La tournée des plaisirs
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Texte d'archive:
Date de publication/archivage: 2014-07-19 Auteur: Candido |
Je voudrais vous raconter l’histoire qui m’est arrivée le mois dernier. Agé de vingt-quatre ans, je plais aux mecs. Je suscite un certain intérêt. Mais l’expérience que je vais vous conter va vous montrer comment un jeune mec apprend à assumer sa passivité. Il faut dire que j’ai été dépucelé à quinze ans, puis je me suis fait sodomiser quelques fois, mais sans éprouver de réel plaisir.
Paradoxalement, je rêvais de me faire prendre un peu violemment par des mecs, hyper-masculins et en costard-cravate (style représentants, hommes d’affaires, etc.). Je pensais aux Kabyles et aux métis qui me font réellement fantasmer (je ne veux pas dire que les Blancs ne me font pas fantasmer).
Donc le mois dernier, je suis allé dans le midi de la France pour effectuer un spectacle de transformiste. À mon arrivée dans la ville, je ne voulais qu’une chose : rentrer à mon hôtel, prendre un douche et aller prendre un verre à la terrasse d’un bar. Il m’arrive de m’asseoir aux terrasses des cafés des villes où je présente mon spectacle, et de rester des heures à observer les braguettes des hommes en costard-cravate, des métis et des Kabyles, dont la réputation, je vous prie d’en croire mon expérience, n’est pas galvaudée.
Un soir, je décide de rentrer à l’hôtel où je compose le numéro de téléphone du réseau de la ville. Je tombe sur le message d’un certain Michel. J’apprendrai plus tard qu’il s’appelle Tarik. Il s’exprime avec son accent, se dit beau mec et bien monté. Après une rapide conversation, il me donne son adresse et je m’y rends, tout émoustillé. J’arrive au pied d’un vieil immeuble pas très propre. Je monte au deuxième étage et j’attends le cœur battant. Le mec m’ouvre. Le rêve incamé ! En survêtement et tee-shirt, il est là, devant moi, bien foutu et avec un visage fin, mais très mâle. On s’assied à table, où nous poursuivons une conversation banale. Puis arrive la question cruciale : «T’es actif ou passif ?» Je réponds : les deux, mais je comprends bien que je vais passer à la casserole. Il me demande d’aller dans la chambre. On se déshabille. Il est dos à moi, mais je vois tous ses faits et gestes dans la glace de l’armoire. Il est réellement baraqué : épaules larges, pectoraux bien dessinés et surtout, des abdos parfaits. Puis il baisse son pantalon. Le paquet, même au repos, est prometteur.
À poil, je me baisse pour quitter mes chaussettes et je vois Tarik jeter un regard d’envie sur mon petit cul. La main qu’il porte à ses couilles et le mouvement de ses lèvres ne laissent aucun doute. Il me jette sur le lit puis m’embrasse fougueusement. Nos langues se livrent un véritable combat. Nos ventres et nos bites se frottent. Je commence à voir que j’ai vraiment affaire à un gros morceau. Puis tout d’un coup, il se lève, toujours en slip, se place à califourchon sur moi, ses jambes écartées enserrent mes épaules. J’ai devant le visage, son slip, puis enfin une enveloppe difforme tellement les élastiques souffrent. Il m’ordonne de baisser son slip. Et là, sort de sa boîte, une bite énorme, de celles que l’on croit n’exister qu’en photo. Une bite de vingt-trois centimètres, d’une belle épaisseur, sombre et circoncise.
Puis, il devient plus autoritaire. Il m’ordonne de le sucer. Quelle merveille de se sentir la bouche pleine. Il s’enfonce de plus en plus profond et accompagne ses gestes de mots orduriers. Il me demande de bien lécher sa grosse bite et autour des couilles. Ce que je fais avec plaisir : «Nettoie mon gros gland !» Il se retire de ma bouche, prend une capote sur la table et la déroule sur son sexe, en me le montrant bien. Il glisse des coussins sous mes reins. Il veut me la mettre, comme il dit. Il prend mes jambes sur ses épaules, pointe son gros gland et me dit de ne pas m’inquiéter, qu’il a l’habitude. Progressivement je reçois ses vingt-trois centimètres et je ne peux retenir des cris de bonheur. Lui, il se déchaîne, et moi, je jubile.
Soudain, il se retire, m’assied dos au mur et place un oreiller derrière ma tête. Il me donne des coups de queue sur le visage, m’enfonçant celle-ci dans la bouche, la retirant et recommençant. Puis il jouit : huit bonnes saccades de jus épais, bien blanc et odorant. J’en ai sur tout le visage, quel bonheur !
Nous nous sommes dit au revoir et je suis rentré à l’hôtel pour me préparer pour mon spectacle. Je suis arrivé vers minuit trente dans la discothèque. Quand je me suis assis au comptoir du bar pour boire un verre, j’ai remarqué qu’il y avait beaucoup de monde dans la salle, des beaux mecs et des moins beaux. J’ai remarqué un homme très élégant, grand, mince, blond, avec des yeux bleus, qui me regardait, ou plutôt qui me mangeait du regard. Alors, j’ai compris que ma soirée allait finir en baise.
Si des patrons de discothèques lisent mon histoire, qu’ils sachent que je recherche des établissements où présenter mon spectacle.
Candido, 24 ans. (03)