La formation de Féline (01)
Texte paru le 2018-02-21 par Homgrey

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'''1er jour : l’arrivée'''
Il est 7 heures du matin, c’est une belle journée de printemps et par chez toi le soleil chauffe déjà. Ton avion est à 8h45, tes bagages sont prêts. Ta femme et ta fille sont également prêtes pour t’accompagner à l’aéroport et vous quittez la maison dans la bonne humeur.
Sur le chemin, tu repenses à la mise en place de ce voyage… Officiellement, tu pars en formation professionnelle pour plusieurs jours à Reims afin de pouvoir prendre davantage de responsabilités ensuite dans ton boulot. Mais en réalité, tu vas pour la première fois rejoindre ton Maître et te soumettre à lui en réel et non plus par Skype comme ce fut le cas jusqu’ici.
Ton vol est affiché sur les écrans et tu embrasses tes femmes avant de t’engager dans la zone des départs… Dans le couloir, ne portant pas de sous-vêtement à la demande de ton Maître, ton sexe toujours décalotté bien que non circoncis, frotte ton jean et te provoque une excitation certaine. Du coup, tu penses à la nuit passée où tu as honoré ta femme du mieux que tu le peux. Tu te souviens de ses gémissements lorsque ta bouche s’est posée sur son sexe, la façon dont tu as englouti son clitoris pour le titiller avec tes lèvres et lui offrir sa première jouissance. Lorsqu’elle eut repris ses esprits, tu l’as pénétrée avec force et virilité pour atteindre ensemble l’extase. C’est ainsi que tu prends place dans l’avion pour rejoindre Paris avec une belle érection.
Vol sans perturbation et alors que tu quittes l’avion pour aller récupérer tes bagages, l’angoisse s’installe : le Maître est-il derrière les portes à t’attendre ? Tu arrives enfin dans la zone d’accueil et là, stupeur, tu ne le vois pas. Tes jambes tremblent, ton regard se perd sur les visages des personnes face à toi, non il n’est pas venu. Tu es tellement perturbée que tu ne vois pas un homme aux cheveux châtains clairs qui tient une petite pancarte sur laquelle est écrit Formation Féline. Alors que tu es en plein désarroi, c’est finalement lui qui t’aborde en posant une main sur ton épaule et t’interpelle : Féline ? Surprise, tu réponds oui sans plus rien comprendre. Il t’expose alors rapidement qu’il se nomme Indis, qu’il est le soumis sous contrat de ton Maître, lequel, retenu pour des raisons professionnelles, l’a dépêché pour venir te chercher. Ouf, te voici rassurée, mais pas totalement. À sa demande, vous prenez la direction du parking après que tu téléphones rapidement à ta femme pour lui confirmer ton arrivée sans problème.
Lorsque vous vous installez à l’avant du véhicule et que tu boucles ta ceinture, tu remarques que la braguette d’Indis est totalement ouverte, voire même que son pantalon en est dépourvu, comme s’il ne s’agissait que d’une fente dans le tissu s’ouvrant librement. Alors que vous quittez la région parisienne, tu te décides enfin à lui poser la question sur ce point. Il t’expose qu’en effet ses pantalons sont dépourvus de braguette à la demande du Maître et qu’en présence de celui-ci, il doit veiller à tenir la fente ouverte pour que son sexe soit apparent, du moins la cage de chasteté qui l’emprisonne. Tout ceci est nouveau pour toi et tu es un peu perdue… Sans doute pour reprendre pied, tu prends ton portable pour rappeler ta femme, Indis te demande alors de bien vouloir ne rien n’en faire puisqu’officiellement tu rejoins Reims en train et non en voiture. Tu es vexée, mais tu obéis.
Après 1h30 de voyage vous arrivez devant un vaste portail qui s’ouvre devant vous et vous longez un chemin arboré pour vous garer devant le seuil d’une belle propriété bourgeoise. Indis te fait pénétrer dans le hall d’entrée et y déposer tes bagages non sans avoir pris la peine de te débarrasser de ton blouson. Et là, contre toute attente, tu la vois ouvrir l’une des armoires présentes dans le hall et y suspendre la veste et la chemise qu’elle vient de retirer. Elle retire ensuite ses chaussures et son pantalon qu’elle range également. Stupeur pour toi, tu la découvres portant un porte-jarretelles, des bas assortis, ton regard s’attarde sur sa cage de chasteté. Sans doute a-t-elle remarqué ton étonnement, et tout en ouvrant le tiroir d’une commode, elle t’explique qu’il s’agit de sa tenue ordinaire dans la maison du Maître et qu’elle doit encore la compléter. C’est alors que tu la vois sortir du tiroir un plug en forme de queue de chien qu’elle s’introduit immédiatement dans l’anus puis un collier qu’elle fixe à son cou. Elle t’indique qu’elle est désormais parée et qu’elle va te servir à déjeuner. Tu la suis donc jusqu’à la cuisine et l’image de cette queue de chien dans ses fesses te fait bander jusqu’au moment où tes yeux se portent sur une marque sur le haut de sa fesse gauche, le motif te dit quelque chose, mais tu ne te souviens pas précisément. Interrogée sur cette marque par tes soins, Indis t’expose que c’est la marque du Maître, une fleur de lys, la marque de l’infamie et que le Maître la lui a faite au fer rouge. Cette réponse te glace le dos.
Indis te fait t’asseoir à la table de la cuisine où ton couvert est déjà posé et te sert une coupe de champagne que tu dégustes pendant qu’elle s’affaire aux fourneaux. Les bulles aidant, tu l’interroges pour savoir si elle déjeunera avec toi et, joueuse, elle te confirme que oui, mais pas à table. Tu constates alors que tout en te répondant, elle vient de sortir une gamelle de chien qu’elle porte sous son sexe encagé et dans laquelle elle laisse échapper quelques jets d’urine. Tu es écœurée, mais elle poursuit ses activités, le fumet des plats te calme, car tu as très faim. Tu l’observes et tu vois qu’elle prélève dans chaque plat des aliments qu’elle déverse dans sa gamelle et mélange ensuite. Elle dépose les plats devant toi et te souhaite bon appétit et là, tu la vois s’emparer de sa gamelle, la poser au sol, se mettre à quatre pattes cul tourné vers toi et manger comme une chienne uniquement avec sa bouche, ses mains reposant sur le sol. Cette vision n’est pas pour te déplaire et, la bite demi-molle, tu déjeunes avec plaisir.
Après un excellent café, Indis t’indique qu’elle va te conduire à ta chambre et vous quittez la cuisine pour vous rendre à l’étage et pénétrer dans une vaste chambre aux nombreux miroirs. Un coin bureau y est aménagé et Indis s’y installe et tu te rapproches d’elle. Elle t’expose que l’ordinateur installé sur le bureau est à ta disposition et que tu y trouveras des photos du lieu présumé de ta formation, des équipements, de ta chambre pour t’adresser à ta famille. Elle te précise aussi que tu as accès par visioconférence à ta prétendue formation et qu’en fin de séjour tu subiras un test par QCM pour la valider, ce qui implique que lorsque le Maître ne disposera pas de toi, il te faudra travailler.
Ces explications étant données, Indis toujours assise au bureau te demande de bien vouloir lui remettre tes papiers d’identité, tes moyens de paiement. Tu es surprise, mais lorsqu’elle te rappelle que ce sont les instructions du Maître, tu obtempères. Indis les place dans une enveloppe kraft qu’elle referme pour dépôt au coffre du Maître te dit-elle. Ensuite Indis te demande de bien vouloir poser tes bagages sur le bureau et de les y vider, ce que tu fais, et pendant ce temps elle a sorti de sous le bureau une corbeille à linge, ce qui ne manque pas de t’intriguer. Elle commence par poser dans la corbeille tous tes boxers, tes chaussettes, non sans émettre un commentaire sur le fait que le Maître déteste les chaussettes de tennis, suivent ton pyjama et l’ensemble de tes sweats ou chemises. Bref, il ne te reste plus que ton nécessaire de toilette et, curieusement, une tenue de sport avec les chaussures adéquates. Tu t’inquiètes et Indis t’indique que tu auras d’autres vêtements durant ton séjour.
Contre toute attente pour toi, elle te demande de te déshabiller, tu marques un temps d’arrêt et elle te précise qu’elle préfèrerait ne pas utiliser la manière forte pour t’y contraindre, alors une fois de plus tu cèdes. Pourtant, un sursaut d’orgueil te pousse à ne pas retirer ton jean pour ne pas être nue, tu es donc plantée là, pieds et torse nus. Indis te demande d’enlever ton jean et tu ne bouges pas d’un pouce, elle se lève alors et t’administres une paire de gifles à laquelle tu ne t’attendais pas. Les larmes au bord des yeux, tu ouvres ton jean et le retires, et comme par réflexe, tu caches avec tes mains ton sexe. Indis, toujours à tes côtés, attrape tes mains et dévoile ton sexe, manifestement admirative, elle n’hésite pas à passer l’une de ses mains sur ta verge puis sur tes couilles. Tu n’es pas insensible à cette caresse et ton sexe se dresse ce qu’Indis ne manque pas de remarquer, elle t’empoigne donc par la verge de l’autre main elle tient ton nécessaire de toilette et te guide à la salle de bain qui jouxte ta chambre.
Très belle salle de bain avec douche, baignoire de balnéo et là encore de nombreux miroirs. Indis te demande de te doucher et tu la vois sortir tes affaires de toilette au travers de la paroi vitrée de la douche et les disposer sur la grande vasque. Tu coupes l’eau après cette douche agréable et t’apprêtes à en sortir lorsqu’Indis qui a retiré ses bas et son porte-jarretelles vient t’y rejoindre, tu restes interdite… Elle te contourne et décroches du mur un flexible équipé d’un embout pour lavement, tu comprends ce qui t’attend et avec résignation tu la laisses te courber, t’écarter les fesses et introduire en toi l’embout. L’eau est tiède et ton ventre rapidement gonflé, tu gémis et demandes à aller aux toilettes, mais tu essuies un refus, c’est une douche vénitienne dont l’évacuation a été conçue pour supporter ce genre de chose. Tu te vides donc devant elle et elle masse ton ventre pour t’y aider, mais cela reste très humiliant pour toi. Cinq fois elle renouvelle l’opération avant de vous rincer totalement et de sortir de la douche. Vous vous séchez, elle remet ses bas et son porte-jarretelles et vous repartez dans la chambre.
Tu es nue au milieu de cette chambre et les miroirs te renvoient l’image de ton corps. Indis t’invite à te diriger vers une commode et une armoire de l’autre côté de la pièce, ce faisant, tu remarques divers anneaux sur les murs, mais n’en tire pas de conclusions. Elle range tes chaussures de sport dans le bas de l’armoire et la tenue qui va avec dans la commode. Elle ouvre un autre tiroir de la commode et tu y découvres pour moitié une collection de bas et pour l’autre de porte-jarretelles. Un troisième tiroir est ouvert par elle et cette fois, ce sont des strings et des corsets, tours de taille qui y sont rangés. À sa demande, tu choisis un porte-jarretelles mauve, car tu te souviens que ton Maître aime cette couleur, elle choisit les bas qui y sont assortis et te demande de bien vouloir passer le tout sur toi, ce que tu fais. Immédiatement, tu te sens femelle, voire pute, et tu lances la main dans le tiroir des strings pour trouver celui qui irait avec ton ensemble, elle t’arrête dans ton mouvement et t’indique que cela te gênerait plus tard, en revanche, elle te fixe sur la taille, un tour de taille assorti et le lace bien serré. Elle te dirige vers l’armoire et en sort une veste en soie qui se noue sur ta taille, tu la passes et te regardes dans un miroir, tu es superbe et la transparence de la veste est du plus bel effet. Du coup, tu bandes, ce que la veste ne peut cacher puisqu’elle s’arrête au-dessus de ton pubis. Elle te trouve les chaussures à talons assorties et tu les mets, tu as toujours aimé en porter, du coup ta croupe est mise en valeur. Tu bandes toujours et cette fois tu t’admires fièrement devant la glace. Indis passe encore une fois sa main sur ta bite érigée et tu gémis et te mords les lèvres, mais elle ne s’y attarde pas et se dirige vers une autre commode dont elle extrait des bracelets en cuir te semble-t-il, et un objet que tu connais bien : un plug. Il s’agissait bien de bracelets, mais assez larges, munis d’une double boucle et supportant chacun un anneau. Elle t’en place un à chaque poignet puis à chaque cheville. Ton érection n’en diminue pas pour autant, mais tu restes inquiète au fond de toi. Elle te présente le plug à hauteur de tes yeux, il est de taille moyenne, et te demande de bien vouloir le sucer pour le lubrifier, ce que tu fais non sans hésitation, mais cela te rappelle tout de même les godes que tu suçais face à la cam pour ton Maître. Sans que tu t’y attendes, Indis se met à genoux devant toi et prends ton sexe en bouche, tu es surprise, mais tu apprécies, ses mains remontent sur tes seins et les pinces au travers de ta veste, tu es aux anges, tu espères qu’elle va te mener à la jouissance, mais non. Sans que tu aies le temps de réaliser, elle lâche tes seins, retire le plug de ta bouche et tout en continuant à te sucer, sans doute pour faire diversion, elle te l’introduit d’un coup dans la chatte. Tu ne peux réprimer un cri, mais te voilà la chatte pleine et Indis quitte ta bite pour te demander de bien vouloir te masturber et jouir sur son visage, ce que tu te mets à faire alors qu’elle t’excite en jouant avec ton plug. Tu ne sais pas pourquoi, mais ton excitation est à son comble et très vite cinq ou six jets s’abattent sur son visage, elle te remercie, récupère avec sa langue le sperme proche de sa bouche et passe rapidement à la salle de bain pour enlever le reste. Lorsqu’elle revient, tu es toujours au même endroit, le sexe en main ; elle te conseille d’aller faire un brin de toilette et prend congé en t’indiquant que tu as un rendez-vous dans une heure, et quartier libre jusque-là, mais avec l’interdiction absolue de te masturber une fois seule.
A peine est-elle sortie, tu te diriges effectivement à la salle de bain, tu t’installes sur le bidet et tu bandes à nouveau. N’écoutant que ton corps et au mépris de l’interdiction reçue, tu te masturbes à nouveau et jouis rapidement ignorant que tu devras répondre de cette transgression…