Le bonheur avec Youssef
|
Texte d'archive:
Date de publication/archivage: 2018-09-02 Auteur: Éric |
Cette publication vous est présentée grâce au fonds d'acquisition auquel les visiteurs peuvent contribuer. Ce fonds sert exclusivement à acquérir de nouveaux périodiques à archiver et que nous ne réussissons pas à obtenir dans les collections personnelles des visiteurs.
|
Dépucelé par le mec de ma sœur.
Quand j’avais dix-huit ans, Corinne, ma sœur aînée, sortait avec un Marocain de vingt-cinq ans, qui s’appelait Youssef. Je suis allé vivre chez eux. Ma sœur, qui est secrétaire médicale, s’absentait toute la journée, et souvent, Youssef et moi on se trouvait seuls à la maison. Il était tout à fait conscient de l’effet qu’il me faisait. Ça l’amusait. Il jouait au chat et à la souris avec moi. Cependant, je croyais qu’il n’y aurait jamais rien de plus entre nous que cette complicité un peu trouble. Un après-midi, Youssef m’a embrassé sur les lèvres. Je ne saurais exprimer avec des mots l’impact de ce baiser sur moi. Pendant trois jours j’ai flotté.
Le mercredi suivant, au moment où je suis rentré du lycée, Youssef prenait une douche. Quand il est revenu, il était en short. Ses cuisses nues et cuivrées et son torse musclé, m’ont tout de suite fait bander. Nos visages ont glissés l’un vers l’autre. Les lèvres épaisses de Youssef se sont collées aux miennes, puis sa langue a glissé dans ma bouche. D’une main, il m’entourait les épaules. On s’est retrouvés sur mon lit.
Youssef me demanda de me dévêtir, tout en baissant son short. Allongé sur le lit, je me déshabillai. Youssef était debout devant moi, totalement nu, avec ses poils pubiens crépus et noirs, son pénis circoncis tout tendu. Ma chair était parcourue de fourmillements. Ma queue mouillait déjà à la pointe. Quand j’ai été nu, Youssef m’a rejoint. Nos jambes se sont mêlées. Je sentais son braquemart pousser à petits coups réguliers entre mes fesses. Obéissant à une impulsion soudaine, je l’ai renversé pour le sucer. Je n’avais encore jamais fait ça. Jeté en arrière, il écartait les cuisses pendant que je le pompais. Puis, il m’a fait remonter jusqu’à lui parce qu’il craignait de jouir. Il m’a pris dans ses bras pour me sucer la langue. Ses mains me pressaient mes fesses. Nos queues s’écrasaient l’une contre l’autre.
Ensuite, Youssef s’est allongé à côté de moi. J’étais couché sur le ventre. Il m’a caressé et m’a dit : «J’aime bien ton cul.» Il l’effleurait des doigts puis, brusquement, m’enfonçait l’index dedans. C’était si bon que je frottais mes couilles et ma queue contre le matelas. Enfin, il m’a écarté les cuisses et a mouillé mon orifice pour mieux y glisser. J’aimais sa façon de palper l’anus. Comme je me soulevais pour que ses doigts glissent mieux, il a continué à me badigeonner de salive avec une main, pendant que de l’autre il malaxait ma verge et mes roustons. Puis il a pointé sa queue vers mon trou. Un pouce dans mon anus et le reste de sa main sous la fourche de mes cuisses, il me tenait comme dans une pince. Il a libéré son doigt pour me mettre son engin. Pour la première fois de ma vie, j’allais connaître la pénétration.
Youssef m’a enfoncé sa queue dans le fion. J’ai gémi. Il était dur comme du fer. Il a manœuvré d’avant en arrière pendant que je commençais à me branler. Je me suis soulevé encore plus, et j’ai fini par me mettre à quatre pattes. Youssef avait la pine prise dans mon cul. Une fois à genoux derrière moi, il a poussé de nouveau vers l’avant. Il a donné des mouvements de bassin de plus en plus forts. J’ai senti son gland se dilater, et il s’est vidé dans mon cul. J’ai éjaculé.
Par la suite, quand ma sœur n’était pas là, je rejoignais Youssef dans leur lit. En me voyant, il repoussait le drap et je le suçais. Son odeur me faisait perdre la tête. Un jour, il est resté à plat ventre sur le lit comme s’il avait sommeil et ne voulait pas. C’était pour me provoquer. Parce que je le chevauchais, il a enfoui sa tête sous l’oreiller. Ses cuisses s’étaient écartées. J’avais ses fesses cambrées sous mon pénis tendu. J’ai placé ma queue entre ses fesses. Il a écarté encore les cuisses. J’ai senti son orifice mou et tiède à la pointe de ma verge. J’ai poussé, mon gland s’est introduit, et Youssef a bougé sous moi pour que j’entre mieux. Je me suis enfoncé, et j’ai juté presque aussitôt.
C’est Youssef qui m’a fait m’accepter tel que je suis, et son souvenir m’accompagnera jusqu’à la fin de mes jours.
Éric, 22 ans.