Mon beau sapeur, roi des pompiers
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Texte d'archive:
Date de publication/archivage: 2012-05-02 Auteur: Olivier |
Je vous écris pour vous raconter une rencontre pas banale que j’ai faite il y a de ça quelques années, grâce au Minitel. Mais d’abord je me décris: trente-sept ans, châtain, yeux bleus, 1m83 pour 73kg, mince mais finement musclé (natation), petit bouc, cheveux ras, plutôt branché mecs en cuir ou uniformes. Je m’appelle Olivier et j’habite Paris.
J’étais au bureau, et je profitais d’un bon moment d’inactivité pour visiter quelques 3615 sur mon Minitel. Pratique et... gratuit! À cette époque, j’étais complètement fasciné par les pompiers, ceux de Paris, de la BSPP. J’avais pu m’acheter une bonne partie de l’uniforme. Sur mes cartes de visite et dans mes BAL, je me faisais passer pour un vrai sapeur sachant pomper... Ce matin-là, je tombe sur un pseudo, POMPIER REEL, qui m’accroche dans la seconde. Je lui demande: “Vrai ou fantasme?” Il me répond: “Je suis vraiment pompier.” Moi, sceptique, et ayant déjà bien potassé mon Manuel du Sapeur-Pompier de Hamon & Grégy, je décide de lui poser une colle: “Décaler, ça veut dire quoi?” Sa réponse: "Partir en intervention.” Exact! J’ai le coeur qui s’est mis à battre. Enfin j’en ferrais un vrai, et pas de ces fantasmeurs bidon comme moi. Il m’a appelé au tél, belle voix grave, et on s’est fixé un RDV en bas de mon bureau. Appelons-le Rémi. Seulement lui n’a pas attendu dans la rue: il est entré et m’a demandé à la réception. Quand je suis descendu, j’ai vu mon pompier... en uniforme, plus exactement dans sa tenue F1 de feu. Le choc! Grand, blond, yeux bleu clair, environ quarante ans. Il était bientôt midi, On est partis ensemble chez moi.
À peine la porte de mon appartement refermée, Rémi a pris la direction des opérations. Il m’a enlacé pour me rouler une méga-gamelle et me peloter les fesses et l'entrejambe. Moi, je frissonnais de voir ce beau mâle en bleu marine, ce VRAI pompier me désirer comme ça. Je crois que c’était vraiment de la fierté qui m’habitait. Je l’ai sucé avec dévotion, et il m’a rendu la pareille. Il n’en était pas à sa première queue! On s’est pincé les pointes des seins, on s’est caressé et bouffé les rondelles; le jeu classique, quoi. Bien sûr, fétichiste comme je le suis, je n’ai pas hésité à lui lécher ses belles bottes en cuir épais et noir mat. Quel plaisir! Elles avaient un VRAI goût de caserne et de chambrée. Quand je lui ai avoué que je possédais ma propre tenue de feu, il m’a tout de suite demandé de la passer. C’est là qu’il m’a avoué qu’il avait, lui aussi, un fantasme. Et pas n’importe lequel... Pas étonnant qu’il ait fait pompier! Son truc, c’était de baiser en uniforme dans une baignoire remplie, ou sous la douche!! Dément! Même si je trouvais ça bizarre, je n’allais pas refuser. Il est allé chercher une autre tenue dans sa voiture et il est remonté. Moi, je m’étais habillé, avec le casque, version ancienne.
Il a réglé la douche sur la bonne température, et il est entré dedans, avec ses bottes! Je n’en croyais pas mes yeux. J’étais hyper-excité par la situation: ce beau mâle en uniforme sous la flotte, avec la bite dressée hors de la braguette. Il s’est mis à se branler langoureusement en m’invitant à le rejoindre. Alors je suis entré à mon tour. C’était chaud, pas désagréable du tout. J’ai refermé la porte en verre... On a recommencé à se malaxer de partout et, surtout, à se rouler des pelles à n’en plus finir. Il est tombé à mes pieds et m’a dévoré le chibre: une vraie ventouse! Un pompier super-doué en pompiers... Moi aussi je lui ai avalé le morceau, une bonne bite large avec un gros chapeau violacé. Il imprimait le rythme avec ses mains sur ma nuque. Parfois, il me l’enfonçait trop loin, et j’étouffais. Mais c’était sacrément bon! Pour ma première fois avec un mec de la BSPP, je n’allais pas me plaindre! Très vite, nos bottes se sont remplies d’eau. Ça m’a rappelé certaines pratiques de copains fétichistes: se pisser dans les bottes. Je préférais l’eau...
Rémi est devenu de plus en plus frénétique en m’embrassant partout, en me pelotant, en me filant des claques sur les fesses ou dans le dos. Il s’est branlé entre mes cuisses fermées tout en m'embrassant en me mordant les lèvres. C’était vraiment bon d'être ainsi enlacés sous l’eau chaude. Il a fini par s'emparer de mon morceau raide et à branler nos deux bites ensemble. Puis il s'est assis dans un coin du bac et m'a demandé de lui juter sur la gueule. Je lui ai tout craché sur le visage et sur sa casquette. C’est ce qui a déclenché sa propre éjaculation. Il s’est mis à râler fort en regardant sa propre semence fuser, vite balayée par le jet de la douche.
Je me suis retrouvé avec une salle de bains dans un piteux état. Que diable! On s’est revus plusieurs fois, mais c’était un papillon qui savait user de son charme et de sa profession pour se taper tous les minous fascinés par les uniformes, comme moi. Et puis, j’ai fini par me lasser de toujours baiser sous la douche ou dans la baignoire. Ce n’était quand même pas tout à fait mon fantasme... Sacré Rémi!
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