La douche (Pascal0)
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Texte d'archive:
Date de publication/archivage: 2018-01-01 Auteur: Pascal |
J’invite suffisamment souvent des conquêtes féminines à partager mes nuits de célibataire pour pouvoir dire que je ne suis pas homosexuel et, pourtant, je jouais depuis un certain temps avec l’envie d’un rapport avec un homme. En fait, ça avait commencé avec l’arrivée au bureau d’un jeune type au charme très nonchalant et au corps très souple, Marc. J’avais beau être exaspéré par ses regards perpétuellement chaleureux, à sa façon de se coller à moi pour lire par dessus mon épaule ou sa manière mouillée de dire mon prénom, il n’empêche que j’étais excité par ses attentions.
Pour aller au bout du sentiment de colère et de désir qui m’attirait vers lui, je décidai de l’attirer un jour chez moi pour expérimenter les phantasmes qu’il m’inspirait.
Je l’appelai un soir où les femmes ne me disaient rien. « Marc, Luc à l’appareil. Tu es libre ce soir ? Il y a des choses dans nos relations que je voudrais examiner avec toi. » De l’autre côté, après un silence surpris, je l’entends qui réponds : « Mais volontiers, j’arrive tout de suite, le temps de me préparer. » Mon invitation me semblait assez équivoque pour l’attirer sans qu’il puisse deviner qu’elles étaient bonnes. Je l’accueillis avec le sourire le plus innocent dont j’étais capable et refermais soigneusement la porte à clé derrière lui. Pour l’occasion, il s’était vêtu d’une fine chemisette largement échancrée et d’un pantalon qui lui moulait tellement les fesses et le sexe qu’un myope même aurait qu’il ne portait pas de slip. À cet instant, je sentis revenir mon exaspération et mon désir et c’est d’un ton plus tendu que je lui dis : « Marc, si je ne me trompe pas, je te plais. C’est exact ? » Le pauvre vieux, complètement perdu par ma franchise, secoua doucement la tête, attendant de savoir où je voulais en venir. Je repris : « Je te plais et tu meurs d’amour, tu roules des yeux énamourés en attendant que je veuille de toi. Eh bien, sois heureux, tu veux que je te baise et je vais te baiser, seulement je vais le faire à mon goût et je te conseille d’obéir sans discuter. C’est clair ? » Il m’avait écouté sans rien dire et je voyais juste ses yeux s’agrandir de surprise quand, à la fin de mon discours, il ouvrit la bouche pour répondre.
Il n’en eut pas le temps puisque je le poussai fermement vers la chambre et gueulai à son oreille : « Ta gueule, déshabille-toi. » Planté au milieu de la pièce, il défit maladroitement les boutons de sa chemise et, la laissant tomber, resta torse nu, les bras ballants à attendre. J’étais déjà très excité et, abandonnant la contemplation de ce ventre plat et imberbe, je m’approchai et le giflai. « Nu, je te veux entièrement nu pour moi. » Il refoula ses larmes et défit les boutons de son pantalon qu’il fit tomber sur le tapis. De toute évidence, la situation l’excitait autant que moi puisque son sexe se dressait à toute vitesse. Le prenant par les épaules, je le fis tourner et passai un doigt entre ses petites fesses serrées. « T’as un joli cul mais il faudrait me décontracter un peu tout ça. »
Le plantant là, je fouillai dans mes tiroirs et revins avec un tube de lubrifiant. Je m’en enduis largement le majeur et, sans prêter attention a ses gestes de refus, je l’enfonçai sans hésiter dans son anus contracté. Il eut un petit cri et fit un mouvement pour partir. Aussitôt, je le pris par les cheveux et le giflai encore. « Bouge pas et aide-moi à me déshabiller. » Je commençai par enlever ma ceinture et, tandis qu’il défaisait mes habits, je fouettais doucement ses fesses et son sexe bandé. Lorsque je fus nu, je lui liai les mains avec la ceinture et, prenant sa tête par les cheveux, je la poussai vers mon sexe. « Suce, tu voulais ma queue maintenant, tu l’as, alors suce. » Ses mains liées posées sur mes couilles, j’enfonçai ma queue dans sa gorge et je sentis sa langue lécher doucement mon gland que je faisais aller d’avant en arrière en tirant sur ses cheveux.
Quand j’en eus assez de ce jeu, je le redressai et l’entraînai dans la salle de bain. Sous le flot de la douche brûlante, le lui mis le savon dans la main et lui ordonnai de me laver, je déliai ses poignets et m’abandonnai à la caresse du savon et de sa peau qu’il passait sur mon corps. Quand ceci fut fini, je lui enfonçai la figure entre mes fesses et lui ordonnai de ma lécher l’anus. La caresse de sa langue sur mon trou contracté alors que l’eau coulait toujours sur nous, tout cela augmentait encore mon excitation et, quand je n’en pus plus, je le fis mettre de dos à moi, les mains appuyées au mur. Les mains enduites de savon, je caressai longuement chaque partie de son corps et m’attardai sur son sexe que je branlai violemment. Je pénétrai profondément son cul de mes doigts savonneux, et, alors qu'il était près de l’orgasme, je lui fouettai le dos, les cuisses et les fesses avec la ceinture. Quand son corps fut couvert de marques rouges, je jetai la ceinture et mon sexe rendu énorme par l’attente, s’enfonça d’un seul coup dans son petit cul pantelant de désir et de douleur.
Sous le choc, il poussa un cri et, alors que je défonçai puissamment son cul, ma main accompagnait le mouvement en le branlant. Son sexe gicla aussitôt et son sperme coula sur le mur. Alors je me retirai d’un coup et lui engouffrai ma bite à exploser dans la bouche. À moitié groggy, il se mit à me sucer et, enfin, je jouis, aspergeant sa gorge et son visage d’une marée de foutre brûlant qu’il léchait aussitôt.
Nous sommes sortis de la douche épuisés et trempés mais cette expérience devait m’ouvrir des envies nouvelles et, si je n’ai jamais refait l’amour avec Marc, il m’arrive assez souvent d’attirer des garçons chez moi, pour prendre une douche.
Pascal.