Jim Anderson et le conseil des ombres (07)


Jim Anderson et le conseil des ombres (07)
Texte paru le 2012-04-03 par Tom   Drapeau-fr.svg
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Chapitre 7

Aveux

Il ne sera pas dit que s’en prendre à Jim Anderson puisse rester impuni ! Jim écumait de rage tout en besognant un jeune noir de sa réserve personnelle. Le jeune éphèbe à la peau d’ébène pleurait tandis que Jim le besognait devant les membres de son gang. Le détective était pressé aujourd’hui. Il avait décidé de se débarrasser de sa corvée journalière rapidement avant de régler son compte à se traitre de Gustave ! Après s’être introduit dans la cellule des prisonniers, il s’était emparé d’un jeune vêtu d’un simple boxer et l’avait traîné hors de la cage alors qu’il l’insultait. Puis, à même le sol, il l’avait sailli sans préparation devant le regard affolé des autres. Au bout de quelques minutes, son précum avait commencé à faire effet et le jeune black poussait maintenant des gémissements de plaisir. Le détective ne tarda pas à se vider et bu goulument le sperme de sa victime du jour. Il se releva, laissant le black à demi-conscient sur le sol, l’anus dilaté et dégorgeant de semence. Maintenant qu’il n’était plus puceau, il ne lui servirait plus à rien ; Tamara pourrait l’utiliser comme reproducteur pour son élevage de Koloss.

Jim sortit de la pièce et se rendit dans la salle du Conseil où il trouva Liam en train d’analyser une pile de compte-rendu. Le jeune homme leva la tête en voyant Jim entrer et lui sourit.

— Comment te sens-tu aujourd’hui, commença son chargé des relations humaines.

Jim grimaça.

— Ça ira mieux lorsque j’aurai réglé son compte à ce traitre de Gustave !

— Tu vas chez lui ?

— À son bureau, je dois trouver des indices sur là où se planque Kamji.

— Souhaites-tu que je t’accompagne ?

— Non, c’est trop dangereux.

— Je pourrai t’aider à fouiller ses papiers, je suis plutôt doué pour ça. Et puis je sais me défendre, j’ai participé à ton sauvetage !

Jim réfléchit. Liam pourrait lui être utile. À deux les recherches iraient plus vite.

— C’est d’accord, mais tu ne prends pas de risque. Si je te dis de te planquer, tu obéis. Si je te dis de t’enfuir, tu obéis.

— Oui, chef ! S’exclama le jeune homme le sourire aux lèvres.

Les deux hommes partirent quelques heures plus tard et se rendirent au siège de l’Observeur. Ils se tenaient devant le portail servant d’entrée au bureau de Gustave et Jim hésita à l’emprunter. Cependant, il ne connaissait aucune autre entrée, et il s’y jeta, Liam à sa suite. Comme la fois dernière, il sentit des mains invisibles le palper, s’introduire dans son intimité puis, brusquement, il se retrouva projeté à quatre pattes sur un sol dur. Il observa l’endroit où il se trouvait ; une chose était sure, ce n’était pas le bureau de Gustave. Et où était Liam, pourquoi n’était-il pas avec lui ?

Le détective se releva ; il n’aurait jamais du accepter d’emmener le jeune homme avec lui. Il savait Liam robuste, mais fragile en même temps. Ils s’étaient rencontrés quelques mois après la mise sur le marché de l’Or Blanc alors que Jim essayait de démanteler une filière de distribution de la drogue de Kamji avec l’aide du GILD.

* * *

Un soir, le détective avait suivi un des dealers et l’avait surpris en train de vendre sa marchandise à un jeune homme. Il ne devait guère avoir plus de seize ou dix-sept ans et cela l’intrigua. Il le suivit donc et le vit s’introduire dans une vaste maison bourgeoise. Impossible d’y entrer, avait d’abord cru le détective, puis il avait déniché une entrée de service par laquelle il s’était glissé. Explorant la maison, il avait découvert des préparatifs impressionnants en vue de ce qui devait être une cérémonie de mariage, du moins c’est ce qu’il supposa lorsqu’il vit la photo d’un couple, jeune et souriant, lui blond aux yeux bleus, elle petite et brune. Ils semblaient heureux. Jim compris plus tard que Liam était alors fiancé et sur le point de se marier. Il entendit des voix et se dirigea vers elles, gagnant ce qui semblait être l’entrée de la maison. Là trois hommes et deux femmes se disaient au revoir. Les deux femmes avaient enfilé leur manteau, s’apprêtaient à sortir et saluaient les trois hommes. Une des femmes, plus âgée que l’autre, embrassait sur la bouche un homme grand et solidement bâti, la quarantaine, vêtu d’un jean serré et d’un t-shirt à manches courtes qui mettaient en valeur sa musculature. Il lui rendait son baiser en la pressant contre lui. Elle se détacha et lui sourit.

— Patrick, j’emmène notre fille faire un tour ce soir, on vous laisse entre homme, lui dit-elle. Elle a besoin de se détendre avant le mariage.

Puis elle se tourna vers un homme plus jeune, celui de la photo.

— T’en fait pas Liam, je vais la surveiller ta Lucie. Il faut qu’elle soit en forme pour votre nuit de noce.

Elle lui fit un clin d’œil et se tourna vers le dernier membre du groupe, le plus jeune, celui que Jim avait vu surpris alors achetait de l’Or Blanc.

— Je te les confie, Romain, veille à ce qu’il ne fasse pas de bêtise…

— T’inquiète pas maman, je veille au grain, lui avait-il répondu, pince sans rire.

Les deux femmes étaient partie après que Lucie eut longuement embrassé Liam sous le regard attendri de ses parents et étrange de Romain.

— Soirée bière et foot ! S’était alors exclamé Romain. Je m’occupe des bières !

Les autres s’étaient empressés d’acquiescer et Jim avait du se cacher alors que Romain se rapprochait de lui. Il le suivit et le vit ouvrir trois bouteilles de bière, puis glisser le contenu d’une fiole dans l’une d’entre elles. Puis il avait rejoint son père et son futur beau-frère, avachis dans des canapés moelleux, à qui il avait tendu leurs bouteilles. Jim s’était trouvé une planque discrète un rideau de verdure et observait la scène. Le match commença et les esprits s’échauffèrent alors que l’équipe qu’ils supportaient se prenait un pénalty. Bien évidemment, l’arbitre était un nul et avait probablement été acheté par l’équipe adverse. Puis Patrick s’était mis à transpirer et à boire sa bière de plus en plus vite.

— Vous ne trouvez pas qu’il fait chaud, avait-il déclaré à un moment donné avant d’enlever son t-shirt.

Son torse était musclé et recouvert de poils bruns tondus courts. Ils devaient se raser le torse de temps à autre et la repousse était épaisse et drue, composée de poils larges et durs. « T’enlève pas ton t-shirt ? » avait-il demandé à Liam en tirant sur son vêtement qui avait fini par craquer sous la tension.

Contre toute attente Patrick s’était mis à caresser les abdominaux imberbes et dessinés de Liam qu’il venait de découvrir en déchirant le vêtement. Il avait les yeux hagards, le souffle court.

— Mais… mais… mais qu’est-ce que vous faîtes avait alors déclaré Liam, surpris et paniqué, alors qu’il essayait de repousser la main de l’homme.

— Je… sais… pas, avait haleté son futur beau-père. Je…

Puis il s’était jeté sur lui et l’avait couché sur le canapé sur lequel ils se trouvaient tous les deux avant de plaquer sa bouche contre celle du jeune blond. L’autre se débattait mais l’homme qui l’écrasait maintenant de son poids le maintenait trop fermement. Jim avait vu la langue de Patrick forcer les dents de Liam, s’introduire profondément dans sa bouche. Une salive abondante s’écoulait sur le menton du plus jeune dont les yeux étaient exorbités de terreur. Puis Patrick glissa un genou entre ses jambes et les lui écarta pour s’y installer et tout en continuant de l’embrasser goulument, il se mit à frotter vigoureusement son pas ventre sur celui de Liam. Jim regarda alors Romain et le vit en train de se caresser l’entre-jambe puis sortir son sexe et se masturber en regardant les deux hommes. C’était donc cela… le jeune homme fantasmait sur son père et sur Liam et souhaitait les voir baiser ensemble… Patrick avait maintenant retourné son futur beau-fils sur le ventre et lui arrachait son short d’une seule et violente traction de la main tout en le maintenant fermement plaqué sur le canapé avec son autre main posé entre ses omoplates. Liam hurlait, se débattait, essayant de repousser Patrick ; mais rien n’y faisait, il ne faisait pas le poids face à un homme à la musculature deux fois plus développée que la sienne et drogué à l’Or Blanc. Patrick ouvrit alors son jean et fit jaillir son membre épais et gonflé qu’il frotta contre les fesses fermes et imberbes qui s’offraient à lui, puis, sans préparation, il glissa son gland rouge entre les fesses galbées et poussa d’un coup sec. Liam hurla, s’accrocha de toutes ses forces aux coussins de canapé qu’il mordit sauvagement. Ces yeux se remplirent de larmes. Il était en sueur, épuisé par le traitement qu’il subissait. Patrick continua d’entrée dans aucune pitié. Liam hurlait de plus belle. Parfois ses yeux s’écarquillaient comme la douleur se faisait plus intense puis se refermaient. Patrick finit par s’introduire complètement et commença à bouger. Le corps de Liam, frêle comparé à celui de l’homme qui le saillissait allait et venait sur le canapé au rythme des coups de reins puissants et vigoureux. Un cri rauque s’échappait de ses lèvres à chaque fois que le membre viril et dur lui fouillait les entrailles plus avant. Son dos devenait rouge sous l’effet de l’irritation causée par les poils raides du torse de son tortionnaire. Jim aurait du bouger, il le savait ; il aurait du aider ce jeune homme, mais il était malgré lui fasciné par la scène. Romain s’était complètement déshabillé à présent et s’était rapproché des deux hommes en continuant de se masturber. Puis il avait saisi la tête de Liam qui, les yeux baigné de larmes, l’avait regardé sans comprendre et alors qu’il ouvrait la bouche pour lui demander son aide, le jeune lui enfila son sexe entre les lèvres et commença à lui pilonner la gorge en lui tirant fermement les cheveux. La scène dura ce qui sembla être une éternité puis Patrick se libéra dans les entrailles qu’il avait conquise et s’effondra sur Liam. Voyant cela, Romain, toujours plus excité, ne put se retenir et, se retirant de la bouche de son futur beau-frère, lui éjacula un jus épais et blanchâtre sur le visage.

Jim s’aperçut qu’il haletait et, baissant les yeux, il vit une tache humide se répandre entre ses jambes. Lui aussi avait joui et son sperme s’étalait maintenant dans ses vêtements et coulait entre ses jambes. C’est alors qu’il vit Patrick reprendre de la vigueur et recommencer à s’en prendre à ce pauvre Liam. Cette fois s’en était trop. Il était sorti de sa cachette et s’était jeté sur lui et l’avait repoussé du jeune blond. Puis, d’un revers de main, il s’était débarrassé de Romain qui s’élançait sur lui et, avant que les deux hommes se relève, il s’était emparé de Liam et l’avait sorti de son enfer.

Depuis le jeune homme lui vouait une reconnaissance inconditionnelle. Jim ne lui avait pas avoué qu’il aurait pu le secourir plus tôt, ni qu’il avait joui en regardant la scène, mais il ne lui avait pas non plus avoué qu’il avait remarqué le sexe gonflé et gluant de sperme du jeune homme. Il semblait malgré tout y avoir pris un certain plaisir… Quelques temps plus tard, il avait rompu avec sa fiancé et intégré le Conseil des Ombres pour ne pas, disait-il, que d’autres subissent ce qu’il avait subi…

* * *

Mais où était Liam ? Jim se posait la question alors qu’il examinait la pièce dans laquelle il se trouvait. Il ne s’agissait pas d’une pièce à proprement parlé mais d’une grotte éclairée par d’innombrables torches. Où était-il ? Il observa les murs de la caverne, taillés dans une roche ocre et vit une ouverture non loin de là où il se trouvait. Il prit une des torches et parti l’explorer. Il chemina un bon moment sans rien découvrir, puis il entendit des cris, des plaintes et des gémissements. Il avança plus vite et déboucha sur une pièce creusée à même la roche. Des puits de lumières éclairaient vivement le centre de la chambre, là où se trouvait un hôtel de pierre. Et sur cet hôtel, il vit Liam, nu, sur le dos, les jambes repliés et les cuisses écartées. Il était maintenu par des chaînes aux poignets et aux chevilles. Entre ses jambes il vit Gustave. Il tenait quelque chose à la main et maintenait cette chose entre les cuisses de sa victime. Jim se rapprocha discrètement, se cachant parmi les nombreux rochers qui parsemaient la grotte.

— Que vient chercher Jim Anderson ?! demanda Gustave à Liam.

Jim vit alors ce qu’était l’objet. Il s’agissait d’une espèce de tige bleue, d’au moins dix centimètre de diamètre pour quarante de long, arrondi à l’une de ses extrémités. Son utilité ne semblait ne faire aucun doute.

— Allez vous faire foutre ! jura Liam.

— Mauvaise réponse, réplica Gustave, un sourire vicieux aux lèvres.

Il appliqua l’objet contre l’anus offert de Liam et Jim le vit prendre vie. Il se ramollit puis se mit à ondulé. Un relief se dessina à sa surface, telles les veines saillantes d’une verge d’homme. La chose libéra un liquide visqueux sur l’anus serré en se frottant contre puis commença à entrer. Les abdominaux de Liam son contractèrent puis son sexe se dressa et le jeune homme sembla alterner entre des moments de plaisir intense et de douleurs terribles. Son corps musclé et imberbe s’arquait, vibrait sous le traitement de la verge bleue.

— Sais-tu de quoi il s’agit Liam ? C’est un objet très utile et très rare. C’est une verge de xiezhi, une sorte de licorne à deux têtes. Et vois-tu, si l’on tue l’animal d’une certaine manière, il est possible de récupérer son sexe et lorsque l’objet en question féconde un être, son sperme agit comme le plus puissant des sérums de vérité. Aucun être, humain ou démon ne peut résister à sa puissance.

— Je… je… je vous dirai rien ! hoqueta Liam.

— C’est ce que l’on verra, renchérit Gustave.

La verge de xiezhi continua d’entrer dans les intestins de Liam, se frayant impitoyablement un passage. Le jeune homme essayait de pousser pour éjecter la chose mais rien n’y faisait et brusquement son anus se referma, avalant les derniers centimètres du sexe bleu. Liam se contorsionna encore un moment, son corps se cambrant sur l’hôtel de pierre puis il cessa soudain de lutter.

— Il… il… il est à votre recherche… commença à avouer Liam.

— Pourquoi ? le questionna le journaliste démon.

— Il veut se venger de ce que vous lui avez fait subir et il veut aussi savoir si vous savez où se trouve Kamji.

— Et a-t-il une piste ?

— Non…. Mais…

Jim vit Liam tenter de résister.

— Mais quoi ?! Insista Gustave.

— Mais… moi… je… ssssais… où… il …est…

Liam essayait de retenir les mots mais il ne pouvait empêcher le sperme de xiezhi de faire son effet.

— Et comment le sais-tu ? voulu savoir Gustave.

— Je… je … je vous… vous… ai entendu parler… avec lui quand je suis entrez… ddddans… la… piècccce… a… a… avant que vous ne m’aaaaatttttrapppiez.

— Ah oui et qu’as-tu entendu exactement.

Cette fois Jim en avait assez entendu. Il sortit de sa cachette et se rua sur Gustave. Le démon l’entendit arriver et, à la vitesse de l’éclair se retourna, prêt au combat. Les deux êtres s’empoignèrent et luttèrent, chacun essayant de frapper l’autre. Puis Jim pris l’ascendant et immobilisa Gustave sur le dos.

— Je te conseille d’aller t’occuper de ton ami si tu ne veux pas qu’il y reste, commença Gustave.

— C’est pas comme ça que tu vas m’échapper Gustave, je te tiens.

— Tu ne connais pas les verges de xiezhi n’est-ce pas. Une fois introduite, elles poursuivent irrémédiablement leur chemin à travers leur hôte et une fois qu’elles atteignent leur cerveau, l’hôte meurt !

— Tu mens ! Éructa Jim.

— Tu veux prendre le risque ?

Jim réfléchit un instant puis lâcha Gustave et s’élança vers Liam. Le jeune homme haletait, paniqué, écrasé par la douleur et le plaisir.

— Qu’est-ce qui se passe Jim… cette chose… je la sens… aide moi !!

Jim fit le tour de l’hôtel et vit les abdominaux dessinés de Liam onduler. Gustave ne semblait pas avoir menti, la verge poursuivait son entrée. Il vint se placer entre ses jambes écartées.

— Détends-toi, Liam, je vais te sortir de là.

Il ferma son poing et le plaça sur l’anus de Liam rendu visqueux par la substance libérée par la verge de xiezhi puis il commença à pousser. Liam se cambra.

— Et mais tu fais quoi là ?! Ahh, ça fait ma !! C’est trop gros Jim !! Arrrrêêêttttte !!!

— Désolé, mais j’ai pas le temps de trouver autre chose. Tiens bon.

Le poing de Jim entra suivit de son avant bras. Le détective savait qu’il ne disposait que te peu de temps avant que la chose ne lui soit inaccessible. Il ignora les hurlements de Liam et il avait largement dépassé son poignet lorsqu’il sentit le sexe gigoter. Il ouvrit sa main et attrapa l’objet qui lui échappa. Il poussa d’un coup sec, arrivant cette fois presque au coude et s’agrippa à la verge. Cette fois il ne la lâcha pas. Elle se démenait, s’agitant dans les entrailles qu’elle occupait. Jim voyait le sexe du jeune homme tendu sous l’effet des stimulations qu’il recevait. Soudain, le sexe vibra et Liam éjacula abondamment. Jim en reçu sur les cheveux et les joues. Il senti le liquide chaud glisser vers son menton et dans son cou. Il commença à tirer la créature, doucement pour ne pas la lâcher et lorsqu’après près d’un quart d’heure de lutte, il parvint à la retirer, Liam avait déjà éjaculé de nombreuses fois. Le détective, couvert de sperme, examina alors l’objet qu’il tenait dans ses mains. Il avait repris sa forme inerte, celle d’un baton bleu sans vie. Il regarda Liam qui n’osa le regarder, honteux d’avoir recouvert de sperme son patron.

— Je… je… suis désolé, Jim.

— Désolé de quoi ? lui demanda le détective.

— J’ai… j’ai joui… je veux pas que tu crois que j’ai aimé ça, mais… j’ai ressenti des choses… c’était…

— N’en parlons plus, le coupa Jim en le libérant de ses entraves. Personne ne saura ce qui s’est passé ici.

Le jeune homme reniflait.

— Merci.

— De rien. Tu as été plus que brave… c’était difficile…

Liam ne dit rien.

— Est-ce vrai ce que tu as dit ? Sais-tu où se trouve Kamji ?

— Oui. Il est dans les Grottes de la Perdition. Il pense ne courir aucun danger là-bas.

— Et bien c’est ce que l’on va voir !


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