Partie de baise très spéciale
Texte paru le 2006-02-02 par Laurent7
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Cela faisait maintenant un mois que nous étions revenus de nos vacances sur la côte Landaise. Le train-train du boulot avait repris. Cédric, mon pote hétéro avait repris la fac tranquillement en deuxième année de géo. Le souvenir des vacances encore proches maintenait le moral au beau fixe. Un soir que Cédric passe me voir pour siroter une bière ou deux, on se remémore l'après-midi de folie qui nous avait conduit sur une plage naturiste.
— Tu penses que j'ai pas oublié! me dit Cédric. J'en ai encore les fesses qui me font mal tellement j'avais pris un coup de soleil. Et puis comment on l'avait trop bien baisé la salope.
— Ca, c'est sûr! Mais j'y pense, son mec m'avait filé son téléphone si on voulait remettre ça chez eux. Il nous avait invités, mais ça m'était sorti de la tête. Ça t'intéresse toujours?
— Quoi? Bien sûr que je suis partant! J'ai jamais vu une chienne pareille et qui aime la bite à ce point!
— C'est ce que son mec m'avait dit! Il cherche des queues endurantes pour la satisfaire. Je l'avais sucé le mec. Autant te dire que c'est une petite bite, doublé d'un éjaculateur précoce. C'est sûrement pour ça qu'il recrute des étalons comme nous pour la satisfaire.
— Ah ouais?! Tu crois que t'es un étalon toi? Sale pédé! Moi d'accord, mais toi, je me demande pourquoi sa femme aurait besoin de toi! T'es bon qu'à lui lécher mon foutre sur sa chatte de chienne.
— Bof, c'est déjà pas mal... Bon, je te propose de les recontacter. On verra bien ce qu'ils nous proposeront.
Sitôt dit, je me lance. On ne risque rien à essayer!
Le mec de la plage nous remet tout de suite et est ravi que je le rappelle. Il me dit que sa femme souhaite vivement nous revoir. Je lui annonce que nous aussi, et particulièrement Cédric. On a très envie de baiser à nouveau. Alors le gars nous invite à venir chez eux demain après-midi à 15h précises pour une partie de baise très spéciale. Je n'en saurai pas plus, je le salue et lui confirme que nous serons là demain à l'heure dite.
Du coup, Cédric reste dormir chez moi. Une fois couchés, il m'appelle pour que je vienne lui faire un massage. Ce soir-là, je ne le sucerai pas car monsieur veut se préserver pour demain. Il n'empêche que j'en profiterai quand même pour m'attarder sur ses belles fesses qui ne sont plus si blanches depuis son coup de soleil.
Le lendemain, après un réveil tardif sur le coup de midi suivi d'une douche et d'un déjeuner vite fait, nous nous mettons en route. Une centaine de kilomètres en direction de la campagne. Arrivés sur les lieux, l'endroit est très tranquille. L'accès à la maison se fait par un chemin gravillonné qui traverse un parc mal entretenu. Au bout du chemin apparaît une grande bâtisse qui était sûrement une sorte ferme. L'ensemble est bien restauré mais n'a pas vraiment de classe. Je gare la voiture sur une sorte de parking: déjà cinq voitures et deux scooters. On se demande un peu où on est tombé mais l'excitation d'une partie de baise est plus forte que l'appréhension de l'inconnu. On descend de bagnole et je frappe à la porte. Le gars de la plage vient nous ouvrir. Il est en survêtement blanc.
— Salut les mecs, c'est super que vous soyez là, et à l'heure en plus. Nicole vous attend avec impatience. Au fait je ne vous avais pas dit mon prénom sur la plage, je m'appelle Alain.
— Cédric avait très envie de votre invitation à rebaiser votre femme.
— Eh bien, Cédric tu vas bien en profiter. On aime bien les mecs qui en veulent comme toi. Quant à toi, Laurent, tu verras, je pense que le trip va te plaire. J'ai une mission spéciale pour toi. Suivez-moi!
Nous suivons donc Alain qui nous entraîne dans un couloir, puis un autre. Au fond, à gauche, une porte donne sur une sorte de vestiaire.
— Voilà, les mecs! Vous vous foutez à poil et vous mettez vos fringues dans un casier que vous fermerez à clef. Ensuite vous ressortez et vous entrez dans la pièce en face du vestiaire. À tout de suite!
— Pas de problème! On arrive!
Nous voilà donc seuls dans ce vestiaire. Je remarque une petite caméra au plafond. Hum! On doit sûrement nous reluquer dans la maison. Ça fait bander Cédric dont le jeans semble sur le point de craquer. Avant de nous déshabiller, je passe ma tête dans le couloir: personne! Mais en revanche, derrière la porte, en face on entend des cris. Ce doit être la fameuse Nicole, notre salope de la plage qui se fait démonter! Hum! Apparemment, nous ne sommes pas seuls.
On commence à enlever nos baskets, puis nous voilà torse nu. Soudain la porte s'ouvre. Un jeune mec entre, referme la porte. Il doit avoir 18 ou 20 ans. Il a l'air très con mais je remarque qu'il est pas trop moche. Il porte un bleu de travail plein de graisse et des chaussures de sécurité. En quelques secondes, il a viré ses pompes et sa cotte. Il ne porte pas de slip. Il est à poil: pas très musclé, mais un gros cul et des belles cuisses poilues et surtout une bite énorme qui pend sur des couilles de cheval. Il fourre ses affaires dans un casier et met la clef autour de son cou puis ressort. Ni bonjour, ni rien: un vrai muffle! En revanche ça a l'air d'être un habitué. Elle s'emmerde pas la Nicole!
— Je crois que la concurrence est là, dis-je à Cédric. Lui, il a dû être choisi pour sa queue. On peut faire demi-tour si tu veux.
Mais j'avais surtout envie de voir la suite. Il avait l'air bien sexe le jeune con.
— Écoute, maintenant qu'on est là! Et puis qu'est-ce qu'on risque? À part le ridicule? Allez, hop! à poil! On nous a promis de la baise. J'en veux.
On garde quand même nos chaussettes. On range nos fringues chacun dans un casier et on accroche la clef autour de notre cou. Nous voilà nus comme des vers dans un endroit inconnu. On bande bien tous les deux. Pour nous donner du courage on se fait notre petit rituel. Chacun fait un bisou sur les couilles et le gland de l'autre et c'est parti. On a le cœur qui bat la chamade et les oreilles rouges. On sort dans le couloir désert en se cachant la queue. On entre dans la pièce d'en face d'où proviennent des gémissements de plaisir. On a la queue bien droite.
C'est une assez grande salle. Plusieurs mecs nus sont assis sur des banquettes. Ils reluquent un porno qui passe sur un téléviseur dont le son est assez fort. Je reconnais Nicole sur l'image qui se fait prendre par un noir. Au fond de la pièce, un bureau, une bibliothèque pleine de DVD de cul, un frigo, un bar. Au centre un lit rond sorti d'un film américain. Sur le côté, du matos de gymnastique: barres parallèles, espalier, cheval d'arçon, poutre...
Notre entrée passe inaperçue. Personne ne nous adresse la parole. Il y a quatre mecs: le gars à l'air con qui est passé par le vestiaire, un noir bien musclé, un beau gosse d'une bonne trentaine d'année et un mec assez jeune plutôt banal. Aucun n'a de franche érection mais ils ont tous un point commun: au moins 20 cm de queue. Plus de doute possible, c'est la condition du recrutement. On s'installe, un peu mal à l'aise, sur une banquette et on mate le porno. Il fait très chaud et je transpire déjà. Cédric m'a l'air inquiet et passe son regard dans tous les coins de la pièce. On repère trois caméras dans les coins et au-dessus du lit. La porte s'ouvre et entre un mec typé beur: il bande sévère et écarquille les yeux en nous voyant. Il semble étonné. Il doit être comme nous, débutant dans l'aventure. Nous sommes donc sept mecs. Les minutes semblent longues. Au bout de quelques instants la porte s'ouvre. Alain toujours en survêt suivi de Nicole nue, entrent et nous saluent.
— Bienvenue les garçons! Désolé de vous avoir fait attendre. On va donc commencer cet après-midi de baise hebdomadaire. Debout et approchez-vous du bureau. Vous vous arrêtez le long de la ligne sur le sol.
Les habitués sont vite rangés, alors on les suit et on s'installe derrière la ligne. Nous sommes chacun alignés devant le bureau derrière lequel Alain s'installe. Les bites se mettent chacune au garde-à-vous spontanément. Nicole nous passe en revue un par un et détaille chaque mec. Elle allume tout le monde en se caressant. En arrivant devant Cédric qui est à ma droite, je sens qu'il a toutes les peines du monde à ne pas lui sauter dessus. Il bande dur. Moi, je reluque les bites... C'est du lourd! La garce de Nicole refait un deuxième passage. Elle s'arrête à chaque mec. Elle empoigne chaque chibre et soupèse nos bourses en nous regardant droit dans les yeux. Quand mon tour arrive, elle m'excite tellement que j'ai une putain d'envie de la baiser. Et pourtant je suis homo...
— Bien, dit Alain. Je vois que vous avez tous compris pourquoi vous êtes là. Avant de commencer, je vais vous demander d'enlever vos clefs du cou et de les poser sur le bureau. À la place, vous allez mettre vos colliers.
Ça a l'air d'être l'habitude. Chacun enfile son collier au bout duquel pend une petite plaque avec un nom. Le noir s'appelle Tarzan, le beau gosse Beau-Cul, le mec banal Poil-de-cul, le mec à l'air con Connard (j'avais vu juste), le beur devient Bitos, moi j'écope de La Fiotte et Cédric enfile Juteur autour de son cou... Quel programme!
— Voila, plus besoin de faire les présentations à présent. Moi, vous m'appelez Chef et ma femme, vous pouvez la traiter de tous les noms. Sinon je rappelle que si vous voulez récupérer vos clefs et donc vos fringues, vous devez obéir à tous les ordres. De plus, vos portraits à poil seront diffusés sur Internet si vous désobéissez. C'est clair.
—...
— Sinon pour les trois nouveaux. Première remarque: les chaussettes sont à dégager! La poubelle est là.
On s'exécute sans trop se poser de question. J'ai l'impression d'être à l'armée.
— Deuxièmement, Je fais faire vos fiches. Bandez raide que je mesure vos queues.
Bitos passe le premier. Il est ensuite pris en photos sous toutes les coutures: face, profil, dos, épaules, nuque, bite, prépuce, gland, couilles, fesses, fion, pieds, mains... Viens mon tour. Je ne fais que 18 cm mais le Chef me réserve un sort spécial. Ensuite c'est le tour de Cédric qui grimace à se faire toucher la queue et surtout à se faire prendre la raie du cul en photo.
— Voilà qui est fait. Avaleur, notre pédé de service n'a pas pu venir cette semaine annonce le Chef, c'est donc La Fiotte qui s'occupera de vos queues et de contrôler vos éjacs. Cependant comme nous avons trois nouveaux cette semaine, je rappelle les règles. La partie de baise se déroule en quatre périodes d'une demie-heure chacune. Pendant chaque période, chacun devra gicler au moins une fois. À la fin de chaque période, celui qui n'a pas giclé aura un gage choisi dans la boîte qui est au pied du bureau, et devra le faire sans discuter. Avant de lancer la partie, tout le monde sous la douche. C'est la Fiotte qui vous savonnera le chibre et le cul. Exécution!
Nous voilà partis à côté dans une pièce aménagée en douche collective. Chacun se savonne abondamment. Je prends à cœur ma tâche et passe voir chacun pour faire les bites et les glands et je m'applique bien sur les rondelles des six étalons. Chacun se laisse faire à part Connard. Je remarque qu'il a les ongles noirs. Il doit être mécanicien dans un garage ou un truc dans ce genre. En tout cas il tire la tronche quand je lui frotte le sgueg. Il me crache alors à la figure. Pour me soulager de cet affront, je m'acharne sur sa raie. Mon Cédric... pardon Juteur, semble plutôt ravi que ce soit moi qui m'occupe de son matos. Il me présente son cul bien ouvert pour que je lui caresse l'anus (lui qui est complètement coincé de ce côté d'habitude).
La douche finie et nos mâles séchés, je suis chargé de contrôler la propreté de chacun par un coup de langue sur chaque gland. Puis tous se penchent en avant les jambes écartées pour que je vérifie les rondelles de la même façon. Connard râle, mais tous les autres m'ont volontiers présenté leur trou. On revient en fil indienne dans la pièce principale. Les bites se dressent à l'idée de la baise.
La première période commence. Une sirène retentit. Le Maître nous filme. Tarzan a sauté sur Nicole qui était allongé sur le lit à se doigter. Il commence à la limer sauvagement. Beau-Cul a fourré sa queue dans la bouche de cette chienne qui le suce comme une folle. Poil-de-cul et Connard lui malaxent les seins en se branlant. Bitos et Juteur restent à l'écart comme deux cons à se branler. Je vois le moment où ils vont écoper d'un gage à la con. Au bout de quelques minutes, Poil-de-cul lâche les seins de Nicole et s'avance vers moi:
— À genou, la Fiotte, et suce-moi!
Je comprends maintenant le pourquoi de ma présence. Je fais patienter ces messieurs en attendant qu'un trou soit libre. Je me mets donc au travail avec plaisir d'autant plus que ce Poil-de-cul a une bite d'une épaisseur...
Cédric... euh, Juteur s'occupe maintenant des seins de madame. Elle couine sous les coups de bite de tarzan le black. Il ne tarde pas à jouir sur ses seins. À peine s'est-il retiré que Connard et son gros braquemart a pris possession de la chatte toute chaude. Il la pistonne comme une bête sauvage en gueulant des "salopes", "tu la sens bien ma queue", "sale chienne"... Ce Connard éjacule sur sa fouf tandis que le Chef filme sa tête de con qui jouit.
Poil-de-cul que je suçais toujours me laisse tomber pour sauter sur Nicole. Il la lime deux trois fois dans le sperme des deux premiers et vient jouir à son tour sur ses seins. Juteur s'en prend un peu sur les mains. Il me siffle pour lui nettoyer. Je le lèche et je m'occupe ensuite de lui faire la place propre en avalant tout le sperme étalé sur la chatte. Le clito ressort bien. Nicole réclame une nouvelle queue d'urgence. Je branle un peu Juteur qui s'enfonce entre les lèvres. Lui au moins, je vois bien qu'il s'applique à lui donner du plaisir. Lorsqu'il est sur le point de gicler, il se retire, prend sa bite en main et dirige ses giclées vers la bouche de Nicole qui l'avale jusqu'à la dernière goutte. Bitos, le jeune beur débutant hésite un peu. Beau-Cul qui a l'habitude de ces partouzes lui propose une double pénétration dans les 10 minutes qui restent. Il s'occupe de lui défoncer le fion tandis que le petit jeune lime la chatte. Les autres mecs s'assoient sur le lit pour profiter de la scène. Quelques secondes avant la fin de la période, les deux baiseurs éjaculent fortement dans un râle commun. La caméra du Chef se fait insistante sur les glands qui coulent. Je contrôle les éjacs et passe un coup de langue sur les plus belles giclées. J'ai les joues couvertes de spermes différents.
— Chef, tout le monde a joui. Enfin... sauf moi! dis-je à mon hôte.
— Bien! Bon boulot les mâles. Reposez vous un peu sur les banquettes avant le deuxième round. Ça va devenir plus dur bientôt. Il y a des bières dans le frigo.
Chacun se sert. Tous font des commentaires sur la poitrine et la chatte de Nicole qui est partie se laver, et racontent les différents épisodes de sa rencontre avec ce couple fan de sexe. Tous, sauf Connard qui fait sa tête de con. Les bites sont molles mais le tableau m'excite grave. Je suis le seul à bander assis par terre au milieu de ces étalons. Je m'approche des grosses cuisses poilues de Juteur, mon pote, que je caresse. Les autres réclament aussi mes caresses, puis une petite pipe pour leur redonner du courage. Je prends le chibre de Tarzan dans la gorge.
— C'est une bonne suceuse, tu ne trouves pas? demande Juteur. C'est toujours pratique d'avoir un copain pédé quand on a besoin de dégorger! Et puis ça fait pas chier son monde!
Lorsque je veux poser ma main sur les cuisses de Connard, il me repousse d'un coup de pied:
— Dégage, sale pédé!
Charmant personnage. Mais c'est lui qui m'excite le plus dans la troupe. Il a la bouche entrouverte sur des grosses dents mal plantées, le souffle court. Il fait penser à une bête. Plutôt trapu, il mesure 1m70. Les cheveux très courts, plantés jusque sur le milieu du front. Les arcades sourcilières saillantes. Ses bras sont puissants. Quelques poils blonds parcourent sa poitrine, notamment autour des mamelons et entre ses pecs. Une touffe blonde pas entretenue surmonte sa grosse queue et ses boules poilues. Sa bite doit bien faire 20 cm au repos. Faudra que j'aille voir sa fiche. Il a un gros cul de paysan qui abritent une forêt de poils blonds. Sa raie est tellement poilue qu'elle est noire. Ses cuisses sont très fortes, de vrais poteaux. Bref, un profil de rugbyman. Ajoutez à cela des grosses mains calleuses et imprégnées de graisse de bagnole, avec des ongles sales. Impossible d'en tomber amoureux, mais en revanche qu'est-ce que je le trouve bandant. J'ai d'ailleurs décidé maintenant de me branler en le regardant. Il viendra bien me foutre une baffe! Au moins j'aurai quelque chose de lui.
— Les hommes, la pause est terminée. La deuxième manche reprend. Je veux que vous donniez à fond pour ma femme. Vous allez la baiser comme elle le mérite, la garce.
Le Chef reprend sa caméra en main tandis que Nicole revient en se tripotant les nichons. Mon pote Juteur, décidé à ne pas se laisser doubler comme à la première manche, prend Nicole par la taille, la conduit sur le lit et l'installe à quatre pattes pour la prendre en levrette. Il s'enfonce fermement dans sa chatte ouverte. Connard qui ne bande pas est monté sur le matelas, approche sa queue pour se faire tailler une pipe. À ce moment le Chef intervient:
— On veut pas de bite molle ici. Tu reviendras quand tu seras un vrai mâle. Vas te faire sucer par La Fiotte, elle est là pour ça.
Il en a pris un coup au moral. Du coup, il se branle fébrilement pour faire revenir son érection... Ça n'a pas l'air de donner de résultat. Je me réjouis d'avance à l'idée qu'il vienne me demander de le pomper. Poil-de-cul a pris sa place sur le pieu et se fait sucer. Il éjacule assez vite et la chienne avale soigneusement. Juteur poursuit frénétiquement son limage. Son bas-ventre lui tape dans les fesses. Il est tendu et transpire comme un âne. Sa plaque autour de son cou saute sur ses pecs saillants. Il vient à son tour dans une dernière bourre et jouit sur la paire de fesses écartées. Le sperme coule sur la raie et l'anus de Nicole qui se tord de plaisir le cul en l'air. Ses lèvres sont complètement dilatées. Ses chairs trempées sont rouges. Sans même attendre que je la nettoie, Tarzan et Beau-Cul l'enfilent par les deux trous, profitant du foutre encore chaud pour lubrifier leur chibre. Nicole crie qu'on la défonce. La scène est tellement excitante que je me masturbe derrière eux.
Bitos, un peu timidement vient me demander de le sucer car il a de la peine à bander. Délicatement, je passe ma main sur son bas-ventre en le regardant dans les yeux. Sa tige s'anime. Je le mets en confiance et le simple fait de palper ses couilles le met en érection. Il me remercie. Je lui propose quand même une pipe qu'il remet à plus tard car il pense avoir de quoi jouir. Il enfourne sa queue dans la bouche de Nicole qui criait son plaisir: ça la fait taire.
Connard persiste à s'astiquer dans son coin, assis sur une banquette, les cuisses écartées. Le chronomètre tourne. Il reste dix minutes et il bande mou. Je jette un œil régulièrement dans sa direction. Soudain il me fait un petit signe de la tête qui signifie amène-toi. Je m'approche. Il me prend violemment par le bras et me plaque au sol sur le dos. Puis, il m'emprisonne les bras avec les cuisses et s'assoit sur mon torse. Je suis complètement immobilisé. Il me prend la tête d'une main et m'enfourne sa grosse queue de l'autre. Il m'oblige à des va-et-vient forcés sur son pénis de cheval. J'ai du mal à déglutir tellement elle est grosse. C'est la bite la plus stock que j'ai jamais vue. Pour rajouter à mon supplice, il me crache à la gueule.
— Ça te plait que je te crache dessus sale pédé? Fais-moi bander espèce d'enculé. Elle te plaît ma queue, hein? Tu voudrais que je te défonce la rondelle, pédale?
Je ne pouvais répondre mais j'aurais bien été tenté, en effet! Cependant, comme je m'appliquais, ce con n'a pas tardé à bander. Ce qui s'est traduit par son départ précipité de ma bouche déformée vers celle de Nicole d'où Bitos venait de se faire dégager brutalement! Tout penaud, il s'écartait du lit pour contempler le spectacle de cette femelle, labourée par tous les trous. En habitués de ce genre de partie de baise chronométrée, chacun balança la purée dans les dernières secondes pour s'effondrer, épuisés sur le lit. La sirène retentit.
— Fin de la deuxième manche, annonce le Chef! Cinq éjacs copieuses! Félicitations aux mâles performants! Allez vous servir une bière dans le frigo! En revanche Bitos, t'as pas assuré! T'es pas un homme. Un mec, ça a des couilles et une vrai bite! Toi t'es qu'une fillette! Tu mérites une humiliation! Va jusqu'à mon bureau et mets-toi à genou sur la ligne!
Bitos, le jeune beur qui était arrivé en dernier, doit avoir 20 ans. Son corps finement musclé est bien bronzé. Il n'a pas de poils sur le torse en revanche ses jambes sont recouvertes de poils noirs très frisés. Il a de belles épaules larges. Il s'agenouille le regard inquiet, la queue au repos et penche la tête devant le chef qui lui montre la boîte par terre.
— Tire un gage! ordonne le Chef, et lis-le nous.
Bitos avance la main tremblante, saisit un papier, le déplie et lit:
— "Tous les mecs vont me pisser dessus et je leur nettoierai la queue sans les mains!"
Oui, avec la bouche pensai-je en moi-même! Pas trop méchant comme gage. Je comprends maintenant le pourquoi des bières. Les garçons en sont à au moins deux bières chacun, ça devrait facilement les amener à pisser.
Le Chef se dirige vers l'équipe de mecs, il leur colle des mains viriles au cul pour exprimer sa satisfaction. Mon Cédric a l'air de se plaire dans cette situation surréaliste.
— Venez les mecs, dit le Chef. Vous allez vous soulager sur la bite molle dans les douches.
Bitos est passé devant l'air résigné. Le Chef le fait asseoir par terre et prend sa caméra.
— Pissez-lui sur la gueule à ce minable!
Les cinq gars l'entourent et commence à se vider facilement. Les jets de pisse sont dirigées sur le visage de bitos. Même Cédric/Juteur semble y prendre plaisir et décalotte bien son gland pour mieux atteindre sa cible.
— Ouvre la bouche en grand et les yeux aussi, hurle le Chef. Je veux que tu vois ta punition. Et encore elle est bien trop faible à mon goût. Je veux t'entendre dire que t'aimes ça! Dépêche!
Après une hésitation, il comprend qu'il vaut mieux jouer le jeu pour abréger le gage.
— Oh! oui! J'aime me faire pisser dessus par des vrais mecs... Je suis pas un homme... Je suis impuissant! Encore les gars, arrosez-moi, j'adore!
Je reste là à regarder cette scène affligeante, où finalement la victime semble prendre plaisir au trip, qui je dois l'avouer, me fait super bander, vu que je n'ai toujours pas joui... Lorsque que chacun a donné le dernier jet et s'est égoutté sur la langue de Bitos, il démarre sans se faire prier un nettoyage buccal de chaque verge. Connard est très satisfait de voir son membre englouti par la victime. Juteur, plus gêné, ne s'attarde guère dans la bouche de ce collègue en sachant qu'il pourrait très bien être la victime du prochain gage.
Une fois rincés, chacun retourne siroter une bière dans la salle. Bitos est resté assis dans la pisse. Je m'accroupis pour lui demander si ça va et je pose ma main sur son épaule. Il pleure. Je lui donne un baiser sur la joue, ça le fait sourire et me le rend. Je le prends dans mes bras, le relève et nous prenons une douche ensemble. Je le réconforte et le caresse tendrement. Il me serre très fort dans ses bras. Il me demande de l'aider. Je lui conseille:
— Commence à te branler maintenant pour la baiser dès le début de la troisième manche. T'auras moins la pression.
— Suce-moi! S'il te plait, tout à l'heure, tu n'en avais pas eu l'occasion...
Son sexe est bien chaud. Il me donne des petits coups de pine. Je n'ai qu'à ouvrir la bouche et lui donner mes lèvres. Il me baise! Je l'arrête avant qu'il se lâche. Puis nous rejoignons le groupe à côté.
Les mecs sont affalés à picoler. Personne ne fait de commentaire sur ses performances. Ils sont plutôt aux aguets d'une faiblesse de l'autre... Juteur lâche des rots, c'est un spécialiste. Le Chef lui, bascule ses vidéos dans son ordi. Il m'appelle.
— Viens voir-là, la Fiotte!
Je m'approche de l'écran. Une série de petites scènes défile. Je reconnais nos vestiaires. Ce sont des mecs qui se déssapent. Les verges sont quasiment toujours en semi-érection. Je nous vois Cédric et moi quand nous sommes arrivés tout à l'heure. Une autre séquence montre tous les visages des gars en orgasme.
— C'est beau!
— Tu aimes? Attends, j'ai mieux...
Le Chef me montre une série de vidéos de raies poilues et humides en train de s'activer à baiser sa femme. Puis une série sur les couilles qui ballottent. On peut vraiment faire des comparaisons intéressantes. Viennent les cuisses, les mains, les dos... Il s'est aussi attardé sur les pieds. Je reconnais les beaux pieds de Juteur, avec ses chevilles sur lesquelles débute une véritable chaussette de poils blonds. Enfin, il nous a aussi filmé en train de nous branler. Toutes ces vidéos ont l'air d'avoir été "volés" et ça les rend hyper bandantes. En fait le Chef est comme sa femme, passionné par les mecs et les bites... En tout cas, ils y trouvent leur compte tous les deux.
Avant de démarrer la troisième manche, le Chef demande aux garçons de s'aligner sur le trait pour se faire sucer. Il lance le chrono. Nicole s'agenouille et entame une pipe sur Tarzan qui semble toujours disponible. Bitos et Connard bandent sans problème. Ce n'est pas le cas de Beau-Cul, Poil-de-cul et Juteur qui sont en panne. Les trois queues pendent lamentablement. Mon pote Juteur me fait signe que ça va pas et qu'il arrivera pas à bander avant un peu de repos.
Le Chef gueule:
— Les mous du gland, vous dégagez. La Fiotte, tu te charges de me les mettre au garde-à-vous!
Je les fais asseoir sur la table. Ma langue s'acharne à les ranimer. Je masse les burnes et caresse les cuisses. Les deux habitués semblent se résigner au gage et m'abandonnent pour aller se palucher sans grand espoir sur une chaise. Le temps passe très vite.
Juteur me regarde désespéré:
— Je banderai pas ce coup-ci! Putain, qu'est-ce que je vais me ramasser comme gage de pervers?
— T'inquiète pas! Je serai là! Ça sera peut-être pas si terrible!
Nicole parvient à faire juter les trois mâles actifs. Ils viennent sur ses seins. Les bites étalent les semences qui se mélangent. Les secondes s'écoulent rapidement, tandis que les mains malaxent le sperme sur la poitrine. Connard lèche les tétons baveux. Bitos a le sourire. Tarzan ne débande pas et frotte son gland contre la femme du Chef. Soudain la sonnerie finale retentit.
Poil-de-cul, Juteur et Beau-Cul s'avancent résignés vers le Chef qui les insulte et les mets à genou. Les mains dans le dos, ils doivent choisir un gage avec les dents! Les culs en l'air, chacun obéit et tire un papier. Poil-de-cul doit sucer le pédé de service (c'est à dire moi) jusqu'à éjaculation.
Il s'acquitte avec talent de sa tâche et avale sans broncher.
Beau-Cul doit recevoir des fessées sévères par chacun des gars. Le beau cul rasé est présenté écarté sur le cheval d'arçon, il encaisse bien les premières fessées distribuées par Tarzan. Il gueule ensuite comme un cochon qu'on égorge lorsque vient le tour de Connard de lui donner son supplice. Ses fesses passent du rouge au violet. Bitos et Poil-de-cul se montrent plus soft, mais le gage fait son effet. Il continue de hurler. Ça devient du plaisir. Le chef ordonne à Juteur de frapper fort. Beaux-cul semble être en transe. Il réclame encore des coups. Le supplice finit on l'abandonne dans ses spasmes de plaisir, les fesses marquées et secouées de convulsions.
Vient le tour de Juteur. Il est blanc et lit son gage:
— "Je dois m'empaler sur cinq plugs de plus en plus gros et crier mon plaisir."
Le Chef l'empoigne par le bras et le pousse vers la poutre sur la quelle sont fixés les cinq objets du supplice. Le plus petit doit faire 3 cm de diamètre pour 10 de long. Le plus gros 8 ou 9 cm de diamètre sur 25 de long. Une horreur! Cédric/Juteur est blême. Sa verge pend mollement et ne couvre même plus ses testicules.
— La Fiotte! C'est ton pote? alors prépare-lui bien le fion avec ça!
Il me jette un tube de vaseline. J'en sors une bonne noisette et je prépare la rondelle de mon copain qui se penche en écartant les jambes. On dirait un petit garçon qui a fait une bêtise et qui va recevoir une punition devant tout le monde. Les mecs le regardent. Connard a un petit sourire moqueur. Cédric est rouge de honte. Pourtant, il accepte volontiers que mes doigts lui travaillent l'anus. Je le détends bien et en fais pénétrer un puis deux. Cédric ferme les yeux devant cette sensation nouvelle. Lorsqu'il se sent prêt, il enjambe la poutre et s'assoit lentement sur le premier plug. Le plastique noir commence à s'enfoncer dans ses chairs puis est comme happé. Cédric a arrêté de respirer pendant la descente. Il ouvre les yeux et remonte. Le plug s'extirpe de son anus dans un "plop". Il se relève complètement et les jambes écartées autour de la poutre, il s'avance vers le second plug. À demi-accroupi, il me demande:
— Redoigte moi la rondelle, et enduis bien le plug!
J'ai vidé la moitié du tube dans ma main et je lui étale dans la raie. Son trou est bien graissé. Je lui introduis trois doigts et je le masse. Le plug n°2 reçoit le reste. Cédric se lance et s'enfile encore plus facilement. Il s'assoit carrément, tout étonné. Sa bite commence à se redresser. Lorsqu'il se relève, il choisit de passer directement au plug n°3 que je viens de graisser. Lorsqu'il commence à descendre, vu que le calibre est bien différent (6 cm de diamètre au renflement) il s'arrête à mi-course. Son visage se crispe. Il plisse les yeux de douleur et dans un râle s'enfonce brutalement. En remontant, l'air qui rentre dans son rectum produit un schhhhhrlp...glop! Le Chef a un haussement de sourcil de contentement!
— Travaille-moi encore le cul, je t'en supplie! Dilate-moi le plus que tu peux, s'il te plaît!
Il m'offre à nouveau sa raie. Je peux maintenant passer quatre doigts. Je le lime doucement puis de plus en plus vite pour lui chauffer le conduit. Il bande complètement à présent. Il prend du plaisir à mes caresses et commencent à gémir. Je m'arrête lorsque je le sens prêt. Alors il s'avance et s'assoit sur le n°4. Le plastique du plug s'enfonce très lentement dans son anus. Millimètre par millimètre, Cédric s'empale. Il a le cou tendu, la bouche vers le ciel pour mieux chercher l'air et crie sa douleur à Dieu. Arrivé au bout, il souffle une minute et remonte dans des cris de détresse et de plaisir mélangés. Le plug s'extirpe d'un coup. Cédric reste à moitié accroupi, pour retrouver son souffle. Son trou reste ouvert. J'en profite pour l'enduire du reste de vaseline et lui masser la prostate. Les mecs sont impressionnés par le spectacle et l'encouragent:
— On est avec toi, Juteur! On sait ce que c'est! Nous aussi on a dû y passer!
Cédric me demande pour le dernier de le prendre sous les bras et de le soutenir pendant la descente. Je me mets derrière lui, et je l'enlace. Son corps est tout tremblant. Il est bouillant de fièvre. Ma main droite est posée sur son cœur que je sens battre à tout rompre. Je le descends sur le dernier plug. Je le retiens. On arrive jusqu'au renflement. Cédric me regarde, me fait signe de le lâcher et, sans me quitter des yeux, il descend jusqu'à la poutre dans un soupir de jouissance. Il me sourit quelques secondes puis remonte lentement pour s'arracher au plastique noir. Tous les gars applaudissent et félicitent Juteur qui se passe les mains dans la raie.
— Putain! J'ai trop le cul ouvert! C'était trop bon!
— Bières pour tout le monde!, annonce le chef qui range sa caméra!
J'emmène Juteur sous les douches. Je le savonne tendrement. Ma salive calme son anus douloureux qui commence à reprendre sa forme.
— Laurent, me dit-il, tu sais que j'avais trop honte lorsque j'ai tiré le gage. Mais maintenant, je me sens fier d'avoir réussi l'épreuve devant les mecs. J'aurai jamais cru ça possible que je prenne du plaisir à m'empaler sur un plug... et en public. J'ai envie de leur demander ce qu'ils en ont pensé... C'est fou quand même?
— Tu en auras sûrement l'occasion. Mais tu dois encore décharger une fois. Tu te sens prêts?
— T'inquiète pas pour moi! Après ce qu'a enduré mon cul, j'ai une trique de cheval. Je pourrai baiser n'importe quoi.
On passe dans le baisodrome. Les mecs ont l'air moins en forme... Nicole se prépare sur le bureau. Couchée sur le dos, elle tient ses jambes en l'air. La vue sur son cul et sa vulve ouverte est imprenable. Le chef rameute les mecs:
— Avant de se finir dans la dernière manche, venez tous vous ranger sur la ligne! L'objectif, c'est la sodomie. Chacun a droit a une minute puis laisse la place au suivant. Pour les nuls en calcul, ça fait cinq passages chacun. Vous giclez au cinquième coup. Celui qui foire sera confié à La Fiotte. La Fiotte en fera ce qu'elle veut.
Voilà qui m'intéresse!
— Okay Chef!
— La Fiotte, tu me graisses toutes les kékettes de ses messieurs avant qu'ils enculent madame!
Je ne mégote pas sur la vaseline et enduis consciencieusement les chibres alignés. J'enduis aussi les burnes tant qu'à faire...
La sirène lance l'action. Chacun lime à tour de rôle. La minute semble courte pour les gars. Aussi ils pinent comme des lapins. Les dernières inhibitions disparaissent! Chacun se lâche complètement dans des cris, des râles et des insultes. Le pistonnage est parfois si hard que le bureau recule.
Au dernier tour, les mecs se vident les burnes comme jamais et se retirent du cul de Nicole avec le sourire, mais épuisés et le souffle court. Tous sauf un: Connard qui décule sans avoir joui! Sa queue est couverte du sperme des autres. Mélangée à la vaseline, on dirait de la colle à papier peint! Il en a plein les poils et ça coule sur ses couilles. Tout transpirant, les joues rouges, le regard hagard, on dirait une bête blessée qui attend qu'on l'abatte.
Tous, on le regarde silencieux! Connard sait ce qui l'attend! Doucement il écarte un peu les jambes. Il se laisse tomber sur les genoux. Il se penche en avant, pose ses mains sur le sol et se met à quatre pattes, la tête basse.
— Il est à toi! me dit le Chef. Tu peux en faire ce que tu veux!
J'attrape sur le bureau un marqueur noir dans le pot à crayon et je m'avance vers mon Connard. Sur ses fesses, j'écris: "trou à foutre" et je rajoute une flèche dans sa raie. L'animal est tellement poilu que c'est pas facile. Je m'aperçois qu'il a le cul super doux. Je passe ma main dans ses poils et lui flatte la rondelle. Il s'offre à moi sans problème. Puis je prends son menton dans la main. J'ai dans l'idée de lui mettre "je suce" sur le front. Mais je croise son regard désespéré à cet instant. Ses yeux semblent me parler. Il n'a plus l'air si con...
— Baise-moi, s'il te plaît, me dit-il dans un souffle.
Je jette le marqueur. Je lui fais un baiser sur le front. Il ferme les yeux. Je l'ai ensuite enculé tendrement. On a joui ensemble. On est resté enlacé un bon moment par terre sous le regard des autres. Puis je lui ai nettoyé les fesses sous la douche. C'est pas parti, car le marqueur, c'était de la qualité!
— C'est pas grave, mais je reste hétéro, m'a-t-il dit. Tu t'appelles comment?
— Laurent! et toi?
— Éric!
Ainsi s'est achevée cette partie de baise... après un total de 22 éjacs!