Palmier marocain
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Texte d'archive:
Date de publication/archivage: 2014-08-16 Auteur: Jean-Luc |
Il m'est arrivé un aventure assez insolite avec un mec d’origine marocaine, venu me voir en Suisse, après un échange de lettres assez torrides. Après les banalités d’usage, nous bandions tous les deux comme des cerfs et nous nous sommes mis à poil. Quelle belle queue il avait ! Bien large, épaisse, jointée au milieu des poils du pubis et supportée par une belle paire de couilles, gonflées d’un bon jus qui ne demandait qu’à exploser vers mon cul rasé de bonne salope !
Je commençai à lui lécher la base de sa pine, ses belles couilles, la raie de son cul et je remontai lentement ma langue le long de sa hampe pour enfin goûter voracement à son gland qui, déjà, laissait perler quelques gouttes de foutre que j’avalais avec plaisir. Il me prit la tête et m’encula la gueule avec des grognements de satisfaction. Soudainement, des jets brûlants de foutre m’emplirent le gosier. Je gardai ce nectar et lui fis partager son foutre en lui roulant une pelle d’enfer. Putain que c’était bon !
Pendant que nous échangions ce baiser baveux, ses mains me pelotaient le trou du cul et je cambrai au maximum pour bien lui permettre de sentir à quel point j’étais prêt pour prendre ses vingt-cinq centimètres au fond de mon trou. Je me suis mis en levrette, il cracha le reste de son foutre sur ma raie culière, approcha son zob turgescent et gonflé de désir, appuya lentement sur ma rondelle et m’embrocha d’un seul coup de rein ! Je gueulais à la fois de plaisir et de douleur, car le morceau, même royal, n'en restait pas moins impressionnant. Il s’enfonça par à-coups précis, très techniques, si j’ose dire et enfin je sentis sa queue bien logée entre mes fesses. Le va-et-vient commença lentement et ses couilles gorgées de foutre frappaient mes fesses à un rythme de plus en plus rapide. Je m’ouvrais littéralement sous ses assauts, me branlant frénétiquement et, aussi soudainement qu’il m’avait enculé, il déchargea de longs jets de semence au fond de mes entrailles, j’en fis autant avec ma pine en crachant le fond de mes couilles sur le parquet ciré ! Sa queue n’en finissait pas de dégorger un jus bien épais et chaud. Il sortit et mon trou se referma sur son foutre. J’avais l’impression que mon cul allait exploser sous la quantité de liquide.
Après son départ, je me branlai encore une fois en repensant à cette baise plutôt insolite ! Le mec a promis de revenir me voir et je l’attends ce week-end avec une réelle impatience.
J’espère que cette lettre en fera bander plus d’un.
Jean-Luc, Suisse