Les giclées de José
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Texte d'archive:
Date de publication/archivage: 2017-09-18 Auteur: Christophe |
Avant tout, petite présentation : je m’appelle Christophe, j’ai 18 ans. J'habite Marseille, je suis brun et d’aspect viril. L’aventure que je vais vous relater se passe dans la copropriété où ma mère m’a offert un appartement pour mes 18 ans.
Il était 22h30, ce samedi soir-là, et j’étais installé dans mon salon lorsque le carillon sonna. J’allai ouvrir. Il s’agissait de José Garcia, notre jeune concierge. José est un garçon superbe : cheveux bruns frisés, grands yeux noirs, cuisses musclées et recouvertes de longs poils bouclés, 1m75. Ce soir, il portait un vieux short en jeans délavé très court et ultra-serré, ainsi qu’une vieille chemise rose largement ouverte sur son torse plat et (curieusement) imberbe.
— Qu’y a-t-il, José ? demandai-je en l’introduisant dans le salon.
— Voilà, monsieur. Je me suis disputé avec ma femme, et elle m’a mise à la porte. Alors, comme vous avez toujours été sympa avec moi, j’ai pensé que vous pourriez m’accueillir chez vous pour la nuit...
J’acceptai bien entendu, vu que j’espérais pouvoir le consoler «intimement», si vous voyez ce que je veux dire. Nous nous installâmes sur le sofa, et pendant une bonne heure, le garçon me parla de ses problèmes conjugaux, (dont je me moquais éperdument mais pour lesquels je feignis le plus grand attristement). Insensiblement, je m’étais rapproché de lui, jusqu’à ce que nos cuisses se touchent. Voyant que le beau concierge brun ne repoussait pas le contact, je passai mon bras autour de son épaule et le serrai contre moi. Un peu surpris, José me regarda et murmura :
— Qu’est-ce que vous faites ?
— Rien du tout, José ! répondis-je hypocritement. C’est juste un geste d’affection.
Visiblement rassuré, il continua de me parler de bobonne. Décidant de jouer mon va-tout, je posai ma main sur sa braguette rebondie. De nouveau, le garçon me murmura dans un souffle :
— Vous savez, monsieur, j'aime bien les filles !
Sans plus me préoccuper de ses paroles, je sortis du short une queue assez petite et toute molle. José avait un pubis humide et très poilu. Excité, je commençai à tripoter son membre. José protesta faiblement, mais son sexe répondait à mes caresses et se dressait fièrement à la verticale par le trou de la braguette. Je le masturbai de plus en plus vite, mais toujours avec douceur. José soupirait, ouvrait la bouche, se trémoussait. Finalement, au bout de deux minutes, il gloussa bizarrement, ses mains se crispèrent sur les accoudoirs du sofa et dans une grande gerbe blanche, son jus jaillit victorieusement. Il y en avait de partout : sur mon sweat-shirt, sur les coussins, sur la moquette. Le garçon aurait facilement pu vaincre tous les lanceurs de pignons de cerises, même les champions ! Je léchai les quelques gouttes de sperme qui s’étaient perdues dans les poils de ses cuisses musclées, puis j’allai me rincer les mains dans la salle de bain. Lorsque je revins dans le salon, j’eus une agréable surprise : José, entièrement nu, s’était allongé sur le sofa, les reins cambrés, le cul offert. Il adorait ça.
— Tu veux que je te baise, c’est ça ? demandai-je crûment en lui caressant une fesse. Tu veux te faire défoncer comme une femelle ? Non, il voulait simplement que je lui bouffe le cul. Il adorait ça et sa femme refusait de s’abaisser à cette pratique. Encore une qui ne sait pas que le derrière est la partie la plus savoureuse du corps d’un garçon ! Je m’agenouillai donc et, tout en lui tenant les fesses bien écartées, je commençai à le lécher. José avait un cul flasque, peu poilu, très malodorant et avec quelques boutons disgracieux, mais sa peau était très douce. Ma langue farfouillait l’intérieur velu et humide de son anus, descendait vers la base des lourdes couilles pour remonter vers les globes blancs des fessiers. J’avais moi aussi fait tomber mon pantalon sur les genoux ; je bandais comme un taureau et je me branlais de temps à autre. José, lui, gémissant et ondulant de la croupe, se branlait à toute vitesse. Enfin, au bout d’un quart d’heure de ce traitement, le jeune concierge espagnol poussa un cri rauque et éjacula de nouveau sur mes coussins. Heureusement, vidées par sa première jutée, ses couilles donnèrent un peu moins de liquide, (je dis heureusement, car mes pauvres coussins commençaient à faire grise mine !). Je jutai moi-même peu après, sur la moquette. J’allais me rincer la bouche, puis José se rhabilla.
— C’était super ! me dit-il en remontant sa braguette avec des gestes de femme. Tu bouffes les culs mieux que les gonzesses !
Je lui proposai de le revoir, mais il refusa catégoriquement.
— Tu sais, je sais pas ce qui m’a pris, ce soir ! argua-t-il, la main sur la poignée de la porte et prêt à partir. Je suis pas un enculé, moi, un sale pédé comme toi. Je n’aime que le corps des filles ! Alors, les mecs comme toi, y sont juste bons à me vider les couilles quand j’ai pas de femelle sous la main. Le ton était devenu méprisant, le regard dur et le sourire mauvais. Il reprit :
— Et ne t’avises pas de raconter ce qui s’est passé, ou je te casse la gueule, tantouze ! Salut !
Il partit à grands pas, en roulant les mécaniques. Le lendemain, lorsqu’il me croisa main dans la main avec Emmanuel, mon nouvel amant, il n’eut pour moi qu’un regard lourd de haine.
Cette aventure m’a fait réfléchir. Et je pense que les mecs comme José sont des homos refoulés qui jouent les machos et se font sucer par des garçons uniquement lorsqu’ils sont en manque de filles. Certains aiment ce genre de gars, moi je les trouve insupportables. Mais il est beau, mon José, et je lui pardonne bien volontiers.
Christophe, qui vous souhaite bonne chance.