Mon suédois (03)
Texte paru le 2021-07-24 par Marc31

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Mon suédois (03)
Mon premier client…
À peine ai-je pensé cela que je me rends compte de ma situation. Oui Sven m’avait féminisé et j’étais devenue une de ses femmes, oui il m’avait souvent vendue, mais c’était dans un autre contexte. J’étais devenue Ula, sa femme, c’était normal qu’il dispose de mon corps et que je participe aux frais du ménage. Et puis, en toute franchise, cela ne me déplaisait pas, j’avais découvert l’amour physique et j’adorais être ‘femelle’ dans les bras des hommes. J’aimais me sentir femme et désirée, bien sur il y avait eu l’épisode dans l’avion, ce quasi viol dans une soute, le passage à la douane, ils m’avaient prise trois fois quand même. Je ne m’étais guère défendue et j’avais adoré être un objet, l’objet de leurs désirs… rien qu’en fermant les yeux, je me revoyais dans salle de garde, nue ou presque, la bite du dernier, qui était rentré avec facilité dans mon cul, ouvert et bien humide… (Allons bon, je deviens vulgaire, mais c’était vrai.) Sa verge était fine, le gland à peine marqué, mais une longueur… J’avais attendu presque avec impatience, qu’il finisse de me pénétrer, de sentir ses bourses, se coller contre mes fesses…. J’aurais voulu qu’il continue encore et qu’il remonte encore plus loin ! Ce qu’il y a de bien avec les verges ‘fines’ c’est comme moins musclées, je peux encore mieux jouer avec… C’est l’homme qui me prend, mais c’est moi qui dirige, ‘le jeu’ amoureux…. Je ne savais même pas, s’il avait beaucoup éjaculé, j’étais déjà, tellement pleine de sperme…
Bref, plus de papiers, je suis à la merci des autorités, et de Bjorg, qui dispose de mon corps comme d’une marchandise… Tout cela manque vraiment de romantisme, je dois me l’avouer, je suis une putain, une putain travestie.. Redevenir Marc ? Je n’en ai ni l’envie, ni la possibilité. Avec toutes ces hormones, je sus vraiment féminisée, j’ai de la poitrine, bon une petite, mais des vrais seins ! Les miens, et j’en suis fière ! Mes traits se sont adoucis, et j’ai un maquillage permanent autour des yeux, des sourcils et de la bouche… Alors, je suis, mon nouveau ‘Maître’, c’est un peu excessif, mais il me fait marcher deux pas derrière lui. Il ne manque plus que le collier et la laisse… La porte à peine refermée, il me gifle violement par deux fois ! J’en ai les larmes aux yeux. Il m’explique que tant que je n’aurais pas trouvé le moyen de récupérer ‘mon’ héritage, je devrais gagner ma vie et qu’il ne me connaissait qu’un métier… Il attendait de moi, une obéissance absolue ! Et il m’ordonna d’aller prendre un bain, je puais ! Pour l’odeur, oui, il n’avait pas tort, presque trois jours, sans vraiment me laver… Ni me changer… Une fois nue, puis dans l’eau, je me rends compte que j’ai besoin de me reprendre en main, épilation corps et visage (il n’y a que la cire qui soit vraiment efficace) mes cheveux ! des racines, mes mains… Mais pour faire cela il faut un salon de beauté… Surtout épilation des fesses.. Je m’endormirais presque dans le bain, mais il vient me chercher, il est nu ! Et vraiment beau garçon, j’aurais pu tomber sur pire, une demi-bandaison adorable, des poils presque partout, sauf le sexe (chic !) Il me tend une serviette, mais la retire une fois séche. Et je reste là, nue devant lui… Il fait le tour de ‘la bête’, il me tâte, soupèse mes seins, mes fesses…. Humiliant, surtout le verdict.. . : Demain tu vas en institue, chez la coiffeuse et tes seins sont trop petits !
Institut, coiffeuse, il a raison, mais mes seins… Ils me plaisent bien. C’est les miens, Sven en avait déjà parlé… Sans rien m’imposer, j’espère que ici… Ici c’est différent, il m’ordonne de me mettre en position de levrette. Comme j’hésite, il saisit la serviette mouillée e et m’en inflige quatre coups violent ! « Tu obéis ! » Et naturellement oui, j’obéis, je n’ai pas d’autre choix. Et puis curieusement ce n’est si désagréable de se soumettre. Je connais la suite, un lubrifiant (merci) et il colle son gland contre mon anus.. ; Par reflexe, je fais bien les choses, je ressers un peu au moment de la pénétration, il faut que j’homme, le ‘mec’, se sente ‘mec’ qui ai l’impression de me forcer. Me forcer… depuis le temps, mon cul est comme une grange ! Mais j’aime le plaisir et il se débouille bien, sa verge est longue, pas assez épaisse, mais il rentre loin dans mon ventre, que je fais tourner, je l’aspire, il se retire.. Un jeu sur mon point G (merci) presque se retirer… Puis pénétration violente. Qu’il ai l’impression de m’avoir dompté, que je suis offerte et accueillante….
Bref, un travail de ‘bonne pute’, ce que je suis devenue, je ne peux pas me le cacher. Il se tend, ses mains se crispent sur mes seins… Et le laisse cracher son sperme, en poussant de petits cris de jouissance, non simulés, il assure, au moins deux jets… J’aime. J’aime me sentir femelle. Je lui nettoyai la verge, propre, mais j’aime les dernières boulettes de sperme qui s’y accrochent… Gourmande… Il me dit de me laver et de me coucher dans le lit ‘conjugal’… des mots ! Mais qu’il va devoir sortir, un de ses amis viendra s’occuper de moi. Dormir, oh, oui je veux, je suis épuisée, quelles journées ! Sven qui m’avait dit ‘au revoir’, deux fois dans l’avion, quatre fois à la douane, l’épisode du bar… Au fait j’ai bien aimé l’épisode de son copain black, ce n’est pas une légende, les africains ont des verges merveilleuses ! Bref je m’endors, ou plutôt je sombre dans le sommeil.
Il fait déjà jour lorsque je me réveille, et c’est une bite qui se colle contre mes fesses qui sert de réveil matin. Ma foi, je me laisse faire, j’ai l’habitude maintenant des surprises… J’écarte les cuisses et je laisse venir cette bite dans mon ventre. Mais je ne la reconnais pas, ou plutôt si… Le gland étroit, ce membre d’acier, long… Ce ne serait pas ? Eh bien si, c’est l’africain du bar… Qu’est ce que il va loin dans mon ventre ! Je ne peux m’empêcher de gémir de plaisir. Il fait plus que jouir en moi, Il m’inonde, je sens ses trois jets qui viennent réchauffer mon ventre… Waouh ! Repue, je me tourne et oui c’est bien cela, c’est le black de tantôt… Qu’il est beau, musclé… Je me colle contre lui heureuse et comblée, il a transpiré, j’adore cette odeur, et je ne peux m’empêcher de lui prouver ma reconnaissance en l’embrassant, vraiment partout. Lui se laisse faire en me caressant les cheveux et les seins. Puis il émerge, me dit que je suis une bonne pute (….) et que je suis bien soumise, il s’occupera de moi en attendant je dois me lever, mettre ça (il me tend un tempax ) et aller lui servir le café de mon Maître (!) , que je dois vivre nue et que je trouverais dans la cuisine un tablier…. Je suis tellement stupéfaite, que j’obéis, me place le tube dans les fesses et que je vais nue en cuisine…
Au moins j’échappe aux bas, talons et porte-jarretelle.. , j’ai eu un ‘client’ à la montagne, très, très fétichiste… Quoique les hauts talons, maintenant j’y suis habituée, presque une seconde nature, je me sens même mal sans. Bref, je prépare le café, je trouve le tablier, un petit ‘machin’ de dentelle qui couvre à peine ma minuscule et j’amène le café. Il me regarde venir, et m’ordonne de mettre des talons et à genoux, pendant qu’il boit. J’hésite un peu et il me dit ‘une fois !’ Je me rappelle la séance d’hier au soir, la serviette… Et j’obéis promptement, je me mets à genoux devant lui. Il sourit et me dit que Bjorg, l’avait prévenu, il fallait me dresser… Que j’avais du sentir la différence entre un petit ‘machin’ de blanc et une vraie bite d’un membre de la race supérieure… Que j’allais être gâtée, que j’étais destinée à la race supérieure… Et que désormais Il était mon Maître.
Un vieux relant de racisme… mais il a raison, aucune comparaison, ce n’est pas une verge, c’est de l’acier, aucun de mes précédents ‘amis’ de passage, ne peut soutenir la comparaison. Ils savent combler une femme. Tant qu’à avoir un maître, un propriétaire, autant que je sois comblée sexuellement. Je suis coincée, et si il veut que je l’appelle ‘Maître’, pourquoi pas, j’ai pris assez de coups comme cela ! Donc, je lui dis ‘merci, Maître’, et il ordonne à ‘blanchette ( !) d’aller se préparer nous sortons pour me rendre présentable. Lavage intime (j’adore ce truc, très agréable) douche, il faut vraiment une épilation… mais surement prévue, une petite jupe courte, juste ce qu’il faut pour couvrir mes jambes en bas noirs, quoique, pas trop me pencher… Un mignon soutif demi balconnet ampli qui met mon décolleté en valeur, talons naturellement, un maquillage un peu discret, mais… Et je me présente devant lui. Un regard du haut en bas… Je dois aller mettre une jupe plus longue, mi-cuisses, je suis une ‘pute’ mais nous sommes en Suède ! Alors je fais… et nous sortons, par contre avec lui, je ne dois pas marcher à deux pas derrière, il me prend par les hanches, enfin une main possessive sur mes fesses. Il marque bien que je lui appartiens…. Ce n’est pas désagréable, c’est même sécurisant, vu sa carrure, je crains rien.
Institue, épilation intégrale, maquillage permanent yeux et lèvres…. Coiffeuse, je deviens d’un blond ‘nordique’… Quelques achats qui me font peur et plaisir, vraiment très sexy, les robes et les sous-vêtements… Et ce qui me fait peur, c’est que il va surement falloir que je rembourse et je devine comment… Il vient me récupérer et semble content du résultat, une sorte de poupe, presque trop… sexy en diable, il n’y a guère que ma poitrine qui semble lui déplaire… Mais il parait que ‘nous verrons’… Un repas rapide dans un restaurant, sur des tabourets…. Avec cette jupe... Je croise sagement les jambes, mais je dois les ouvrir, assumer mon sexe ! et de toute façon, comme il glisse ses mains entre mes cuisses…. J’aime ! Il sait caresser et me rendre ‘chaude’…. Il m’embrasse même en pleine salle, une main dans et sur mes seins…. Je craque, je l’aime, un homme, un vrai ! En repartant dans la rue, sa main sur mes fesses, presque sous ma jupe… Il va me doigter en pleine rue ! Mais nous arrivons dans un club, musique trop forte, une fumée... Une fumée un peu ‘bizarre’.. . Il me confit à une grande femme noire et lui disant de me préparer. ? Mais je comprends vite, changement de tenue, une robe lamée rouge, fendue jusqu’à la taille, des bas filets…. Des talons… Maquillage….
Bref, c’est presque une caricature de putain qui réapparait en salle…. Il est dans une stalle avec deux autres blacks et me présente comme ‘Ula’ une nouvelle… De suite j’ai des mains partout, la robe relevée à la taille, rabaissée jusque ne dessous des seins… et mon ‘Maître’ qui me laisse seule…
Curieux, le mot ‘Maître’ m’est venu naturellement… Aille !
La suite, je connais et je fais naturellement, ils sont deux... Une bite libérée à ma droite, je la masturbe me mets à genoux pour la sucer et naturellement l’autre black, profite de mon cul offert… Par contre il est un peu ‘sauvage’, il me pénètre sans aucune douceur, en fait il me baise… Pas si mal d’ailleurs, il a la verge courte mais bien épaisse et dès que la lubrification naturelle est faite il peut aller et venir en moi sans problème. Heureusement que la bite que j’ai en bouche, me donne bien plus de plaisir, son pré cum est agréablement parfumé, comme une odeur d’épice, j’aime bien et comme lui aussi à un membre un peu court, mais très épais, je peux sans problème lui démontrer mon savoir faire. L’avaler en entier jusqu’au fond de ma gorge, l’aspirer, relâcher et faire glisser ma langue, juste en dessous, sur la grosse veine et le gland… Je sens celui de derrière se crisper, ses mains agripper mes seins… Un mouvement du bassin et je le fais jouir en moi… Deux fois et pas des gouttelettes, deux vrais jets, qui me font frémir de plaisir… Mais du coup, je ne gère plus ‘ma pipe’ et l’homme crache son miel dans ma bouche…. Je vais mourir noyée… J’en ai j’jusque au fond de la gorge ! Que c’est bon, j’adore les africains ! Comment ils savent bien faire jouir une ‘petite pute blanche’ ! Je deviens ‘accro’ aux bites noires….
Mon ‘Maître’ a disparu et je le rejoins au bar, après avoir fait un peu de toilette intime. Et la soirée se continue, j’ai du succès, une petite pute blanche ‘française’, hyper sexy et qui ne cache pas qu’elle fut un homme, cela marche bien ! Les hommes adorent les travesties. Et comme j’adore les black, je suis gâtée, ainsi que mes huit clients suivants, ils ont du se ‘passer le mot’, car à peine suis-je revenue de la chambre que je suis de nouveau demandée ! C’est un peu répétitif, et l’homme ne dispose que d’un quart d’heure, pour faire sa ‘petite affaire’, une lumière rouge s’allume lorsqu’il doit finir…. Mais il peut en reprendre pour une autre séance. Juste une question d’argent, je ne suis vraiment qu’une marchandise, bien sur ce n’est pas la première fois que je vends mon corps, mais jà je suis vraiment qu’une putain ! Et qui travaille à la chaine ! Bien sur je prends parfois mon plaisir, ces ‘blacks’ sont la plupart ‘bien montés.’ Mais je suis soulagée, lorsque vers le trois du matin, mon ‘Maître’ pose une main dominatrice sur mes fesses et me dit que c’est assez pour ce soir. Il me raccompagne en me tenant par les hanches et je me laissai aller contre lui. Oui, c’est mon Maître, je crois bien que je suis amoureuse et que je ne peux rien lui refuser, même d’être sa pute….
Il sent ma soumission, enfin s’il ne l’a pas encore compris après cette soirée de ‘travail’… et il me récompense rentrés à la maison. Douche complète, y compris mon cul… Et il se présente devant moi, nu et avec une érection…. Que voulez vous que je fasse ? Je m’agenouille devant lui et embrasse ce sexe merveilleux. C’est loin d’être ma première ‘pipe’ du jour, mais celle-ci je la fait avec amour, qu’il est bon. Ce sexe c’est celui de ‘mon homme’… Qu’il sent bon, il a un peu transpiré, son gland sent l’urine et le précum… et c’est encore meilleur ! Une tape sur les hanches et je comprends, je me mets en levrette, un bras sous mon ventre et il me pénètre. C’est la première fois de la soirée que je jouis vraiment ! Je ne sais si est possible, mais je lui appartiens vraiment !
Et ce fut le début de ma vie de prostituée dans ce club à black… Je ne tardais pas à avoir ‘ma clientèle’, heureusement, par le bouche à oreille, j’avais de nouveaux clients, heureusement car je suis curieuse de découvrir de nouvelles bites… Ce n’est pas en caressant une braguette, même bien gonflée que l’on peut connaître la vraie taille, la forme d’une verge…. De toute façon, même si je me doutais que ‘la chose’ ne serait pas exceptionnelle, je devais faire mon travail et satisfaire mon client. J’y mettais assez d’application, pour n’avoir que peu de réclamations. De toute façon, ce n’était pas de ma faute, on peut être ‘black’ et bander mou ! Un an se passa ainsi… J’étais une bonne ‘travailleuse’, mon ‘Maître’ était devenu, plus mon ‘mari’ qu’autre chose, et comme je suis une bonne ‘épouse’, je sais obéir à mon homme…
Mon ‘mari’, il le devint vraiment à la fin de la première année, il me prit comme seconde femme… Sa première femme était restée là bas dans son Afrique. Il avait donc le droit de me choisir. Et comme cadeau de mariage, il m’offrit une paire de seins superbes ! Pas énormes, mais quand même un bon 95 C…. Un rien de chirurgie esthétique, peu de chose, un petit nez, des pommettes hautes. Cela me plaisait, Lui plaisait et plut surtout à ma clientèle ! Une petite pute, travestie, française, blonde avec des seins et une petite bite…. Je ne chômais pas ! Je ne chômais pas, ni au club, ni dans mon autre activité, mon autre propriétaire, Bjorg, lui me ‘propose’ en tant que call girl… Pas du tout le même travail… Une clientèle essentiellement blanche, des bourgeois, des hommes d’affaires, que du beau monde. Du beau monde, mais vraiment plus ‘tordus’… Autant au club, les choses étaient simples, sucer, branler, me faire prendre. Mais dans cet univers… des week end dans dans chalets, des ambassades, pendant lesquels, je faisais tout et n’importe quoi, depuis la femme ‘classe’ que ces messieurs violant tous à tour de rôle, jusqu’à la serveuse, ‘habillée’ ou pas de tenues suggestives, bas, pj… seins à l’air ou pas… J’étais même engagée régulièrement en tans que serveuse dans des ambassades. Bien sur l’hote invité avait droit à la serveuse… Mais cela payait bien, et puis, je n’en étais pas à cela prés, quoique des fois… Un peu ‘beurk’, des uros, voir pire… Mais il faut savoir assumer les contraintes de son métier…. Et puis, heureusement en suède, il y a toujours des douches, et puis manger, boire de l’urine ou du sperme…. Une question d’habitude. Mais il y avait des avantages, en plus de mon salaire, des petits (parfois, plus que petits) cadeaux (j’adore mes bijoux !) ces messieurs me racontaient leur vie, leurs petits secrets…
Et comme j’étais toujours en situation irrégulière, je devais naturellement tout raconter à mon officier traitant au sein de la police…. Ah celui là…. Une épouse, des enfants… une femme vraiment trop ‘libérée’ qui refusait d’être un objet sexuel… alors, c’était moi… le fantasme, et en plus un ‘homme’…. Lorsque je le voyais, tenue sage, jupe à peine courte, chemisier blanc mais dessous, la vraie pute ! Il adorait soit me faire mettre nue ou presque soit me coucher sur son bureau et me ‘violer’ sauvagement. Je connais mon métier…. Des petits cris, un semblant de résistance… « Non, Non… oh oui baisez moi ! » Il était content….
Si content que d’ailleurs, il tient ses promesses, je suis maintenant et officiellement ‘Ula’ citoyenne suédoise, concubine de mon mari. (Libéraux en suède, mais la bigamie…) Ce qui m’a permis de placer officiellement mes salaires. (Car et heureusement) j’ai toujours perçu ma part de mes passes, un tiers. J’ai pu récupérer ‘mon’ héritage.
Voilà ma vie, depuis maintenant cinq ans, je suis à l’aise financièrement, mais je continue mon travail, tans au club qu’en tant que call girl. Je ne saurais me passer de mes amants africains, j’aime trop les blacks, leur odeur, le gout de leur sperme… la découverte d’un gros sexe en érection….
Je sais et je me le dis souvent je suis une ‘salope’, mais j’aime cela et pourquoi pas ?
BisouX, peut être vous en dirais je plus sur mes expériences. A plus.
Ula.