Esclave d'un jeune maitre (04)
Texte paru le 2022-04-09 par Jerome3140

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J'ai pris une douche avec une certaine difficulté - serrant le plug anal - puis, je suis allé dans la chambre de mon Maître. En l’attendant j’ai pris la position vitrine : à genoux, mains sur la tête, cuisses bien écartées dans un coin de la chambre.
Après un bon moment, j’ai entendu la douche fonctionner ; mon Maître n’allait plus tarder. Il est rentré dans la chambre complètement nu et j'ai scanné tout son corps. Il ressemble à un dieu grec et quand je regardais sa bite en érection, j'avais envie qu'elle m’envahisse, qu’elle prenne possession de mes entrailles.
Il a tiré un grand panier pour chien de sous le lit et m’a fait signe de m’y coucher et j’ai obéi immédiatement.
— Normalement, tu serais enchaîné pour la nuit, mais c'est ta dernière chance de quitter les lieux. Si tu es encore là demain matin tu signeras ton contrat et je te ramènerai à la maison. Tu viendras alors chaque fois que je te convoque. Enfin un petit avant-goût des choses à venir !
Il s'est penché sur moi et a commencé à se branler. Lentement d'abord, puis bien plus vite. Une de ses mains pinçait un téton et il a jeté sa tête en arrière d’extase. La sueur est apparue sur tout son corps et il a commencé à pousser son bassin vers l'arrière et vers l'avant.
Il m’a regardé, s’est avancé vers moi et il a éjaculé. Giclée après giclée de sa crème épaisse a atterri sur mon visage, sur mes lèvres et dans ma bouche.
— C’est ce que tu espérais, n’est-ce pas ?
— Oui, Maître. Merci, Maître !
Il a failli me tomber dessus, me tordant les tétons agressivement en criant :
— Ne parle jamais, au grand jamais, sans permission !
J'ai reculé dans mon panier et c'est comme ça que j'ai passé la nuit : le gode dans mon cul et le visage couvert du nectar de mon Maître. Le lendemain matin, mon Maître me faisait signer son fameux contrat.
La fin du début
Cela faisait près de deux semaines que j'avais signé le contrat d'esclavage avec mon nouveau Maître. J'avais suivi toutes ses instructions et je suis rentré chez moi de mon travail d'enseignant et je restais dans mon appartement nu à part le harnais pour ma bite et mes couilles.
Mon seul contact avec mon Maître avait été un coup de fil de son portable, le troisième jour de la première semaine. Mon Maître m’avait ordonné d'aller à la fenêtre et de prendre la position de saint André – jambes écartées et bras levés et écartés – tout en frottant ma bite contre la vitre jusqu'à ce que je jouisse.
Quand j'en avais fini, mon portable a sonné à nouveau et mon Maître m’a dit que c’était agréable à regarder et que comme récompense, je pouvais maintenant finir par nettoyer la vitre avec ma langue.
Sachant que mon Maître me regardait, ce fut pour moi une expérience très érotique et dans les jours qui ont suivi j'y ai pensé souvent dans l’attente que mon portable sonne à nouveau et ma bite, elle, me faisait à chaque fois mal à cause de sa raideur et d’un besoin certain de me vide les couilles.
J'avais, bien sûr, reçu des instructions strictes avec interdiction de toucher ma bite, même pour pisser et de jouir de quelque manière que ce soit. Cela aurait conduit à une répétition de la punition sur ma queue que mon Maître m’avait fait subir quand j’avais montré un manque total de contrôle.
Finalement, j'ai eu des nouvelles de mon Maître. Je devais attendre dans les buissons - nu équipé de menottes en cuir aux poignets et aux chevilles et mon harnais pour mes couilles et ma bite, mais aussi un bâillon en forme d’anneau m’obligeant de garder la bouche ouverte, m’interdisant de parler et me faisant baver énormément – derrière le parking à l’orée du bois, pas loin du pub.
Quand il arrivera avec sa voiture, je devrai grimper dans le coffre. Je devais porter le short échancré qu’il m’a donné pour faire mon jogging et mettre les menottes, une fois que j’étais dans les buissons. J’ai suivi toutes ses instructions.
Avec une heure de retard sur l’heure convenue, mon Maître a parqué sa voiture, en est sorti et s’est dirigé vers le pub. Horreur ! Je m'attendais à ce qu'il se gare près des buissons, mais mon Maître s’est garé de l'autre côté, à près de cent mètres d’où je suis.
J’ai attendu qu’un groupe de personnes sortent de leurs voitures et se dirigent vers le bistro. Et quand personne ne semblait être dans les parages et j'ai couru, j’ai sprinté pour traverser le parking. Ma bite raide flottait dans l'air et soudain j’ai repéré un couple assis dans leur voiture. Ils m'ont clairement vu dans toute ma gloire avec diverses sangles autour de mon corps, mais je n'avais pas d'autre choix que de continuer jusqu'à ce que j'atteigne la BMW où je me suis engouffré dans le coffre.
C’est seulement alors que je me suis inquiété et je m’attendais à voir arriver la police. Après ce qui me paraissait une éternité, j'ai entendu la porte de la voiture s'ouvrir, quelqu'un y est monté et la voiture a démarré. J'ai supposé que c'était mon Maître et non la police.
Il a fallu environ une demi-heure pour atteindre l'appartement de mon Maître. Après avoir garé la voiture, il est descendu et est venu ouvrir le coffre. Mes membres faisaient d'être ainsi enfermé et c'était agréable de sentir l'air frais. Il a touché mes tétons et les a pincés en me disant :
— Dehors, esclave !
J’ai grimpé hors du coffre et étrangement j’étais gêné d’être nu devant mon Maître macho.
Mon Maître a tiré mes bras dans mon dos et a cadenassé mes poignets ensemble, puis il est sorti du garage en me faisant signe de le suivre. Je l’ai suivi dans la ruelle qui heureusement était déserte ; pas même un pédé alors que c’est leur zone !
Nous avons franchi la porte d’entrée menant aux appartements et nous avons rencontré le même gars qui m'avait emmené la dernière fois. Il parlait à mon sujet avec mon Maître comme si je n'étais pas là et quand mon Maître a mentionné avec désinvolture que mon seul problème semblait être une incapacité à contrôler ma bite, le voisin a vu sa chance de me causer des ennuis et a tendu la main et a commencé à caresser négligemment ma bite alors qu'il poursuivit la conversation avec mon Maître.
Alors qu'il dorlotait doucement le dessous de ma bite, celle-ci a répondu en devenant aussi dure que possible et dix jours de sperme stockés dans mes couilles voulaient s’échapper.
Je ne désirais vraiment pas me faire frapper à nouveau la bite et j’ai lutté pour penser à autre chose qu'au sexe. C'était presque mission impossible ! J'ai commencé à transpirer et le début d'une éjaculation a commencé à submerger mon corps.
Ce n'était heureusement que mon méat qui suintait et ce sont mes quantités de pre-cum anormalement grandes qui m’ont sauvé de mon tourmenteur. Il a cessé de toucher ma bite et sa main pleine de mon pre-cum il me l’a porté à la bouche, a passé ses doigts dans le bâillon anneau et a déposé ma propre mixture sur ma langue.
Dès lors la stimulation de ma bite a été interrompue pendant qu'il me nourrissait de mon jus. Même ainsi, je me doutais qu’une bonne raclée de mon Maître me paraissait inévitable. Enfin mon Maître a pris congé et nous sommes montés à son appartement.
À ma grande surprise, dès que nous sommes entrés, il m'a félicité pour ma maîtrise et m'a dit que je méritais une récompense. Je pensais qu'il allait me permettre de jouir, mais au lieu de cela, il m'a poussé à genoux, a ouvert sa braguette et a commencé à me tringle ma petite gueule d’esclave avec enthousiasme.
Tenant ma tête fermement entre ses mains, il a visiblement apprécié la stimulation de l'anneau dans ma bouche ainsi que ma langue et très rapidement, mon Maître a commencé à respirer fortement, puis il s’est lâché dans ma bouche et j’avais des soucis pour tout déglutir. Ma propre bite est restée raide et insatisfaite…
Ma prochaine tâche a consisté à préparer son repas du soir, ce que j'ai fait aussi selon ce que mes capacités de cuisinier m’autorisaient. Quand ce fut prêt, mon Maître m’a dit de le servir au salon. Je lui ai apporté le tout sur un plateau mais, à ma grande surprise, il m’a dit que c’est moi qui servirai de plateau.
J’ai dû m’allonger avec mon dos sur ses genoux et il a déposé le plateau avec les assiettes chaudes sur mon ventre. Entre deux bouchées, avec désinvolture, mais avec douleur, mon Maître me tordait les tétons et pendant que je gigotais, il me prévenait que si un seul morceau de nourriture tombait de l'assiette, je le regretterais.
La peur et la stimulation de mes tétons ont fait durcir ma bite et j'ai réalisé qu'elle dépassait sur le bord de son assiette. Et, de temps à autre, mon Maître piquait ma bite avec sa fourchette pour tenter de me pousser à la faute et de causer du gaspillage.
Quand mon Maître a eu fini de manger, il m'a nourri avec le reste, mais d’une façon très humiliante. Comme j’avais encore le bâillon anneau, il prenait une ou deux bouchées en bouche, les mastiquaient jusqu’à ce que cela fasse une sorte de bouillie puis, me nourrissait comme le font les oisillons. Je dois reconnaître que cela m’a fait sérieusement bander. Puis, il m’a poussé par terre et est allé se prendre une bière.
— Veux-tu une bière, esclave ?
A-t-il aboyé et j’ai fait oui de la tête.
— Tu dis Maître !
A-t-il rétorqué et m'a giflé le visage alors que je portais toujours le bâillon et j’ai eu du mal à dire :
— Maître, oui, s’il vous plaît, Maître.
D'une certaine manière, devoir parler alors que c’est presque impossible, a été pour moi très humiliant.
— Eh bien, tu peux prendre la bière que j'ai bue à l'heure du déjeuner !
Mon Maître a ouvert sa braguette et encore une fois, j'avais sa bite dans ma bouche, mais cette fois, j'ai eu droit à un torrent de pisse. Après cela j’ai pu ôter le bâillon et la majeure partie de la soirée, je l’ai passée allongé sur le sol à sucer les orteils du Maître ou aller lui chercher des bières dans la cuisine.
Mon Maître a regardé la télévision et il m'a utilisé pour changer de chaîne, de volume, etc. ; j’étais franchement son loufiat. Il a dû voir que j’étais déçu. Ne m’a-t-il pas lancé :
— Pourquoi devrais-je gaspiller de l'argent pour acheter des piles alors que toi, esclave, tu peux faire le travail ?
J’étais fixé. Et, durant pauses publicitaires, je devais me mettre fixe devant lui et il jouait avec ma bite me menaçant de castration si je devais tirer ma charge sur lui et qu'il ne me laisserait en tout cas plus jamais jouir !
Finalement, à l'heure du coucher, j’ai pu ôter toutes les sangles et j’ai été autorisé à prendre une douche. Après cela, il m'a montré mon lit - un grand panier en plastique pour chien à côté du lit de mon Maître.
Mon Maître, m’a ordonné d’en acheter un aussi pour chez moi ; il ne veut plus que je dorme dans un lit ! Mon Maître a aussi pris une douche, puis est revenu dans la chambre tout nu.
J'espérais une séance de sexe sauvage, mais en fait, tout ce qui s'est passé, c'est qu'il s'est tenu, s’est branlé et m’a douché avec son nectar de Maître. J'ai pu récupérer pas mal de son jus avec mes doigts et les lécher, mais le reliquat est resté toute la nuit sur mon corps.
J'ai dormi aussi bien que l'on peut s'y attendre dans un panier en plastique pour chien. Le matin, j'ai été réveillé par la voix de mon Maître. Il s'était branlé et avait besoin moi pour tout nettoyer avec ma langue.
J'ai vraiment aimé passer ma langue sur son ventre couvert de sperme et m’attarder sur son nombril devenu un puits à jus. Mais, bien sûr, le point culminant était de happer les dernières gouttes de sa bite même, mais aussi de son méat.
— J'ai une surprise pour toi ! Nous sortons. Tu peux porter ceci.
Il m’a montré l'inévitable short très/trop court, mais j’ai aussi eu droit à un T-shirt, même si j'étais très maigre.
Nous avons marché quelques rues de là où vivait mon Maître. Sur le chemin, il est allé dans un bistro et m'a dit de rester dehors en posant mon dos contre les balustrades le long du bord de la route avec mes bras tendus de chaque côté.
Ma bite pressait contre le short et j'ai attiré des regards très étranges. J'étais sûr que quelqu'un allait m'offrir de l'argent pour du sexe. Nous avons continué jusqu'à un petit magasin avec l'enseigne à l'extérieur : TATOUAGES ET PIERCINGS. Je savais ce qui allait arriver.
— Bonjour, Gilles, je veux que mon esclave soit percé. Prince Albert et ses deux tétons.
A dit mon Maître. Puis en me regardant il a lancé :
— À poil !
J'ai passé le t-shirt par-dessus ma tête et j'ai laissé tomber le short. Je me tenais nu devant mon Maître, le perceur et un autre gars qui était assis là, comme si c'était la chose la plus naturelle au monde. On m'a dit de m'allonger sur une table et encore une fois ils ont parlé de moi comme si je n'étais pas là.
— Tu ne peux pas prendre un esclave plus jeune. Celui-ci est un peu passé. Belle bite, cependant.
Ils ont tous examiné ma bite comme s'il s'agissait d'une saucisse dans une boucherie. Le perceur a retiré mon prépuce, puis l'a soulevée pour examiner mes couilles avec la question :
— Pourquoi ne pas lui mettre quelques bagues dans son scrotum ?
— Les affaires sont-elles si mauvaises ? Je vais y réfléchir… et peut-être qu’une prochaine fois…
A dit mon Maître et le perceur s'est mis au travail. Je m'attendais à ce que le piercing à la bite fasse vraiment mal, mais en fait les tétons m’ont fait bien plus mal même avec ce qu’ils m’avaient donné comme anesthésique.
Alors que je haletais quand l'aiguille me pénétrait, mon Maître serra ma main. C’était la première preuve d’affection qu'il m'avait témoignée ; ce qui a atténué la douleur bien plus que n'importe quel anesthésiant.
Une fois le travail terminé, ils m'ont mis debout pour admirer le travail. Alors que le perceur me présentait un miroir pour que je puisse voir, il en a profité pour me caresser le cul et m’a introduit un doigt, puis deux pour explorer ma fissure.
Je regardais mon corps nu et les anneaux avec admiration ; je me sentais réellement un vrai esclave et c'était merveilleux ! Le perceur m’a refilé une feuille de papier en me disant :
— Ton esclave n’est peut-être qu’un sous-homme, mais fais-lui lire ces pages pour qu’il puisse se soigner et pour que toi, tu puisses rapidement à nouveau maltraiter ses tétons... et sa bite ! Si j’étais ton Maître, je l’obligerais à connaitre tous ces points par cœur !
Et mon Maître simplement de dire :
— Tu as entendu ! Connaître par cœur et vite !
J’étais fixé et j’ai lu.
Pour que la cicatrisation de ton piercing téton se passe au mieux il faudra donc suivre rigoureusement certaines règles d’entretien et de soins :
Toujours se laver les mains avant de toucher son piercing !
Il est toujours important de le toucher avec des mains propres pour éviter d’y amener des bactéries.
Nettoie ton piercing à l’aide d’une solution saline.
Il faudra impérativement garder ton piercing propre pour éviter tout risque d’infection. Évite le frottement avec des vêtements ; le mieux c’est de courir à poil.
Laisse le téton tranquille.
Il faudra attendre avec patience avant de pouvoir punir ton esclave en tordant ses tétons ! Ton Maître devra attendre de pouvoir pimenter sa prise en main ; il devra être patient. Il devra attendre que la cicatrisation de ton nouveau piercing soit totalement terminée.
Non seulement la bouche ou les mains transportent des bactéries qui pourraient causer une infection, mais bouger le bijou et jouer avec, risquerait d’abîmer les tissus cicatriciels, cela risquerait d’engendrer une cicatrice, ou même un rejet du piercing. Je te conseille de venir me voir chaque mois.
Courir torse nu
Si ton bijou de ton piercing téton s’accroche à tes vêtements, cela sera douloureux, mais surtout peut provoquer le rejet. Dans ta condition, je préconise qu’il t’oblige à rester torse nu.
Si en plus ton Maître t’a offert un piercing Prince Albert, il est conseillé de t’ordonner de courir le plus souvent possible à poil.
Porter le bon bijou de pose.
Il faudra donc privilégier un bijou en titane afin d’éviter des irritations de la peau. Ton Maître t’a payé un anneau léger pour éviter de tirer sur le piercing, mais suffisamment grand pour supporter le gonflement durant le début de la cicatrisation.
Pendant que je lisais, mon Maître était en discussion avec le perceur devant une bière et puis ils sont arrivés tous deux et mon Maître de féliciter le perceur :
— Bon travail, Gilles ! Peut-être qu'il devrait retourner dans cette tenue d’Adam à l'appartement, comme cela tout le monde pourrait profiter de la vue !
Bien que cela soit conseillé, mon cœur battait la chamade. Je savais au fond de moi qu'il ne pouvait pas me faire cela… bien que… Mais alors tout semblait possible. Mon Maître a ri quand, il a vu l'expression de panique sur mon visage et m'a dit de remettre mes vêtements.
Je me suis glissé dans le short et le T-shirt.
— Eh bien, laissons-les au moins jeter un coup d'œil !
A ajouté mon Maître et il a fait deux trous avec des ciseaux dans le t-shirt pour que mes tétons soient visibles pour tous les passants ! Nous nous sommes mis en route et en chemin mon Maître m’a demandé :
— Alors, esclave as-tu lu toutes les prescriptions ?
— Oui, Maître mais, vous allez vous priver de quelques plaisirs, car vous devrez laisser les tétons et la bite de l’esclave que je suis, tranquille jusqu’à la cicatrisation complète des piercings !
J’aurais mieux fait de me taire, parce qu’en plein rue, il a ôté la ceinture de son pantalon et a commencé à me tanner le dos et les fesses devant tous les passants ! Je l’avais profondément vexé !