Esclave blanc Français pour homme arabe
Texte paru le 2022-05-09 par Submissivegayfrenchboy
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⚠️ Cette histoire est une fiction, elle ne représente pas mes véritables opinions politiques. Vous avez le droit de ne pas être d'accord avec le fait que les hommes blancs devraient être réduits en esclavage par les hommes musulmans. C'est juste une fiction, ça ne veut pas dire que je veux ça (même si je ne vais pas me plaindre si ça arrive) ⚠️
ESCLAVES BLANCS FRANÇAIS POUR HOMMES ARABES
Dans une société fictive, la France a voté une nouvelle loi permettant aux hommes arabes de prendre des hommes Français (et des hommes blancs en général) comme esclaves. Cette histoire raconte comment un père et son fils deviennent les esclaves de deux hommes Arabes.
"Les hommes musulmans peuvent battre leurs femmes, vous pensez que je ne peux pas battre un pédé ?".
C'est ce qu'Hakim, mon nouveau Maître, m'a dit après que j'ai refusé de lui obéir. Deux jours plus tôt, ils sont entrés dans notre maison, lui et son père, prétendant que mon père et moi étions maintenant leurs esclaves, par la nouvelle loi permettant aux hommes arabes d'utiliser des hommes français comme esclaves.
Deux jours après qu'Hakim et son père Malik, deux Arabes très dominateurs, se soient installés chez nous, mon père et moi, deux Français très obéissants, étions devenus leurs esclaves qu'ils battaient à la moindre occasion. Déterminé à ne plus être frappé, j'ai décidé de prouver ma servilité.
HAKIM : "Tu n'es même pas digne de me lécher les pieds, sale chien français blanc."
Hakim a placé ses pieds près de mon visage. J'ai tout de suite compris que ma place serait à genoux devant lui, à ses pieds et à ceux de son père. Leurs pieds puaient beaucoup, car ils gardaient parfois leurs chaussettes plusieurs jours donc l'humiliation était encore plus hilarante pour eux quand nous devions renifler leurs pieds et leur dire qu'ils sentaient mieux que les fleurs. Nous recevions une fessée si nous ne mettions pas du cœur dans notre dévotion à renifler les pieds d'hommes arabes en sueur. J'ai commencé à aimer leur lécher les pieds pour ne pas souffrir.
Chaque jour, je devais lécher les pieds puants d'Hakim. J'étais tellement soumise qu'il est tombé amoureux de moi. Pour lui, je n'étais qu'une fille. C'est pourquoi il a décidé de me transformer en poule mouillée.
Alors que je devenais jour après jour l'esclave d'Hakim, Malik (le père d'Hakim) a transformé mon père en repose-pied humain et lui a dit qu'à partir de maintenant, mon père et moi porterons des burkas et resterons silencieux si personne ne vous donne d'ordre. C'était aussi notre devoir de faire toutes les tâches ménagères et faire les courses, masser les pieds de nos Maîtres.
MALIK: "- Maintenant que ton appartement est devenu le nôtre, gros cochon français, tu ferais mieux de nettoyer ici. Je veux une maison propre. Tu feras aussi les courses et tu les porteras toi-même, c'est pour toi. Je vais te donner un peu d'exercice, espèce de gros lard. Bien sûr, je vais vous donner la liste de ce qu'il faut acheter, puisque vous ne pouvez pas décider ce que vous et votre fils allez manger. Quand vous arriverez ici, je vous demanderais de porter la burqa, non seulement parce qu'à mes yeux, tu n'es pas un vrai homme, mais aussi pour éviter d'avoir à regarder ta gueule de français soumis, sale chien. Je ne le verrai pas beaucoup puisque tu garderas toujours la tête baissée devant moi."
C'est ainsi que mes Maîtres ont redécoré ma chambre : le drapeau algérien est placé au centre de l'armoire pour que je puisse le voir tout le temps et me rappeler que désormais les hommes arabes sont au sommet de la hiérarchie.
Le drapeau français est devenu le paillasson, ils y essuient leurs semelles de chaussures, et les y laissent quand ils ne les portent pas, pour montrer qu'ils « écrasent la France » et que les Français ne sont que des chiens.
"Ce soir tu vas dormir dans mes bras parce que je veux te montrer qui est le vrai mâle dans cette relation, mais parfois, tu vas dormir par terre en me léchant les pieds pendant que je dors, ou tu vas me lécher le cul si je veux ".
C'est ce que Maître Hakim m'a dit quand il a décidé que je devais coucher avec lui. J'étais derrière moi quand il m'a soudainement roté au visage, me forçant à sentir cette odeur nauséabonde.
HAKIM: "Je t'aime plus que tout au monde, mais n'ose pas te considérer comme mon petit ami ou comme mon amant. Je ne suis pas un pédé comme toi. Je suis ton mari et tu es ma femme. Et une femme doit obéir à son mari. Les mâles arabes sont tes supérieurs et tu leur obéiras comme tu m'obéiras ? As-tu compris, pédé ? Seras-tu une bonne épouse ?
J'ai accepté en silence.
HAKIM: "Je sais qu'une bonne femme doit se taire, mais je veux que tu me répondes : vas-tu m'obéir en tant que ton Maître ? Seras-tu une femme-fagot obéissante ou dois-je te botter le cul tous les jours ?"
J'ai répondu : "non Maître, je t'aime aussi et je veux être ton esclave pour le reste de ma vie".
Chaque nuit, moi et mon Maître dormions dans les bras l'un de l'autre après avoir eu l'immense privilège de sucer sa sublime bite. Il me fait souvent me tourner vers lui la nuit pour qu'il me rote au visage et que son odeur fasse partie de moi. De même, chaque fois qu'il doit péter, il s'assure de se tourner vers moi pour que le pet atterrisse sur mon corps. Il fait cela pour me rappeler que bien qu'il soit amoureux de moi, je suis toujours son inférieur blanc.
Il arrive qu'il me prenne dans ses bras et que, étant beaucoup plus fragile que lui, ma tête se retrouve au niveau de son aisselle odorante que je lèche parfois avec dévotion tout en suçant ses poils. Avant lui, j'aimais les hommes avec peu de poils. Maintenant, il reste très poilu ou peu poilu selon son plaisir, mais sa virilité reste en tout cas indéniable par rapport à moi. Son odeur corporelle est chaude, et il prend rarement une douche maintenant que ma langue peut essuyer sa sueur sur lui, et il aime puer autour de moi pour que j'en vienne à aimer son odeur corporelle puante et délicieuse.
Même si je n'aime pas voir mon Maître fumer, car j'ai peur qu'il développe un cancer, je le trouve très excitant dans cette position.
HAKIM: "Ma femelle, viens masser les pieds de ton Maître. Ça me détendra".
MOI : "Oui Maître. Dois-je enlever vos chaussettes, mon vénéré Maître ?"
HAKIM: "Oui et mets-les dans ta bouche comme une machine à laver humaine. Je t'aime mon amour, mais je n'ai pas besoin de t'entendre."
J'ai donc enlevé les chaussettes divines de mon Maître, il m'a fait essuyer la sueur de ses pieds avec avant de les mettre dans ma bouche. Je pus ainsi aspirer la sueur de ses pieds et son odeur fétide montait jusqu'à mon cerveau.
J'étais dépendante de lui et son odeur faisait maintenant partie de moi.
