Larguer la sauce dans le futal

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Numéro 78

Texte d'archive:


Archivé de: Lettres Gay – Numéro 78
Date de parution originale: Septembre 1996

Date de publication/archivage: 1998-08-25

Auteur: Christophe
Titre: Larguer la sauce dans le futal
Rubrique: Tous des obsédés

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Je viens de passer ma tenue cuir, et je vais prendre l'ascenseur pour rejoindre le box de ma moto, au second sous-sol.

J'ai vingt ans, 1m70 pour 60 kg, mignon, plutôt bien foutu avec mes cheveux blonds frisés et mes yeux bleus, une belle bouche sensuelle. J'ai choisi ma tenue cuir préferée, et je suis terriblement excité dans ce cuir souple qui me moule les cuisses. Il faut dire que cet équipment motard est super: blouson court genre rocker, pantalon cuir souple avec de grosses surpiqures façon jean, mais sans poche, uniquement une très grosse fermeture éclair à la braguette ainsi qu'aux mollets. J'ai passé une large ceinture à trois boucles, je porte des bottes et j'ai mon casque intégral jaune à la main.

L'excitation d'aller faire un tour sur ma moto me fait triquer un maximum, et comme je suis plutôt bien membré, j'ai une super-grosse et longue bosse sur ma cuisse gauche. Ma queue y est parfaitement dessinée et on y distingue clairement le renflement du gland. C'est super et je suis en train de me caresser en me regardant dans la glace de l'ascenseur lorsque celui-ci s'arrête. Je m'empresse de mettre mon casque devant la braguette pour cacher ma terrible érection. C'est un jeune minet qui monte, il va faire de la moto aussi car il a un casque à la main. Il porte un jean serré et un blouson de cuir. Il me dit:

— Salut, moi c'est David! C'est à toi la grosse moto course Norton qui est au deuxième sous-sol?

— Oui, salut! Moi c'est Christophe, c'est bien ma bécane. Et toi, qu'as-tu comme engin?

— J'ai seulement une 125 Yamaha. Je suis dingue des motos et je t'ai vu l'autre jour rouler. Tu avais une position de conduite super-sportive, et quelle musique, c'était super! J'avais hâte de te rencontrer pour voir ta Norton!

Pendant que le minet me parle, il ne cesse pas de regarder mon cuir, et plus particulièrement au niveau de la braguette. Il faut dire que j'ai mis le casque sur le côté et que je trique toujours à fond; ce qui a un effet immédiat sur David. Son jean est tendu à craquer sur sa queue: le minet bande à fond lui aussi et c'est super!

L'ascenseur arrive enfin au second sous-sol. David me suit. Il faut dire que j'ai du mal à marcher avec la trique que j'ai, mais je vois que lui aussi est gêné et qu'il essaye vainement de mettre ses mains sur sa braguette et c'est encore plus excitant. J'arrive à mon box que j'ouvre et je sors tout de suite la moto que je béquille. C'est vrai qu'elle est sexy ma Norton avec son gros réservoir long en polyester et le dosseret court solo. Je sens David tout énervé. Il caresse le reservoir, là ou ma queue est serrée quand je roule. Il me demande:

— Je peux monter sur ta bécane?

— OK, vas-y!

Le minet enfourche la moto et le salaud trique toujours à fond; son jean en est tout déformé. Il se retrouve maintenant sur la bécane en position de conduite, complètement couché sur le gros réservoir et serré par le dosseret, ses jambes allongées sur les commandes reculées, et ses bras tendus sur les bracelets. Je m'approche et donne un violent coup de kick à la bécane: le gros twin démarre dans un vrombissement infernal. La moto vibre de partout et David commence a donner des coups d'accélerateur qui font monter les vibrations. Le minet aime ça, je le sens complètement tendu. Il a un gros vibromasseur entre les cuisses et je suis bien placé pour savoir que c'est le pied. Alors je lui passe les mains sur les cuisses et ma main gauche lui caresse la queue. À ce régime-là, il ne va pas tenir longtemps. Je coupe le contact et le moteur s'arrête.

David se relève et me demande:

— Pourquoi tu as arrêté le moteur? C'était super avec les vibrations du réservoir!

Je lui retorque:

— J'adore moi aussi et je prends mon pied le plus souvent possible en roulant sur ma bécane! Si tu veux, on peut aller faire un tour en-dehors de la ville.

— Oh oui, ça serait super de monter derrière toi sur cette grosse bécane. Mais avec ton dosseret solo, il n'y a pas de place pour un passager.

— Descends et tu vas voir.

David descend de la moto. Un coup d'oeil sur sa braguette montre qu'il bande toujours autant. Je soulève le dosseret et le recule au cran arrière, ce qui laisse maintenant une petite place pour un passager. Je suis serré contre le gros réservoir alors que David est collé contre moi, cuisses contre cuisses. On est bien et je sens sa trique bien raide.

Un coup de kick et le twin démarre. J'accélère aussitôt pour sortir du parking, et le minet a déjà passé ses mains sur ma large ceinture autour de ma taille; je bande à fond... Nous roulons un peu en ville et des garçons nous regardent passer avec envie. Parfois je donne un violent coup d'accélerateur pour faire vibrer la bécane, et le vrombissement du gros twin se répand dans la rue. À un feu rouge, un jeune motard s'arrête à côté de nous. David en profite pour l'exciter en glissant ses mains sur mes cuisses et me caresser la queue. Alors je n'hésite pas un instant, et je lui passe la main sur la braguette.

Nous sortons maintenant de ville et roulons dans la campagne. Que c'est agréable! J'ai choisi un itinéraire tranquille que je connais bien pour y venir régulièrement m'envoyer en l'air en giclant à fond. Je commence à accélérer doucement et les vibrations montent. Je suis complètement couché sur la bécane, le gros réservoir serré entre les cuisses. David est imbriqué contre moi, on commence à vibrer tous les deux au rythme du gros twin et c'est super-excitant! Je bande à fond et ma queue moulée dans le cuir est collée contre le gros réservoir. Les vibrations me caressent le sexe comme mille doigts tandis que David me caresse les cuisses en me passant les mains sur la queue. Il est complètement couché contre moi avec une super-érection. Je continue à accélérer doucement pour monter à 6000 tours, les vibrations deviennent de plus en plus fortes, c'est super, je ne vais pas tenir longtemps à ce régime-là! Et David non plus car il me caresse de plus en plus. C'est bon, la sauce commence à monter et je sens que je vais venir.

Une belle ligne droite! J'en profite pour ouvrir à fond et le gros twin dans un rugissement démentiel envoie un flot de vibrations. Toute la bécane vibre mais c'est intense au niveau du réservoir, et je suis couché dessus, la queue serrée dans mon cuir. Je n'en peux plus et m'éclate à fond. Je sens David qui jouit aussi derrière moi. Oh, c'est super, quel pied!

Je m'arrête sur le côté de la route, complètement affalé sur la bécane et vidé. David est contre moi, tout haletant de jouissance. Après quelques minutes pour récupérer, je descends de la bécane et demande à David:

— Alors, ça t'a plu?

— Oh oui, c'etait génial, je n'ai jamais pris un pied aussi terrible que ça! Je m'en suis barbouillé plein la cuisse! Tiens, regarde un peu!

Effectivement, il a une grosse tache à la braguette et sur la cuisse. Je m'approche et lui passe la main dessus. Je descends la fermeture éclair de son jean: David s'est vidé complètement et il est tout barbouillé de foutre épais. Maintenant c'est à mon tour. Il défait ma grosse ceinture qu'il enlève et pose sur la bécane, puis tire sur la fermeture éclair de mon cuir. Je ne porte pas de slip non plus et je suis plein de sauce partout, sur le ventre, les cuisses et le cuir.

— Oh, dis donc, tu t'es complètement vidé toi aussi, quelle grosse giclée t'as envoyée, c'est super!

Christophe, 30 ans.