Les beaux mecs c'est pour le patron
|
Texte d'archive:
Date de publication/archivage: 2018-06-04 Auteur: Bernard |
Cette publication vous est présentée grâce au fonds d'acquisition auquel les visiteurs peuvent contribuer. Ce fonds sert exclusivement à acquérir de nouveaux périodiques à archiver et que nous ne réussissons pas à obtenir dans les collections personnelles des visiteurs.
|
J’me fais piner par mon apprentis.
J’ai cinquante ans et je dirige une entreprise de travaux publics. Je suis du genre viril, j’aime trinquer entre hommes, et le sport et l’effort ne me font pas peur.
Il y a six mois, j’ai rencontré Philippe, vingt-huit ans. Il était venu se faire embaucher chez moi. Il ne m’a pas caché son goût pour les hommes, et apparemment, j’étais son genre. Un jour, il s’est arrangé pour avoir un renseignement à me demander quand tout le monde était parti. Je me croyais seul et sentis son odeur âcre d’homme en sueur, écœurante et attirante. On voyait ses veines sous la peau de ses bras puissant et son corps sec, sans graisse, luisait. Il était torse nu et en short.
Je n’ai même pas écouté ce qu’il me disait. Je me suis approché de lui et je l’ai embrassé. Il en a profité pour glisser la main entre mes jambes et a commencé à me caresser à travers mon pantalon. J’ai poussé un soupir et j’ai bien écarté les jambes pour lui laisser le passage. Je bandais. Je me suis dépêché de baisser mon pantalon et ma bite a jailli dans sa main.
Je lui ai enlevé son short. Il était bien monté. Je me suis mis à genoux devant lui et j’ai sucé tout ce qui dépassait. Sa bite grossissait à vue d’œil, et mes lèvres se gonflaient pour bien tout gober. Il s’est laissé aller en arrière. Mes doigts ont titillé son cul. Ça a été à son tour de soupirer. Il donnait de grand coups de reins d’avant en arrière. Un coup c’était mon majeur qui se fourrait plus loin dans son cul.
Il m’a retourné comme une crêpe, et d’un coup de reins plus fort que les autres, il s’est planté dans moi en continuant à me branler. J’ai poussé un cri. Il m’a bourré sans ménagement, et au moment où il jouissait dans mon cul, j’ai éjaculé à mon tour. Il avait la main gluante de sperme.
Depuis, nous faisons souvent des heures supplémentaires.
Bernard, 50 ans.