Marrakech le piège (04)


Marrakech le piège (04)
Texte paru le 2022-03-02 par Marc31   Drapeau-fr.svg
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Template-Books.pngSérie : Marrakech le piège


Après tout ici, je suis ‘Barbie la pute’.

Et Barbie fait bien son travail.

Cela dure un certain temps jusqu’à ce que les bruits se fassent rare et que l’on me jette sur une couverture, toujours harnachée en animal mais cette fois ci ma laisse est attaché à quelque chose sans doute un anneau, et je peux enfin m’endormir. Je suis mort de fatigue et bien que dans mon esprit passent et repassent des sexes, je dors profondément, jusqu’à ce que un jet d’eau froide ne me tire de mon sommeil.

« Debout Aïcha ! Ta nouvelle vie commence aujourd’hui » ma nouvelle vie ? Qu’est ce qui va m’arriver encore ? Dans un sens la dame devant moi, m’a appelé ‘Aïcha’ et non plus Barbie, Barbie la pute…., je dis ‘la dame’ car c’est ce que je crois, je suis toujours dans le noir, et depuis que je suis dans ce pays, les hommes, les femmes… Elle m’enlève mes œillères,, je peux voir une jolie femme d’une cinquantaine d’année, a l’air sévère, et qui tient en main une cravache. Je devine qu’elle n’aura pas de remord à s’en servir sur moi… Elle me détache du mur et comme je suis habitué à obéir, et que mon dernier ordre était de marcher à quatre pattes, puisque je suis en laisse, je la suis ainsi. Elle m’entraine dans une grande salle, et me laisse entre les mains de deux hommes efféminé, qui sans un mot me font prendre un bain, m’épilent entièrement, je dis bien entièrement aussi bien mon cul que mes sourcils ! Enfin, je crois je n’ai pas de miroir pour me voir, puis maquillage, coiffage, et ma pauvre bite, réduite maintenant après tout ces traitements à l’état de ‘virgule’ ridicule est enfermée dans un engin qui emprisonne ma minuscule et retient mes couilles dans mon ventre. L’un de, me dit d’une voix efféminé, de m’habiller. Sur un portant, et une table un uniforme de soubrette, mais une soubrette comme dans les délires érotiques ! Je n’ai pas vraiment à me plaindre, la jupe arrive juste en dessous de la lisière de mes bas noirs, mais si je me penche…. Remarquez, j’ai tellement baisé nu… On me retire mon collier, mais c’est pour l’échanger contre un gros anneau de fer qui me transperce le nez ! Cela fait horriblement mal, lors de la pose mais aussi à chaque mouvement, je ne peux l’oublier, oublier ma condition d’esclave. Surtout que lorsque la gouvernante, vient me rechercher, elle pose une laisse dorée sur cet anneau. Par habitude, comme je suis en laisse, je veux me mettre à genoux pour marcher, mais elle tire violement sur la chaine, mal…

« Respectes tes bas ! Tu ne te mettras en chienne que lorsque ton Maître ou ta Maîtresse te l’ordonnera ! Tu appartiens désormais à Maîtresse Chantal, tu seras sa femme de chambre, tu dormiras au pied de son lit et tu la serviras. N’oublies pas ton dressage et ce qui pourrait t’arriver en cas de désobéissance, sois une bonne esclave et tout se passera bien, sinon, retour en prison, mais si tu aimes servir de ‘paillasse’ à tout les hommes… Tu m’appelles ‘Madame’ et ta Maîtresse ‘Maîtresse adorée’, son mari, le colonel ‘Maître’, tu as compris ? » « Oui madame, j’ai compris. » Elle me donne, deux grands coups de cravaches sur les cuisses ! « Tu n’existes plus ! Lorsque tu réponds, c’est à la troisième personne et comme ‘votre esclave’, compris ? » « Oui Madame, votre esclave à compris. » « C’est bien, obéis et tout se passera bien, je t’emmène voir ta maîtresse, tu la salut en faisant une révérence, et ton Maître en lui baisant les pieds ! » « Oui Madame, votre esclave, à compris »

Une claque ! « Tu ne parles que si ta Maîtresse, t’en donnes l’ordre ! »

Je vais pour répondre, mais j’ai droit à un regard qui me fait peur…

« Tu n’as pas vraiment comprise ce que tu es….. Rien ! Déshabilles toi ! »

Je me retrouve nue devant elle, elle ouvre ma bouche et me présente un appareil à piercing, mais un gros ! J’ai peur, mais je n’en ai le temps Elle transperce ma langue et me pose un gros anneau au milieu… Parler… cela ne me semble guère possible désormais, mais en plus elle passe une chaine qui rejoint mes deux anneaux, sur le nez et sur ma langue….. C’est désormais impossible…. Un signe, je me mets à genoux et je la suis en laisse. Nous arrivons prés du chenil, deux grandes cages et quatre doberman, deux dans chaque… « Nous les séparons, les femelles sont en chaleur…., les pauvres mâles…. Mais tu vas leur servir. » Elle me montre un bassin dans la cage des femelles et me signe de la suivre dans l’autre cage… « A plat ventre, les fesses en l’air ! » J’ai peur de comprendre, mais je ne peux faire autre chose que lui obéir. Elle m’arrose le corps de l’urine des femelles en chaleurs….. « Tu bouges, tu es fouettée comme jamais ! » et elle quitte la cage me laissant nue, couverte d’urine le cul offert aux chiens…. Le plus grand s’approche de moi et me renifle. Je ne sais ce qui l’emporte, la peur de ces monstres, ou la honte de ce qui va m’advenir…. Je ne bouge pas d’un millimètre et lorsque le premier chien renifle mes fesses couvertes d’urine de chienne en chaleur, je ferme les yeux. Je suis terrifiée, ces chiens sont énormes et ils pourraient me tuer, je n’ai guère d’autre choix que fermer les yeux et attendre. Je sens une masse se poser sur mon dos, que c’est lourd ! Mais cela devient vitre le dernier de mes soucis, une chose chaude se pose contre mes fesses et la verge sort de son fourreau et je me fais prendre par un chien ! Ce n’est pas si désagréable, après tout, elle est fine et relativement longue et surtout c’est rapide et abondant… Je rouvre les yeux et je vois ‘Maîtresse’ qui sourit. « Tu es vraiment une pute ! Mais c’est bien, désormais, c’est toi qui t’occupera des chiens, les pauvres bêtes, ont bien droit à un peu de bonheur ! »

Sur un signe, je me relève et vais me laver, je sens le sperme qui me coule le long des jambes, je n’ose même pas repenser à ce qui vient de se passer… Mais après tout, Aïcha ou Barbie, mon destin semble être de me faire violer par tout le monde, même les chiens. Je suis sans volonté et désormais obéir est devenu ma seconde nature….

Je suis ‘cassée’ et je suis une esclave, presque heureuse de servir ses Maîtres.

Et cela dura un temps.. Combien, je ne sais pas, mais c’est bon de ne plus penser et je ne suis pas si malheureuse… Il suffit d’obéir et tout se passe bien. Toute les ?, je reçois une injection, qui me laisse sans volonté encore plus… Et je ne tarde pas à avoir une vraie poitrine ce qui satisfait mes maîtres, ils peuvent jouer avec…

Et j’ai été marquée, trois boucles d’oreilles à chaque oreille, un anneau dans le nez, deux à chaque tétons et un tatouage sur mes fesses, disant que je suis la propriété de… Ma vie s’écoule toujours presque même habitude, le matin, je dois m’occuper des chiens, avec qui s’est établie une sorte de complicité amoureuse, je lave le sol, leur donne à boire, manger et ils viennent se vider en moi. Nous avons même un nouveau jeu, je m’allonge sur le dos et pendant que l’un me pénètre, l’autre pose son membre devant mon visage…, ce n’est pas désagréable du tout et puis je gagne du temps, pour le reste de mon service…

Et voilà ma vie depuis..

Et pour ?

Mais je m’y suis faite !