plaisir était telle, que c’est devenu une torture insupportable. Mais sans tenir compte de la façon dont moi je ressentisse la chose, ses doigts continuaient impitoyables à se déplacer lentement et travaillaient cul, je n’étais que son jouet.

Alors que je n'en pouvais plus, il a continué à explorer mes fesses et mon trou en commençant à ouvrir et fermer ses doigts, comme s’il voulait saisir quelque chose et cela a ajouté une nouvelle variété de sensations à celles qu'il m'apportait déjà.

Il est passé alors aux douces égratignures avec ses ongles, aux frottements brutaux et profonds avec la paume de ses mains en passant par les caresses douces de ses doigts en revenant à ses premiers harcèlements avec ses doigts, mais cette fois sans ordre précis, ni règle ... Il voulait simplement me rendre fou.

Quand il a décidé que c'en était assez, j’étais épuisé, quasi mort. Il aurait pu me demander n'importe quoi, et il l'aurait obtenu ! En effet, je n'avais plus aucune force pour résister à quoi que ce soit et je parie que c'était précisément ce point qu’il voulait me faire atteindre : subir, obéir sans résistance !

LES CEINTURES DES COLOCATAIRES

Même si j'en avais vraiment besoin, Kevin ne m’a accordé aucune pause.

— J'ai hâte de voir ces petites fesses blanches rougir !

A-t-il dit en tenant les ceintures de telle façon que je puisse bien les voir.

— Maintenant, choisis celle que tu voudrais par laquelle je vais commencer.

Mais qui a dit que je voulais qu'une telle chose commence ? Je ne pouvais pas croire que j'ai reçu un ordre pareil m’obligeant de participer au choix de l'outil de ma propre punition, de ma propre humiliation, de ma propre douleur.

Pendant que je restais debout tout nu, cachant juste ma bite avec mes deux mains, j’ai levé les yeux vers lui, essayant de savoir à quel point il était sérieux et nos regards se sont rencontrés.

Au-delà de ma peur, je me demandais comment un tel visage fragile, délicat pouvait cacher tant de dureté derrière sa pâleur. Et comment des lèvres aussi adorables, aussi nettement dessinées et d’une pure simplicité, pouvaient débiter des ordres d’une telle cruauté.

Bien sûr, c’est ce que je pensais puisqu'en tant que maître, il ne me l’a jamais demandé et pour la même raison Kevin n'a jamais laissé aucune place aux questions ou aux plaintes.

Alors que seuls mes yeux pouvaient plaider pour m'épargner une telle tâche - choisir l'arme qui va me punir - il a continué à me fixer, avec un calme, attendant strictement mon obéissance.

— Accouche !

A-t-il dit avec impatience. Et comme je savais que j’allais être fouetté, j'ai pointé du doigt la première ceinture.

— Eh bien tu as sélectionné celle de Tristan.

Mais j'aurais vraiment préféré de ne pas le savoir. Il a joint les deux extrémités de la ceinture, et les a tenus dans une main, puis il l’a fait claquer à blanc, sans tenir compte de la peur implorante dans mes yeux. Mais il a trouvé qu'elle était trop courte pour que j’en souffre vraiment. Alors, il a libéré une extrémité et s’est contenté de tenir la boucle en main. Dois-je dire que je tremblais intérieurement.

— Maintenant, mets-toi en place et penche-toi vers l’avant comme précédemment !

Au moment où je l'ai fait, il a fait un petit pas de côté et s'est ajusté pour avoir une stabilité certaine.

— Dois-je te dire que je veux entendre ta voix compter les coups. Est-ce clair ?

— Oui, maître, ça l'est.

— Eh bien, je l’espère pour toi mieux pour toi, car un coup de fouet non compté mettra les compteurs à zéro !

A-t-il tout en mettant son bras largement en arrière pour m’envoyer la premier coup. Et il n'a pas encore fini de dire cela, quand j'ai entendu la ceinture couper l'air, et claquer contre mes fesses.

— Wouaw, un, maître

C'était douloureux, mais étonnamment pas insupportable, comme je pensais que cela allait être. C'était plutôt comme une brûlure.

— Uhh, deux, maître.

Mais plus dur que la douleur elle-même, c’était la profonde humiliation de me retrouver être discipliné à la manière des mauvais écoliers d'autrefois et surtout par quelqu'un, qui après tout, et seulement une heure plus tôt, n'était qu'un universitaire plus jeune que moi !

— Aawwwtch ... trois, maître.

Même enfant, et même si j'ai été élevé dans les règles d'une très stricte tradition, je n'ai jamais été discipliné comme cela. Pour moi, et jusqu'à maintenant, de tels traitements n'appartenaient qu'à l'éducation d’avant-guerre ancien passé, ou dans des récits pornos et des films plutôt SM/

— Awww!!! ... quatre, maître.

Pourtant, je dois avouer que depuis mon adolescence, des histoires où le fouet claque m’ont toujours m'excitées. Et j’étais toujours le personnage qui était fouetté, plutôt que le fouetteur et je pense que ma compassion s'est transformée en envie. En lisant ces histoires ou regardant ces films, j'ai souvent remarqué que ma bite grandissait et durcissait, et c'est ce qui m'arrivait encore une fois malgré les coups que j’encaissais.

— Uuh ... cinq, maître ... maître, s'il te plaît.

Chaque coup de fouet a secoué mon corps plus fort que le précédent. Je me suis juste demandé combien de temps cette session durerait. Nous en étions à la première des quatre ceintures et les coups fouet était encore en cours et la douleur, ma douleur devenait intense.

— Choisis ton prochain fouet. J’attends !

Ordonna Kevin. Encore une fois, je devais obéir et j'ai pointé du doigt une nouvelle ceinture.

— Bien ! Maintenant, c’est celle d’Adrien !

Mais je n'osais dire à Kevin que je détestais de savoir à qui appartenait la ceinture qui allait me rougir les fesses. Cela peut sembler bizarre mais ...

— Uhhhhh... six, maître.

Cela peut sembler étrange, mais je ne pouvais tout simplement pas dire pourquoi savoir à qui appartenait la ceinture me dérangeait. J’avais l’impression que le propriétaire de la ceinture se trouvait derrière moi et je pouvais presque le voir souriant, avec une sorte d'expression cynique sur son visage. Même si c'était ...

— Uuh ... sept, maître, merci.

Bien que tout cela soit dans mon imagination, j'en détestais le sentiment. Oui, c’étaient des snobs et je ne pouvais pas m'empêcher de penser qu’ils auraient sûrement aimé regarder comment j'étais fouetté avec leurs ceintures. Ils y auraient trouvé du plaisir surtout que c’était leur beau colocataire qui…

— Aaaaaaawch ... huit, maître… s’il te plaît maître…

Je me suis demandé comment après cela, je pourrais affronter n'importe lequel d'entre eux au sein de l’unif, les croiser dans les couloirs surtout si leurs ceintures sont bien visibles et qu’elles me rappellent les traces qu’elles laisseront sur mes fesses. Chaque fois que je les croise je pourrais sentir la douleur tout en étant honteux et embarrassé…

— Uuhhhawtch ... neuf,… maître, s’il te plaît maître…

Le pire dans de telles situations, c'est que je ne saurais probablement jamais si ces gars auraient appris quelque chose sur l'utilisation de leur ceinture, ou pas. Je me suis demandé comment je pourrais faire face à leurs sourires et les gérer, en cherchant à lire ce qui se cache derrière chaque mouvement de leurs lèvres, si juste une courtoisie commune, ou ironie et mépris.

— Aaaccchhhh ... dix, maître, merci maître, s’il te plaît maître !

Plus la douleur devenait terrible, plus je détestais ces snobards mais déjà Kevin m’ordonnait :

— Choisis la suivante ! Et vite, je ne veux pas passer tout mon temps à te fesser !

Entre les deux ceintures à gauche, celle que j'ai désignée était celle de Robert.

— Qu'est-ce que tu attends ? En place ! Penche-toi à nouveau !

C'est avec une terrible colère dans sa voix que la ceinture a claqué sur mes fesses, au moment où je prenais encore position.

— Uuuhhh... onze, maître.

La douleur était telle qu'elle a secoué tout mon corps. Ça m'a fait lever la tête et mon cou vers mon dos et mes omoplates sont apparues. Mais Kevin semblait aimer le mouvement. En effet, à partir de ce moment, les fouets ont commencé à venir plus vite et plus fort, et je pouvais sentir à quel point il était excité par la façon dont mon dos nu répondait.

— Wouuuw ... douze, maître, s’il te plaît !

D'une part, je devais remercier Dieu que les snobards avaient des goûts raffinés ; ils ne posséderaient pas comme les skinheads des ceintures cloutées ou avec des incrustations et même des clous. Mais de l'autre ...

— Awwwwww ... maître... s'il te plait ... treize.

Mais d'un autre côté, leur cuir de qualité fine était à la fois fin, mais leur flexibilité mordait profondément ma peau. Par contre, les grands hématomes et les stries profondes m’étaient épargnées, mais néanmoins tout cela devenait extrêmement douloureux.

— Aaahcchhhh ... quatorze, maître, je n’en peux plus maître !

Et plus la douleur devenait dure, plus j'étais proche de tomber à genoux, pour attraper les jambes de Kevin dans mes bras et pour le supplier d'arrêter. J'étais tellement prêt à tout faire en retour de sa miséricorde. Et ma bite était devenue dure comme du roc.

— Uhhhhhhhaaaaaha'uuutttccchhhh ... quinze, maître.

Mais de son point de vue, les choses étaient totalement différemment : plus je souffrais pour son plaisir personnel, plus il est excité. Quand la session de ceinture de Robert s'est terminée, j'avais du mal à retenir mes larmes et bien que je savais qu'il ne restait plus qu'une ceinture, je me suis remis en position et là j’ai réalisé à quel point Kevin était satisfait. Il m'a regardé droit dans les yeux, avec un sourire de victoire sur ses lèvres. Puis, il m’a dit :

— Tu sais, tu es très mignon comme ça ! On dirait que la douleur te va bien.

Je pensais juste la même chose à son sujet et j'ai incliné la tête. En effet, l’énorme énergie qu'il a dépensé pour me fouetter et avec son excitation en plus, tout cela ensemble avait renforcé, à mes yeux, la beauté de son visage ; une des plus belles choses que mes yeux ont jamais vues !

— Envie d'en avoir plus ?

M’a demandé Kevin, d’une manière inattendue, mais aussi très naturelle, j’avais l’impression qu’il m'offrait une boisson. J'étais à nouveau en pâmoison. Il avait l'air si magnifique que j'aurais presque pu dire oui.

Entre chaque séance de fessée à la ceinture rien qu’en voyant sa beauté cela m’a sûrement aidé à trouver le courage de supporter davantage la douleur qu'il m'infligeait. Être fouetté est devenu le sacrifice que je devais subir pour satisfaire mon désir ardent d'être maintenu sous le pouvoir de son insupportable beauté.

Mais quand il m'a demandé si j'en voulais plus, j'ai finalement eu une raison d'espérer qu'il pourrait m'épargner la dernière session de ceinture et commencer à me baiser… enfin.

— Non, maître. C’est si douloureux, maître, épargne-moi…

Ai-je répondu en le regardant curieusement, cachant ma bite érigée dans mes mains et espérant désespérément sa clémence.

À ce moment-là, quelque chose scintilla dans ses yeux. Je suppose qu'il s'est senti flatté, peut-être même excité par la façon dont je me tenais, intimidé par ma nudité, en le regardant et m'adressant à lui comme si chacune de mes cellules à cause de ma peur le suppliait de m’épargner.

J’ai vraiment remarqué qu'il aimait ça, mais bien sûr, mais il n'a montré qu’une indifférence désinvolte. Il s'est juste éloigné légèrement et a pris son Smartphone qu'il a trouvé sur l'étagère où il l'avait laissé.

Au-delà de ma peur, j’ai continué à regarder son magnifique corps élancé et je ne pouvais tout simplement pas retirer mes yeux de la sueur qui brillait sur le six pack de ses abdominaux, et tout le long de ses cuisses et jambes élégamment musclées, jusqu'à ses chaussettes.

— Mmmm ... Et si moi j'avais juste envie de continuer ?

A-t-il dit de toute évidence pour m’asticoter.

— Oh non, maître, s’il te plaît ! Je ferai n’importe quoi mais…

— N'importe quoi ?

A-t-il répété tout en se concentrant sur la composition d'un numéro sur son téléphone.

Là, j’ai paniqué.

— Alors laisse-moi voir ce que tu suggères. Que me proposes-tu en échange de mon renoncement de te fouetter avec la dernière ceinture ?

A-t-il demandé en portant l’appareil à son oreille, plus concentrer sur une réponse à son appel, plutôt que de moi. J’ai gardé le silence ne sachant que répondre.

— Considérant que la première étape est accomplie, je suis presque prêt à tenir ma promesse.

C’est ce qu’il a dit. De toute évidence, il avait décidé de raccourcir la dernière session de ceinture, considérant que j'avais assez souffert pour mériter enfin qu'il me baise, ou du moins, c'est ce que je pensais qu'il voulait dire.

Mais je me suis senti confus, quand il a continué à me regarder et pas vraiment concentré sur ma réaction. Je n'étais pas tout à fait sûr s’il s’adressait à moi ou à quelqu'un qu'il avait en ligne. La précision est venue quand je l’ai entendu dire :

— Ouais, je l’ai mis en condition… Tu as fini quand ton entraînement ? ... Bien sûr ... Ouais ! Il est presque cuit.... Oh ! Ouais ! Totalement ... Ouais, bien sûr, tu peux venir maintenant. Il est entièrement à nous !

Oh ! Mon Dieu ! À qui parlait-il ?

Alors que je me demandais encore de quoi il s'agissait, tout ce qu'il m’avait fait espérer et m'avait fait mendier et espérer un long répit, juste au moment où il tenait la dernière ceinture en main, il m’a ordonné sévèrement, au mépris total de mes soucis :

— Maintenant en position pour Frédéric ! Exécution !

Malgré ma douleur brûlante, je me suis penché presque mécaniquement. Mon esprit était tellement préoccupé par ce que je venais d'entendre, que la ceinture a claqué sur mes fesses, avant que j’aie eu le temps

— Aaaawwwwhhhhh ... seize, maître.

Bien que la douleur ait secoué tout mon corps, je ne pouvais pas arrêter de rembobiner et de rejouer dans ma tête chaque mot qu’il avait dit au téléphone. Le seul fait qu'il ait simplement dit bonjour, ni même mentionné mon nom, a montré que cette conversation était une suite à une précédente.

Peut-être bavardait-il au téléphone, pendant que je l'attendais ? Et ma soumission était-elle pré-planifiée ? Et si oui, pour combien de temps allais-je être son jouet ?

— Aaaaaaaauuuuuuutch ... dix-sept, maître, merci maître.

Il était évident que le gars au téléphone savait tout ce qui se passait ici, et je ne pouvais pas croire comment Kevin prenait déjà pour acquis que je serais d’accord qu’il me partage avec un autre.

Je ne pouvais pas croire non plus comment il parlait de moi, comme si j'étais sa propre salope privée, ou juste un jouet qu'il pourrait utiliser de toute façon. Je ne pouvais pas supporter de me rappeler des mots tels que : il est tout à nous ou il est presque cuit et surtout parler de moi avec un tel mépris en ma présence. C’était terriblement dégradant pour moi.

— Aahhh 'Aaaaawwwtchhhh ... dix-huit, maître, merci.

Encore une fois, les fouets ont soulevé ma tête et remonté mes omoplates. Du coin d'un espace entre mon corps plié et le bord de la barre, j'ai regardé la bite de Kevin. Il bandait à fond et était tout dur.

Malgré mon insupportable humiliation, ou peut-être à cause de cela, j'avais vraiment besoin de m'agenouiller et sucer. Mais bien sûr, je n’ai pas osé. Je me suis seulement demandé ce que son érection...

— Aaaaaaaaawwwwwwww ... Nnnnoooo ... Uhhhhhh ... dix-neuf, maître, merci maître.

Je me suis demandé à quoi était dû son érection : bien sûr, ça pourrait être la façon dont mon corps lisse de garçon tremblait et se tordait sous le la douleur qu'il m'infligeait, sinon ses fantasmes sur ce qui suivra bientôt, comme le fouet était sur le point de prendre fin et l'inconnu allait arriver.

— Aaaaaaaaaaaaawwwwwwwwwttttttttttttcccccccccchhhhhhh ... vingt, maître !

Alors que chacun de nous était noyé dans ses propres pensées. Je me suis penché en arrière après le dernier coup de fouet, luttant contre la douleur, et j'ai réalisé que des larmes coulaient sur mes joues. Kevin me regardait avec une satisfaction certaine sur son visage et une fierté évidente.

Après avoir bravé autant de douleur et d’humiliation, avec une telle obéissance inconditionnelle, j'ai trouvé que cela pouvait être le bon moment pour moi, pour réclamer une limite à ma soumission :

— Maître, je suis peut-être tout à toi, maître, mais s’il te plaît ne m'offre à personne d’autre maître… S’il te plaît.

— À genoux, quand tu t’adresses à ton maître.

Fut sa réponse, tandis que sa main menaçait de me gifler à nouveau. Je me suis laissé tomber et je me suis agenouillé juste à ses pieds, comme s'il était un Dieu. En fait, il l'était en quelque sorte. Il a reculé et a continué à me regarder, comme on examine une peinture, dans une galerie d'art. J'ai incliné la tête, respectueusement en regardant le sol.

À suivre…


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