Mis au collier (04)


Mis au collier (04)
Texte paru le 2013-11-04 par Manuel1   Drapeau-fr.svg
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Template-Books.pngSérie : Mis au collier

Je suis parti par le chemin dans la forêt, je regardais de gauche et de droite si du monde nous voyait. Je n'osait pas me retourner voir si les Maîtres suivaient. J'avais encore mal à mon trou après la mise au poing de Julien.

De loin j'ai vu 2 mecs en short, sombres, qui nous attendaient. Ils m'ont arrêté, palpé des doigts partout de la tête au cul avant de prendre la laisse d'Eric et de nous amener vers une cabane en dur, un portique devant avec une estrade. Un mec est monté sur l'estrade et nous a attaché les poignets au portique. On avait la bouche a hauteur du mec sur l'estrade et les fesses libres derrière.

Le deuxième black a rejoint son pote sur l'estrade et je voyais bien la bosse impressionnante dans le short. Un Maitre m'a plaqué la bouche dessus.

— Tu sens comme j'ai besoin de me vider les couilles petite chienne blanche ? Lèche mon short, sort ma queue par le coté, débrouilles toi !

Il me palpait les pointes de tétons et les seins, les pinçait, j'avais du mal à me pencher pour lécher sa bosse et je poussais de petits cris quand il tirait trop fort sur mes pointes, il les a lâché pour que je dégage sa queue par une des jambes du short ; je n'avais jamais vu de si longue queue ! Un vrai petit poney !

— Allez ouvre bien la bouche, il a poussé son gland sur ma langue. Débrouille toi mais tourne la langue autour ! Montre moi que t'aimes les grosses bites de blacks.

— J'avais de la peine rien que d'écarter les mâchoires pour accepter son gland mais avec de la salive j'ai pu tourner autour avec la langue.

— Oui ! Comme ça ! Continue, aspire un peu.

Il donnait de petits coups de reins et attachée par les bras j'avais pas beaucoup de marge pour bouger, il s'enfonçait doucement. Il s'est retiré au bout d'un moment que je reprenne mon souffle, Eric à côté avait les larmes aux yeux et un gros truc luisant labourait sa gueule, la salive coulait sur son menton. Le mec m'a remis sa queue dans la bouche, ça passait un peu mieux mais toujours aussi gros.

J'ai senti un mec se coller derrière moi, sa queue remontait contre moi, jusqu'a ma taille, il l'avait salivée et se frottait sur ma raie. Il me tenait les hanches, par moment il se cambrait et je sentais sa queue contre moi puis se frottait en ondulant à mon dos. Y a eu un cri, j'ai deviné que c'était Eric au son de la voix, je pouvais pas voir, puis le son d'une claque et un long gémissement étouffé. Le mec dans ma bouche s'est retiré j'ai pu voir Eric. Ce con avait seulement gueulé parce que le mec l'étouffait et qu'il pouvait plus respirer! Il était tout rouge.

Je voyais derrière lui un grand black mais avec mon collier je pouvais pas voir sa queue, il se frottait comme celui derrière moi. Sans rien dire et sans prévenir le mec derrière moi a rentré son gland d'un coup, j'ai eu à peine le temps d’étouffer un "oh" que l'autre m'enfonçait le sien dans la bouche. J'ai senti que je mouillais comme une folle de bite. Le mec dans mon dos a ri.

— Petite pute, t'aimes ça les grosses queues !

Il s'est retiré un peu mais me tenait par les hanches et allait de plus en plus loin dans mon cul de chienne. Il a grogné quand mes couilles qui se balançait sous moi on tapées entre ses cuisses. Ça l'a propulsé au ras des siennes, j'avais toute sa bite dans la chatte! Le mec devant moi se retirait juste un peu de temps en temps, je couinais comme la chienne que j'étais.

Le mec entre mes fesses a bougé doucement, grognant dans ma chatte de mec. Devant moi l'autre allait me la réenfiler dans la bouche, je lui ai demandé d'avoir un bras de libre pour caresser sa gosse queue. Assez fier de lui , il m'a détaché un poignet et j'ai pu soupeser ses couilles, les caresser, même en posant la main à la base de son engin il en restait bien assez à sucer pour l'exciter.

Les 2 queues remuaient dans mes trous de salope. Dans mon dos le mec a remonté la main pour me choper les pointes de tétons, il les a vrillé à me faire gueuler sur la queue de son pote, de l'autre main il me claquait la fesse pour que je bouge, j'ai accompagné ses mouvements dans mes reins. J'ai senti en premier la bite dans ma bouche gonfler et j'ai été étouffé par la quantité de foutre qui me venait dans la gorge! J'ai avalé mais dans le mouvement il a passé son gland au fond de ma gorge avec le liquide gluant et visqueux. Il me nourrissait directement sans que je puisse bouger mais j'étouffais! J'ai repoussé un peu sa cuisse et il est sorti. J'ai repris mon souffle, tout rouge du manque d'air. J'avais pas fait gaffe pendant ce temps là à l'autre dans mes fesses, un peu dans les vaps, je l'ai senti ralentir mais donner des coups de queue secs, bien au fond, ses couilles contre moi. Il a gueulé son plaisir au fond de mes reins. Il s'est retiré , j'ai senti du liquide couler entre mes cuisses, j'ai passé ma main libre de peur de saigner mais c’était son jus qui coulait. Il est monté sur l'estrade.

— Nettoie ma queue ! Montre que t'aimes ça, les grosses bites de blacks !

J'ai pas hésité et j'ai léché son gland imposant et sa queue sur toute la longueur. Pendant ce temps Eric, à côté, couinait comme une pucelle, je devinais que lui aussi morflait. Quand j'ai eu bien nettoyé la queue, j'ai jeté un coup d’œil vers lui. Le mec dans ses fesses était même pas enfoncé à fond, il le travaillait juste du gland et après le fist qu'il avait subit, c'était sûr qu'il devait sentir la sodo imposée.

Deux autres un peu plus jeunes se sont placés, l'un sur l'estrade et l'autre derrière moi et ont enfilés leurs engins dans mes trous. Moins expérimentés mais tout aussi excités et raides ils m'ont travaillé comme des fous, à grands coups de reins dans ma bouche et dans mon cul sans s’arrêter. J'avais mal à la mâchoire de l'avoir distendue sans pouvoir la fermer. Heureusement ça a été rapide et j'ai eu une dose de plus de jus dans mes trous. J'ai entendu rire le premier que j'avais sucé et à ma grande honte je me suis aperçu que je venais de pisser sous moi! Enfin c'est ce que j'ai cru au début. Le mec a passé le doigt au bout du truc inox que j'avais sur la queue et me l'a fait lécher. En fait j'avais joui comme un fou et avec l'inox, sans même bander!

— Toi t'es vraiment accro au grosses bites ! On discutera avec ton Maître sur le net mais t'as du potentiel pour la banlieue de Besançon ! Sûr qu'un petit tour dans les caves te déplairait pas !

Eric avait fini de gémir, le mec s'était dégagé de son cul et montait sur l'estrade pour se faire lécher, ce qu'il a fait sans trop hésiter. Là j'ai compris qu'il avait été gâté! Le gland du mec était de la taille de mon poing serré. Il a même pas pu le prendre en bouche avec l'anneau qu'il avait dans la gueule, il a dû tendre la langue pour nettoyer l'engin.

— Bon ! Le black l'a détaché, m'a tendu la laisse, retournez voir vos maîtres, on réglera ça plus tard !

On est rentré doucement les cuisses un peu écartées, lui comme moi on avait du jus qui nous coulait du cul, à chaque pas. Quand j'ai voulu ouvrir la porte c'était fermé, il y avait un mot pour nous: "On vous attend chez les scouts!"

— Merde, à fait Eric ! On va pas aller la bas dans cet état! J'ai fait le tour de la maison y avait le tuyau d'arrosage, je me suis lavé la chatte et je l'ai filé à Eric, l'eau froide lui a fait du bien.

— Allez faut y aller ! J'ai tiré sur la laisse et on est reparti dans les bois.

À leur campement quand on s'est approché, on entendait des cris plutôt geignards. Comme ça s’arrêtait pas on a avancé, Julien et louis avait foutu un jeune à poil et se l'embrochait devant les autres qui se marraient. Tiens voila les chiennes!

Le minet était tout jeune mais les cris étaient pas de douleur! Si mignon que j'ai pas tenu et me suis mis sous lui pour sucer sa queue, bien forcé d'exhiber mon trou de bâtarde à qui voulait voir. Je ne pouvais pas me branler mais j'aimais faire plaisir et il était vraiment mignon. J'avais les poids qui tiraient sur les boules à chaque mouvement et j'exposais un max ma chatte. Eric lui, est resté debout à coté, se pignolant comme un fou en gueulant. C'est lui le premier qui a joui sur le dos du jeune, suivi je crois par Julien dans ses fesses et par Louis dans sa bouche, le dernier a été le jeune qui m'a envoyé sa charge dans la bouche. Julien m'a dit de pas bouger et j'ai senti des gouttes m'arroser le dos, des fesses aux épaules. Je crois qu'ils se sont tous branlés sur moi.

— Allez suffit pour ce soir ! Il a regardé le jeune, si tu veux tu peux venir mais c'est toi qui choisit et t’arrête quand tu veux !

— Ok, je viens ! Il a souri, à regardé ses potes. À tout à l'heure ou à demain! Il a enfilé son short sans mettre de sous vêts et on est reparti tout les 5 chez moi.

J'ai attendu que Julien m'ouvre pour me précipiter dans la salle de bain et m'asseoir pisser. Ils ont fait le tour, Louis, Julien, Eric et le jeune. Il a rigolé de me voir m'asseoir pour pisser, j'étais gêné devant lui mais autrement ça aurait giclé sur les cotés du bout du tube métal.

— Manuelle ! On va au grenier ! Tu nous rejoindras !

J'ai fini et je suis monté les rejoindre. Julien était au téléphone, me regardait en souriant. "OK, oui tout est possible avec elle. Pour quand? Ok sans problèmes. Je note l'adresse." Je me demandais qui était au tel mais il a coupé.

— Manuelle tu vas montrer au jeune (hé! C'est comment ton prénom ? Clément. Ok !) Donc tu vas montrer à Clément le but des appareils qui sont la ! Installe toi sur le premier.

Je me suis mis le dos à l'appareil, les épaules bloquées par une sorte de carcan et Julien a inséré l'écarteur dans ma chatte. Le minet que je voyais à peine sur le coté a disparu derrière pour mater de prés ma fente de mâle/femelle qui s'ouvrait et se refermait.

— Ouah la salope, ce cul !!

— Bah tu sais, tu verras tout à l'heure, elle a l'habitude Manuelle ! Il a donné un petit coup sur mes boules, me faisant sursauter. Allez, passe à l'autre appareil j'ai une commande spéciale pour toi.

J'ai changé et derrière moi Julien a installé ce qu'il avait appelé la machine à baiser, bien calée. Il a fixé un embout et l'a engagé dans ma chatte. Il l'a démarré, Clément matait le gode aller et venir.

— Ça doit être sympa ça !

— Attends ! Là, le gode est petit, enfin normal pour Manuelle, dans 10 minutes je le change.

Clément s'est assis, je voyais son short se soulever et par une des jambes son sexe battre doucement, écarter encore plus le tissu. Julien a arrêté la machine pour changer le gode, je l'ai pas vu mais il l'avait graissé pour l'insérer et j'ai couiné de surprise! je sentais un vrai monstre remuer en moi. J'ai poussé de petits cris de femelle, Eric lui, avait vu le gode et bandait comme un âne comme Louis, Julien et Clément. "La vache! le trou qu'il va avoir!" La machine n’arrêtais pas, je couinais mais je ne pouvais rien faire que subir. Clément a maté Julien, il s'est accroupi devant lui et a commencé à le sucer. Louis a poussé Éric sur sa queue, tous mataient mon cul s'ouvrir. Julien a joui dans la bouche de Clément. Louis dans le cul d'Eric.

— Bon ça suffit pour aujourd'hui! Il m'a détaché et j'ai pu me dégager et voir le gode dont ils se servaient. C'était un monstre noir, luisant. Clément a demandé si il pouvait m'essayer pour tester la souplesse de ma chatte, Julien a souri.

— Bien sur !

Je sentais à peine sa queue dans mon cul quand il m'a pénétré. Il s'est allongé et je me suis mis sur lui comme me l'a dit Julien et Louis s'est enfoncé à côté de la queue de Clément.

— Oui! Putain génial de sentir une autre queue à coté de la mienne !

C'est Louis qui a labouré mon cul contre la queue de Clément , provoquant leurs orgasmes.

— Bon pour ce soir ça suffit ! Eric tu vas dormir avec moi et Louis tu rentres, toi Clément, rentre aussi on se verra demain.

J'ai descendu l'étage, tremblotant sur mes cuisses, et quand Julien m'a attaché au lit je me suis endormi d'un coup.

Je me suis réveillé dans la nuit, Julien baisait Eric à grands coups de reins. Eric gémissait comme une salope, je voyais les fesses de Julien et la base de sa queue pilonner le cul d'Eric. Après un dernier coup de queue il s'est retiré, m'a détaché pour que je lèche sa queue et ensuite le cul d'Eric. Il m'a rattaché après jusqu'au matin où c'est Louis qui nous a tous réveillé. Il était tard déjà, presque 10 heures et c'est Eric qui a dû avaler la pisse de Julien pendant que je suçais Louis comme je pouvais, toujours attaché au lit. On a été préparer le café des maîtres Eric et moi. Quand ils sont descendus ils rigolaient.

— Manuelle ! va voir dans l'entrée, Louis a acheté un truc pour toi. Ramène le paquet.

C'était assez gros, pas très lourd. "Ouvre!" Dedans j'ai trouvé une paire de cuissardes en simili cuir très haute. "Allez enfile ça!" J'ai été obligé de m'asseoir pour les mettre tellement les talons étaient hauts et ça remontait à mi-cuisse. Lève toi! "Bouge tes fesses!" Juste avec ça je me sentais ridicule mais ça me forçait à me cambrer un maximum. La pointure des pieds allait juste comme il fallait. j'ai compris que Louis avait noté ma pointure avant de partir. Tu vas garder ça la journée, ça fera parti de ta tenue de travail dans peu de temps.

J'ai fait la chambre et la vaisselle en cuissardes et quand je suis revenu au salon Clément était là et a poussé un long sifflement.

— Waoouuu ! Putain le cul que ça lui fait ! Julien a rigolé.

— Oui mais tu sais bien qu'il est trop ouvert pour toi ! Manuelle a pris goût aux queues blacks depuis hier ! Mademoiselle va faire les caves de banlieue ! Approche la chienne ! Montre que tu peux quand même servir avec ta bouche ! Pas moi idiote ! Pompe Clémen t! Écarte tes cuisses et penche toi, sans te mettre a genoux !

Pas évident avec les talons des cuissardes, mais la tige de Clément était bien raide. Il me tripotait les tétons, les serrait très fort.

— Putain c'est super. Tous les avantages d'une nana sans les inconvénients ! En plus ça, la fait baver du clito ! Regarde ça Julien !

Julien, par derrière me palpait les couilles très douloureuses à force d'être étirées et je poussais des petits cris en pompant. Il a passé le doigt dans le tube sur le bout de mon gland, j'ai sursauté.

— Tu baves un max dis donc !

Il a sorti son doigt, me l'a mis à coté de la queue de Clément que je suçais, j'ai sucé les deux. Clément a pas tenu longtemps et m'a giclé dans la bouche. Il me tenait par les pointes des seins, a attendu que j'avale bien tout.

— Bon, fini de rigoler Manuelle, va te laver à fond et rejoins nous sur la terrasse ! J'ai enlevé les cuissardes et le collier pour me doucher, me suis lavé ma chatte de mec à la canule, le gland comme j'ai pu avec le jet à fond qui cinglait aussi mes couilles et je me suis séché. Je suis revenu, les cuissardes à la main les retrouver.

Sur la table Julien avait mis la minijupe, le porte jarretelle et un corset. Ils étaient tous la, Julien, Louis, Clément et Eric. Fous toi sur la table, sur le dos cuisses écartées. Il a passé le doigt dans ma chatte.

"OK, c'est propre !" Il a commencé à enlever les poids qui me tiraient sur les couilles, les a malaxé.

"C'est bien mieux qu'au début !" Il a défait le tube que je portais sur la queue qui m’empêchait de bander, a joué 2 secondes avec la peau du prépuce.

— Allez habille toi ! Et débrouille toi pour nous exciter, salope !

Je me suis assis sur le bout des fesses pour que quand j'ai enfilé les cuissardes, on voit bien ma fente de chienne mâle a demie fermée. Je me suis relevé pour mettre les porte jarretelle en me cambrant un maximum. J'ai commencé à enfiler le corset mais je ne pouvais pas le lacer dans le dos et j'ai reculé vers Julien qui l'a serré à fond, faisant ressortir mes petits seins de mec hormoné par dessus. J'ai mis la minijupe, un peu gêné par l’érection que je sentais entre mes cuisses. Quand je me suis retourné ils avaient tous la queue raide.

— Bouge pas manuelle ! Te branle pas !

Julien a tiré Clément entre ses cuisses pour se faire pomper. Louis s'est enfilé dans le cul d'Eric et l'a pilonné. Ils se paluchaient en faisant plaisir aux mâles, me faisant encore plus bander. Ils ont tous joui et Julien s'est habillé en jean, chemisette et m'a remis le collier.

— Allez toi, file dans la voiture. T'auras l'occase de jouir ! Et plus que tu penses !

Il a pris le volant et il m'a amené dans la banlieue de Besançon, s'est garé sur un parking de HLM. Il a attendu peu de temps et quand il a vu un mec, il a fait un appel de phares. Le mec a répondu par un grand signe.

— Descends et rejoins le. Il me téléphonera pour te ramener. Je flippais et bandais pas quand je suis descendu de la tire, je faisais vraiment pute avec cette mini qui cachait rien et les seins a l'air, la taille serrée faisait ressortir mes hanches et mes fesses.

Le mec était black, m'a maté comme une marchandise, a passé la main sous la jupe. Super ce cul que t'as sans rien qui gêne ! Il a mis une laisse au collier et m'a entraîné dans les escaliers, vers les caves. Peu de lumières à part au fond où j'entendais des voix. Quand je suis rentré ils étaient une dizaine de blacks et les discussions se sont arrêtés d'un coup.

— Putain il est trop celui là ! Un mâle hormoné ! J'ai pas réalisé de suite mais je bandais et ma bite soulevait la mini par devant ne cachant pas mes organes mâle. Ils m'ont entourés , palpés des seins aux couilles, surtout les mains et les doigts insistaient entre mes fesses et même dans ma bouche. Le plus grand a pas attendu longtemps pour sortir sa matraque. Quand je dis matraque, c'était effectivement le cas ! Un engin très long, raide avec de belles couilles dessous et de petits poils frisés sur le ventre.

— Allez ma belle ! Penche toi et montre un peu que t'aimes les queues de blaks.

Avec les cuissardes et les talons, penché en avant j'avais les fesses à l'air et ils se sont désapés en se branlant. Un mec a fouillé mon trou, je mouillais déjà et il m'a sodomisé doucement mais à fond, me faisant couiner sur la queue que je suçais.

Je les ai tous sucés, presque tous m'ont défoncé la chatte. Quatre m'ont pris en double quand j'ai bien été ouvert par les sodos et rempli de jus à dégouliner sous moi de sperme, dans toutes les positions qu'ils imaginaient. Même un qui a voulu me faire une gorge profonde et m'a mis sur une table, la tête en arrière pour me limer la gorge en massant mon cou, mais je commençais à avoir des spasmes sans pouvoir respirer et il a arrêté. Je n'avais aucune idée de l'heure. Ils prenaient régulièrement des photos avec leurs téléphones.

— Relève toi salope !

Le mot n'avait plus la même intonation, j'y sentais du respect. Le mec m'a aidé, j'étais vanné et j'ai eu du mal à marcher jusqu'à la sortie du HLM. Ma voiture était garée au même endroit, Julien au volant.

— Putain, tu pues le jus de mec, toi. Assied toi sur la couverture !

Il m'a ramené, je n'aurais pas supporté un mec de plus.