Le mec du TGV
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Texte d'archive:
Date de publication/archivage: 2013-12-29 Auteur: Christophe |
Bonjour HH et merci pour les annonces gratuites, c’est cool. Je m’appelle Christophe, 37 ans, plutôt trapu et bien roulé et j’adore baiser n’importe où, au petit bonheur la chance... Dans le genre de baise délirante que j’ai connue, il y en a une dont je garde un bon souvenir.
C’était fin juillet, les vacances étaient finies. Je reprends le TGV à Montpellier, je m’installe royalement, le bronzage arrogant et aguicheur tout au bout d’une voiture, vautré sur deux sièges, et mate aussi discrètement que possible des bidasses égarés, à la recherche des secondes. Ils font demi-tour, hélas. J’en profite pour reluquer les culs qui m’excitent au point de bander, comme si quinze jours à faire la salope dans les dunes de Maguelonne ou de l’Espiguette n’avaient pas réussi à me calmer. Est-ce que ce feu au cul va durer pour l’éternité ?
Pour éteindre tout ça je vais aux toilettes pour m’envoyer un pète, puis au bar pour un coca. Et je vois, accoudé à une table, un grand gars blond, fute en cuir, débardeur exhibant des tatouages, et des pointes de seins bien saillantes sous le tissu. Je sens que je mouille mon slip. On se regarde un moment et on éclate de rire en même temps. Il vient vers moi et me raconte qu’il est allemand venu dans le sud pour les vacances. Tout en se rapprochant de moi, et sans qu’on nous voie, il commence à frotter son pouce sur ma bite doucement et puis plus fermement. Il se trouve qu’il voyage dans l’autre voiture de première et qu’il n’y a strictement personne d’autre que nous deux.
Je l’entraîne au fond, à la place où on voit tout sans être vu. Il me projette sur le fauteuil, me prend par la nuque et me roule une pelle furieuse et baveuse, m’arrache mon T-shirt comme un dingue pour me bouffer les tétons, bien au garde-à-vous, ainsi que ma bite. Premier coup d’adrénaline, je jette un œil et j’aperçois de loin le contrôleur. On se rembraille, je reste torse nu car la climate est en panne et en plus, j’enlève le débardeur de mon partenaire que ça amuse beaucoup. À la vue de ses seins qui sont presque des petites bites, nouvelle bandaison baveuse mais on doit attendre le contrôleur. Aucun commentaire et il repart dans l’autre sens. Tranquille pour la fin du voyage.
Je me tourne vers mon Allemand et c’est la rencontre de deux déchaînés. Collés l’un à l’autre, on se lèche, se bouffe les seins et je me retrouve à genoux à lui sucer son énorme bite aux poils rasés et à lécher comme un clebs son cuir. Un téton dans chaque main, sa bite dans la bouche je pompe comme un dément pendant qu’il me travaille le cul au gel. Un doigt, deux, trois, je sens mon cul s’ouvrir. Mon Teuton glisse de son siège et on se retrouve vautrés sur la moquette sur les fauteuils. Dopé au cul, je perds conscience du lieu et je m’allonge sous le grand blond qui ne demande qu’une chose : mon cul.
Je le lui donne et il y va à la hussarde à grands coups de reins. D’abord j’ai mal et puis ça devient bon. Il tient une cadence enragée tout en me travaillant les seins. Je fais des efforts pour ne pas gueuler jusqu’à l’éjaculation simultanée. Je laisse une énorme flaque de foutre sur la moquette de la SNCF et on s’écroule, trempés de sueur, le souffle court.
De nouveau installés dans nos fauteuils, on s’endort l’un sur l’autre, semi-rhabillés, jusqu’à Paris.
Christophe, Rouen