Pas facile la vie d'ado (03)
Texte paru le 2013-12-18 par Nephylime

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Je m’attendais à ce que la rentrée soit difficile et visiblement ça va être le cas. Mon téléphone vient de vibrer et annonce un message. Bien entendu il s’agit de Morgan. Le texte est court.
« Rendez-vous demain à la récréation de 10H à l’endroit habituel »
Je range mon téléphone tout en réfléchissant une nouvelle fois à la situation. La colère de mon camarade de classe m’a surpris et effrayé, je ne comprends pas vraiment le but de tout cela. Et en même temps je me dis que la situation ne peut pas empirer beaucoup plus que maintenant. J’ai à peu près tout perdu : ma dignité, mes poils… Il reste la vidéo mais je doute que Morgan soit vraiment sérieux tant que je lui obéis. Pour une raison que je n’intuite pas encore bien, il prend du plaisir à me torturer et tant qu’il y trouve son compte je devrais pouvoir m’en sortir sans trop de bobos.
Cependant, arrivé au lycée, je me rends compte que j’avais tort sur un point, la situation peut toujours devenir encore pire, pour preuve le coup d’épaule que je reçois dans le couloir du bahut en croisant Morgan. Il est si puissant que je m’écrase dans le mur d’en face. En me relevant j’entends les ricanements des autres élèves présents. Piteusement je me relève et tête baissée, je vais m’asseoir dans ma classe.
A la sonnerie de 10H, je me rends aux toilettes, je pousse la porte pour me retrouver dans le sas d’entrée. Je tombe nez à nez avec Morgan qui visiblement m’attend impatiemment. Je n’ose pas croiser son regard et me dirige vers la porte battante des WC garçons.
- Stop, où tu vas ? On va de l’autre côté aujourd’hui, suis-moi sale PD.
M’étant résigné à ne plus essayer d’argumenter, je le suis du côté des filles. Lorsque nous pénétrons je constate qu’à l’exception des pissotières le lieu est symétriquement identique à celui des garçons. Mon tortionnaire nous emmène dans la cabine la plus au fond. Nous entrons et Morgan ferme à clé en m’arrachant mon sac de gym et le tend ouvert devant moi.
- Fous toi à poil et mets tout dans le sac même les baskets, garde juste ton portable.
Je suis de nouveau nu comme un ver, mon téléphone à la main. Morgan ferme le sac et sort sans un regard. Je crois que c’est le manque d’intérêt pour ma nudité qui me vexe le plus et les larmes me montent aux yeux. Je me pose mille questions, est-ce le début de la fin, je ne l’intéresse déjà plus. Je suis limite en panique lorsque mon téléphone m’indique un SMS. Fébrilement je regarde. C’est lui :
« Ton sac est dans le dernier chiotte des garçons, si tu le veux tu sais ce qu’il te reste à faire, sinon t’as qu’à rester où tu es »
Je tombe à la renverse, heureusement la cuvette des toilettes est là. Il faut réfléchir et vite, je n’ai pas beaucoup de temps avant la fin de la récré. Il ne fait aucun doute qu’il ne bluffe pas et que je vais devoir me débrouiller tout seul. J’en arrive vite à la conclusion que je n’ai que deux choix possibles. Soit tenter la traversée maintenant, soit attendre la sonnerie.
Dans le premier cas je risque de me faire surprendre à poil dans le WC des filles ou à un degré de gravité moindre dans celui des garçons. Auquel cas ma réputation de pervers est faite pour le reste de ma scolarité. Dans le deuxième cas j’arrive en retard en cours et je risque un mot aux parents. Finalement je me décide pour le mot aux parents.
Lorsque la sonnerie retentit, je sursaute. J’attends deux minutes et je sprinte jusqu’à ma destination. J’y arrive sans encombre, lorsque j’ouvre la porte je vois mon sac, un énorme soulagement m’envahit. Je ferme la porte et me colle le dos contre, le temps de souffler un peu. Je baisse la tête et m’aperçois que je bande comme un âne. Mais pas le temps de cogiter, je dois me dépêcher. J’ouvre le sac et m’habille en vitesse. Je constate vite que mon boxer n’est pas là je me vêts donc sans.
J’arrive en cours avec 10 minutes de retard. Lorsque je rentre dans la classe, du fond de la salle Morgan m’observe avec un sourire moqueur. Mais je n’en profite pas longtemps car le prof m’envoie finir l’heure chez le CPE avec effectivement un mot aux parents.
Je me trouve donc dans la salle de retenue lorsque mon téléphone vibre de nouveau, c’est encore Morgan.
« RDV après le dej au même endroit »
L’angoisse monte jusqu’à une heure lorsque je me rends de nouveau au bâtiment de tortures. Morgan n’est pas dans le sas, je pénètre coté garçon, il est là près d’un lavabo.
— Suis-moi.
Nous nous rendons encore une fois dans le dernier compartiment. Et une nouvelle fois il m’arrache mon sac et je dois tout lui donner, cette fois même mon téléphone. Je me retrouve nu et mal à l’aise car cette fois il ne part pas, il me fixe sans rien dire. Ben entendu je me mets à bander, ça le fait réagir.
— Tu vois que t’aimes ça te foutre à poil devant moi, t’es une belle salope. Monte sur la cuvette les pieds sur le rebord, accroupi, cuisse écartées et les mains derrière la tête.
Je m’exécute et me retrouve face à lui, la position n’est pas facile à tenir, mes cuisses chauffent. Je rougis, je m’exhibe de nouveau devant lui, toujours en érection, je crois qu’il a raison je suis une salope ou un pervers ou quelque chose comme cela. Dans le cas contraire je n’y trouverais pas tant de plaisir. Il sort son téléphone et prends des photos de mon corps imberbe et offert. Mes pauvre 9 cm pathétiquement dressés devant lui. Je mouille, du liquide translucide apparait au bout de mon gland et goutte dans la cuvette.
— T’es vraiment une vraie chienne, regarde, tu mouilles comme une grosse pute, puisque t’aime ça, branle-toi, comme ça je pourrai ajouter une nouvelle vidéo à ma collection.
Je baisse la tête et m’exécute. Avec ma main libre je me stabilise contre la cloison de l’autre je me branle devant lui. Ma seule consolation c’est que je suis tellement excité que je viens très vite. J’essaie, autant que faire se peut, de viser l’intérieur de la cuvette. Je n’ai pas le temps de retrouver tous mes esprits que la porte claque devant moi. Morgan est déjà parti. A nouveau seul je me rhabille, toujours sans boxer et rejoins ma salle de classe.
L’après-midi se passe sans autre heurt jusqu’à l’heure de la sortie, je suis presqu’au niveau du portail de la sortie lorsque je sens quelqu’un me presser contre lui sans ménagement, je me doute que c’est Morgan, je sens son visage se rapprocher du mien et il me souffle à l’oreille :
— Alors petite lope, t’as pris ton pied aujourd’hui, et bien sois content on va continuer. De plus dorénavant tu ne portes plus de sous-vêtement aucun et jamais, que ce soit chez toi, à l’école et ailleurs. Si je constate une seule fois que tu en as un les vidéos partent immédiatement sur facebook compris.
Je balbutie un oui, qu’il n’entend pas car il m’a déjà lâché et il est déjà parti.
Tout de suite l’angoisse me prend car un problème me saute aux yeux immédiatement : comment je vais faire demain, j’ai gym, je vais devoir me changer et tout le monde va voir que je n’ai pas de sous-vêtement.
Le soir après avoir fait mes devoir, mangé et m’être lavé, je sélectionne mes habits pour demain, je choisis de mettre un tee-shirt sous mon pull. Celui-ci et un peu trop grand pour moi et m’arrive à mi-cuisse, il cachera le fait que je n’ai pas de boxer. Ce n’est pas terrible mais je ne vois pas d’autre solution.
Le lendemain, j’ai gym à 10H, les deux premières heures sont un enfer et font monter l’angoisse. Mais finalement la récré sonne puis la fin de la récré et enfin le moment d’aller aux vestiaires.
J’arrive devant le gymnase, Morgan m’attend devant l’entrée. Il vient à ma rencontre et me tend un truc.
- Je veux que tu mettes ça pendant le cours et fais pas de connerie, t’as intérêt à obéir.
Puis il tourne les talons. Je le laisse partir et regarde le vêtement qu’il m’a donné. C’est un short rouge. Bien trop préoccupé par le fait de ne pas avoir de boxer, je ne prends pas le temps d’observer les détails et le temps est venu d’aller aux vestiaires.
Je suis le dernier à arriver, dans ma classe nous sommes douze garçons et les onze autres ont déjà commencé à se changer. Je pars me mettre dans un coin, personne ne semble trop me remarquer mis à part mon tourmenteur qui me suit du regard. Je pose mes affaires sur le banc. Je prépare mon tee-shirt et le short de Morgan. Puis je commence à me déshabiller, d’abord mon pull que libère mon maillot et me retombe sur les cuisses, j’enlève mon jean. J’ai bien calculé, ma nudité est protégée par le vêtement, je me dépêche d'enfiler le short puis quitte mon pull et je mets mon tee-shirt. C’est à ce moment-là que je constate les dégâts.
Les jambes du short sont plutôt courtes, elles ne m’arrivent même pas à mi-cuisse, mais surtout les ouvertures sont très larges, ce qui a pour conséquence qu’en cas de mouvement ample mon pénis risque de s’échapper de sa prison de tissu.
Nous avons volley c’est donc plein d’angoisse que je me dirige vers les terrains où sont déjà regroupés la plupart de mes camarades de classe. La première heure est difficile, mon équipe me parle mal car je suis super nul. Ils n’ont pas tort, mais j’ai tellement peur de trop bouger que je touche aucun ballon. J’aperçois Morgan de temps en temps qui est dans une autre équipe et qui m’observe régulièrement.
Au bout d’une heure les matchs cessent, nous avons 5 minutes de pause. Je me rends aux lavabos pour boire un coup. Je suis en train de boire au robinet le corps courbé sur le lavabo. J’entends la porte s’ouvrir, je n’y prête pas plus d’attention sans doute un gars qui va pisser. Mais soudain je sens quelqu’un se coller contre moi.
— Alors la fiotte, elle te plait ta tenue, parce que t’as l’air un peu coincé sur le terrain.
Il se presse plus fort contre moi, je sens sa bosse dure contre mes fesses, ni une ni deux mon corps réagit immédiatement je bande comme un âne. Avec mon sexe bandé mon gland dépasse d’une jambe de mon short. Mon camarade se frotte plus vite, il glisse une main sous mon tee-shirt et me tille le sein droit. Je commence à mouiller grave, je suis super excité maintenant. Je commence à vraiment prendre mon pied lorsque Morgan me souffle à l’oreille :
— T’es vraiment un gros PD, bon courage pour le prochain match puis il s’échappe de moi et s’en va.
Je me regarde confus dans la glace en face de moi. Je bande à mort, mon gland dégoulinant dépasse de mon short et je dois retourner jouer. Mais je ne peux pas y aller dans cet état, mon short ne dissimule rien, je n’ai donc qu’une solution. Je file vers les WC, m’enferme et commence à me masturber.
Tout en me paluchant, je me dis que Morgan a raison, qu’en moins de 3 mois je suis devenu une grosse salope. Pour preuve je suis à moitié à poil en cours de gym en train de branler mon sexe imberbe juste parce que le beau gosse de la classe m’a à peine effleuré. Peut-être qu’il a raison, je mérite ce qu’il m’arrive puisque cela me fait tant de plaisir. Je finis rapidement par jouir dans la cuvette. Très vite mon sexe dégonfle, je pisse et retourne au Volley. J’arrive juste avant le début du prochain match. La deuxième heure se déroule comme la première. Quand vient l’heure de fin nous nous rendons aux vestiaires pour nous changer, là encore mon stratagème fonctionne et pour cette fois mon honneur est sauf.
La fin des cours se déroule sans embûche et l'heure de fin des cours arrive. Je quitte le lycée, franchis deux pâtés de maison, m’arrête dans une ruelle peu fréquentée, j'ouvre mon cartable pour sortir le collier et les poignets. Je les mets comme ordonné par Morgan. Je file ensuite prendre mon bus. Ce dernier est bondé et je suis debout dans le couloir, sur le siège le plus proche de moi un petit garçon de 4 ans est assis sur les genoux de sa maman. Il me dévisage plusieurs minutes avec insistance puis se tourne vers sa mère.
— T’as vu Maman, le garçon il a le même collier que le chien.
Sa mère le houspille tandis que je baisse la tête, rouge de honte. Le bus arrive à mon arrêt, je descends et rentre chez moi.
Arrivé à la maison je m’enferme dans ma chambre, je me fous à poil sur mon lit et commence à me caresser en pensant à Morgan et au contact que nous avons eu. Je me branle comme un fou, il est trop beau, je crois que je suis dingue amoureux, je suis prêt à n’importe quoi pour lui faire plaisir et malheureusement je crois qu’il le sait et qu’il en profite et plus de me faire chanter. C’est sur l’image de mon tourmenteur se frottant contre moi que je libère mon sperme sur ma poitrine.
Jusqu’aux vacances de Noël, la semaine qui s’est écoulée se répète régulièrement et Morgan continue à jouer avec moi, mais je réussis à ne pas me faire prendre, que ce soit en traversant les toilettes à poil ou dans les vestiaires où je dois me changer sans boxer. Les fêtes approchant, peut-être que Morgan va me laisser profiter de la trêve des confiseurs.
A suivre …