Semi-marathon (1)


Semi-marathon (1)
Texte paru le 2020-05-08 par Oakspirit   Drapeau-fr.svg
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Template-Books.pngSérie : Semi-marathon

La course à pied, c’est vraiment un sport qui me botte ! Dans le petit village que j’habite, il est très facile de se retrouver rapidement dans les campagnes, dans les bois pour faire un bon running tout terrain d’une heure ou plus. C’est grâce à mon pote Ben que j’ai commencé à courir. Cet automne, pendant le congé de la Toussaint, je me suis inscrit à un semi-marathon aux Pays-Bas : trop loin pour faire un aller-retour en une seule journée, trop fainéant pour m’y rendre en transport en commun, j’ai proposé à Ben de m’accompagner. Ce serait quand même plus sympa de faire cette route ensemble et de se motiver réciproquement lors de cette belle course. Bref, l’idée était que Ben puisse prendre son auto, qu’on loge dans un truc sympa sur place la nuit avant la course qui démarre assez tôt le matin et puis qu’on rentre pénard.

Ah, oui, au fait ! Moi c’est Sébastien mais tout le monde m’appelle Seb ! Je suis assez sportif et je porte bien mes 82 kg pour mon 1m87. J’ai les cheveux châtain foncé, la barbe aussi d’ailleurs ! Avec Ben, on s’entend vraiment bien ! C’est quasi un grand frère pour moi ! Vous savez, on a même déjà partagé l’un ou l’autre une branlette ! C’est pour dire à quel point notre relation est cool ! La fois où je l’avais invité chez moi pour mater un film, j’avais vraiment trouvé cela super de prendre du plaisir côte à côte ! Bah, depuis, on a plus trop eu l’occasion si ce n’est une fois lors d’un petit jogging dans les bois où, lui comme moi, on avait une grosse envie de se vider. Mais on a fait cela en vitesse et on était loin de la promiscuité du sofa de mon salon…

Depuis septembre, je suis en école supérieure et je suis en internat. Bref, on se croise moins souvent. Ce petit trip aux Pays-Bas, c’est aussi une belle occasion pour se retrouver et déconner ! J’ai maintenant dix-huit ans bien frappés et je suis un vrai fan de branle qui s’assume. Je n’ai pas de copine malgré les opportunités qui se présentent. Je me rends compte que, de plus en plus souvent, Ben se retrouve dans mes fantasmes de branle. Au début, j’imaginais qu’on partageait la même meuf… qu’on se retrouvait tous les trois sous la douche… vous savez ? des trucs du genre, quoi ! Aujourd’hui, il m’arrive de me branler en pensant uniquement à lui. Au début, je zappais… maintenant, je laisse libre cours à mes fantasmes et mon plaisir en solitaire n’en est que plus grand. Il a fallu un peu de temps pour que j’accepte mes rêveries.

J’ai eu des échos comme quoi il est homo. C’est peut-être cela qui libère aussi mes fantasmes sur ce beau gosse. Moi ? je n’en sais trop rien ! J’aime bien me branler sur des pornos hétéros pour voir les filles donner du plaisir aux gars. J’aime bien aussi mater un film gay de temps en temps… Suis peut-être bi… Ben ? Il a vingt-trois ans, il est un peu plus petit que moi et un peu plus sec, cheveux châtain foncé, yeux marrons. J’aime bien son style. C’est lui qui m’a donné l’envie de me laisser pousser la barbe dès que j’ai pu et, j’ai de la chance, j’ai déjà une barbe bien fournie pour mon âge.

Il est passé me chercher à la maison en fin d’aprèm. On s’est fait la bise, comme d’hab mais j’aime bien ce contact de nos joues barbues.

Sur la route vers la Hollande, on discute de tout, de rien, on rigole, il me fait des compliments sur la manière dont j’entretiens ma barbe. On parle de nos exercices respectifs pour garder un corps tonique. C’est flatteur. Ben sait me valoriser. Mais, je voulais aussi profiter de ce petit voyage pour revenir sur un point qui me turlupinait déjà le printemps dernier.

— Tiens Ben, tu te rases toujours les… couilles ?

— Euh, oui, régulièrement ! Comme je t’ai dit, j’aime bien les sentir lisses, me dit-il en rigolant et en passant sa main dans son jogging.

— Faudra quand même que tu me montres un jour comment tu fais. Moi, je n’ose pas : j'ai peur de me couper la peau !

— Écoute, Seb, si tu veux, on s’arrête tout à l’heure dans une boutique pour acheter du gel à raser et des lames et on regarde cela ce soir ! Me lâche-t-il avec un clin d’œil.

— Chiche ! On se marre mais lui comme moi, on est déjà tout émoustillé… Je bande dans mon jogging et j’ai l’impression que lui aussi.

— Dis donc, Seb, je crois qu’on a besoin de se retrouver ! ça fait trop longtemps qu’on a plus partagé un bon moment !

Cette remarque m’aurait peut être mis mal à l’aise il y a encore quelque mois mais là, dans la voiture, le sexe un peu tendu dans le jogging, je dois bien avouer que j’étais impatient d’arriver à notre hôtel. Me retrouver avec Ben, revoir sans doute son joli corps dans son entièreté comme sous la douche. Je suis quasi certain qu’on va se branler ensemble ; en tous cas je crois que j’en ai vraiment envie et je vais faire tout pour ! Oui, ok, peut-être que je suis homo, je ne sais pas, mais je sais que laisser tomber la pudeur avec Ben m’enivre !

On continue à parler, de tout, de rien. De ce qu’on a fait comme entraînement ces dernières semaines pour faire un bon score à ce semi-marathon vu qu’il a été très difficile de courir ensemble. On parle musique. On ne parle pas de filles…

On arrive dans la ville de destination après plus de trois heures de route. Ben s’arrête devant un magasin…

— Je vais chercher ce qu’il faut, Seb ! me dit-il avec un clin d’œil

— Hé, je viens avec toi !

Les courses effectuées, nous reprenons la route jusqu’à l’arrivée devant le petit hôtel. On sort nos sacs de sport de la voiture, on se rend à la réception et nous nous rendons à notre chambre.

─ Seb, on va se poser un peu puis on ira faire un tour en ville... enfin, on verra ! j’ai pris mon ordi !

Cool, s’il a pris son ordi, c’est qu’il a clairement idée de mater un bon film de cul ce soir. Enfin, pas certain mais Ben et moi on est pareil sur ce plan : de vrais fans de branle, je vous l’ai dit ! Ben ne sait pas que je fantasme sur lui, que nos branlettes sont trop rares et me manquent. S’il est avec moi, ici, je suis quasi certain que ce n’est pas que pour le challenge du semi-marathon…

La chambre est spacieuse. Un grand lit !? ah bon, on partagera donc le même pieu !

─ Ça te dérange pas, Seb, de dormir dans le même lit que moi ? Tu m’as dit de m’occuper de la réservation. J’ai fait au plus simple et avec ce marathon, toutes les chambres à deux lits étaient déjà prises ! Bah, je garderai un caleçon pour dormir !

─ Aucun souci, Ben. Et ne t’encombre pas avec un caleçon ! tu sais bien que je dors à poil aussi ! Si tu en gardes un, je vais me sentir obligé également !

─ Bon, on fait quoi ? wow, y fait à mourir de chaud ici, ils ont mis le chauffage à fond ou quoi ?

De fait, il faisait mourant dans cette chambre. Ben ferme le radiateur et vire son sweet.

─ Pfff, clair qu’il fait trop chaud ici ! et je vire mon sweet à capuche et mon Tee-shirt.

─ Dis-donc, Seb, tu as continué à travailler tes épaules à ce que je vois. Tu prends de la masse, c’est bien ! je vais finir par être jaloux de ton torse de petit mâle en formation !

Ce compliment me fait hyper plaisir car c’est vrai que je suis assez fier de mon corps. Musclé sans être gonflé, plutôt sec. Je regarde le corps de Ben qui vient aussi de se débarrasser de son Tee-shirt et je me dis que lui aussi, il a un putain de beau torse.

─ Maintenant qu’on s’est mis torses nus, autant rester ici pour le moment ! euh… tu ne me montrerais pas avec la mousse à raser ?

Je suis un peu mal à l’aise quand même de venir avec cela mais j’ai tellement envie alors je me suis lancé !

─ Ah, bon, déjà maintenant ? Tu ne perds pas de temps, toi ! Je pensais faire cela tout à l’heure avant la douche ! Mais, ok, après tout, après cette route, ça va faire du bien de se doucher et puis comme cela on sera tout propre ! Me dit-il avec un large sourire.

Ben vire son jogging, son caleçon, ses chaussettes. Je fais de même ! Nous voilà déjà tous les deux totalement nus, dix minutes après être rentrés dans la chambre ! ça promet !

─ Tu as amené ton ordi pour qu’on se mate un film de cul après la douche ou quoi ?

─ Ça te plairait ?

─ À ton avis, Ben ?

─ Cool ! Tu sais comme j’aime me branler ! Je n’étais pas certain que tu étais dans le même trip que moi !

Nos queues se redressent gentiment ! Ben ne dit rien mais il a le sourire aux lèvres. Moi aussi !

─ Eh bien, ça va être pratique pour te raser les couilles, tu n’auras pas besoin de te tenir le zizi dans l’état où tu es !

─ Haha, tu deviens bien raide aussi mon Ben !

Voilà que je l’appelle mon Ben… il ne relève pas le mot…

─ Regarde, je me rase les couilles jusqu’à la limite inférieure de la tige, pas plus haut sinon c’est trop. Je trouve qu’il faut garder la toison sur le dessus. Mais comme pour moi, faudra quand même un peu tailler. Dis, Seb, t’es déjà fameusement poilu ! Et ça continue de pousser sur ton torse aussi. C’est fou, sur quelques mois ! Ça te va bien, surtout n’y touche pas pour le moment ! ça reste assez court, ça te rend sexy, enfin… je trouve…

─ Non, je n’y comptais pas ! Tant que ça se limite aux pectos et aux abdos. Mais si ça commence à pousser sur les épaules ou dans le dos, faudra que j’intervienne !

─ Allez, mouilles toi les couilles à l’eau chaude, assieds-toi sur ce tabouret et laisse toi faire !

Sans montrer de timidité, Ben s’applique. Doucement, il étale le gel avec un large sourire aux lèvres. Quelle étrange sensation que d’avoir un autre gars qui vous masse les balloches. Avec le rabot, il élimine les poils rendant les testicules tout glabres et lisses. De temps en temps, il regarde mon membre qui reste dressé devant ses yeux. Je ne suis pas décalotté. Enfin, pas totalement. J’ai l’impression, ou en tous cas, j’aime à imaginer qu’il doit se concentrer pour contrôler ses envies. Ça me fait encore plus bander. Lui aussi est bien bandé. Je suis fier de mon sexe bien raide. A l’œil, il semble même un peu plus large que celui de Ben.

─ Tu as quand même une superbe bite, mon Seb ! Marrant ! Tu as le même prépuce que moi : même bandé, il ne se retire pas toujours tout seul. Et là, du pouce et de l’index, il me décalotte totalement le gland !

─ Joli fruit ! Me lance-t-il avec un clin d’œil tout en se relevant.

Je ne sais quoi dire… j’ai envie qu’il la saisisse, qu’il me gobe le gland là, mais je ne dis rien… je suis moi-même un peu dérouté par mes envies du moment. Personne ne m’a encore gobé le gland !

─ Voilà ! Une belle queue mise en valeur !

─ Merci, Ben ! On se douche un coup ?

─ Of course !

Nous voilà rentré sous la douche. Nos sexes au garde à vous sans espoir de voir retomber l’excitation. Ben se décalotte et se lave le gland. Je prends soin de mon « joli fruit » également.

─ Tu es quand même super à l’aise avec moi, Seb ! Tu es bien plus à l’aise maintenant que lors de cette douche chez toi, avant la branlette ! Je me souviens encore comme tu avais rougi en voyant ta queue se dresser sans pouvoir rien contrôler : c’était mignon !

─ Ben, tu te rends pas compte. Ya qu’avec toi que je peux être à l’aise comme ça avec ma queue. Bander c’est tellement bon, se branler c’est tellement bon. Tous les mecs pensent la même chose mais de là à le partager avec un pote… Je trouve cela super de pouvoir se faire des compliments sur nos corps, de se regarder la queue sans rougir, de bander ensemble sans complexe, de…

On est très proche dans cette douche pas très large. Je ne sais pas si le contact était voulu mais on se retrouve face à face et, dans nos mouvements, nos sexes se touchent. Raides comme ils sont, ça devait arriver !

─ Clair qu’on est sans complexe, Seb. On est juste conscient du plaisir que peut apporter un tel partage. Que penses-tu de ça ?

Tout en passant le dessous de son gland sur le dessus du mien : c’est divin. On se regarde dans les yeux. Il tourne son gland autour du mien. Tenant son sexe dans la main, il s’en sert comme d’une petite matraque pour tapoter ma tige. Je fais de même : petite bagarre de queues. Je ne peux m’empêcher de lâcher un :

─ Mais ! Oh ! Putain !

─ Haha ! C’est génial de te faire découvrir des sensations ! J’adore ! Bon, Seb, on se lave ? je n’ai pas envie de jouir comme ça dans la douche et c’est ce qui va arriver si on continue. Si tu veux, on partagera des moments sympas en se matant un film là…

J’ai l’impression que mon gland va éclater. Waouh, je sais que je l’ai déjà dit mais que c’est cool d‘avoir un pote comme lui ! Je ne sais pas jusqu’où il va m’emmener dans le partage mais je ne veux pas me placer des barrières : c’est trop bon !

On discute de la course du lendemain, l’excitation retombe. Nos queues, alourdies, redescendent quelque peu… ouf ! je n’avais en effet pas envie non plus de jouir maintenant ! Je pense que les choses sont claires. Ce soir, on va aller plus loin qu’une petite branlette chacun dans son coin. J’ai dix-huit ans, j’ai les couilles en ébullition, je suis en totale confiance avec Ben et ce mec sait me faire bander… Bon, je ne pensais pas ressentir autant d’excitation avec un gars mais ces frottements de glands… c’est une histoire de mecs !

─ On reste à poil hein ! Je ne sais même pas pourquoi je te pose la question ! Me lance Ben.

─ À ton avis, Ben ! J’me sens hyper bien, moi, à poil avec mes couilles bien lisses.

Je me regarde un coup dans le miroir.

─ C’est vraiment super ! Clair que ça met encore mieux le sexe en valeur !

─ Avec la belle toison qui surmonte ton sexe, je trouve en effet que cet entretien met ton corps en valeur. C’est très excitant de côtoyer un beau gosse comme toi en tenue d’Adam. C’est bien, on a un peu débandé mais comme d’hab, j’ai envie de rester décalotté.

─ Ouais, le gland à l’air, c’est encore un plus grand sentiment de liberté, Ben !

─ C’est cool ! Je connais des gars qui ne savent pas rester le gland à l’air au repos. Leur prépuce recouvre directement leur gland.

─ On a de la chance d’avoir un gland bien dodu et un prépuce qui reste spontanément coincé à l’arrière du gland ! tu crois pas que c’est pour cela qu’on aime tant se branler ? Parce qu'on adore sentir ce gros gland sous nos doigts ?

─ Haha, Seb, c’est possible ! je ne me suis jamais posé la question. Mais de fait, on a tous les deux un beau gland en chapeau de champi et c’est très plaisant de se le caresser ! C’est à cause de ton gros gland que j’ai eu trop envie de le chamailler avec le mien tout à l’heure ! Il est trop joli : on a envie d’y toucher ! lol

Ma queue reprend du volume et celle de Ben sursaute aussi en se relevant. On est de nouveau bien chaud. Il y a des images qui se dessinent dans nos têtes… dans la mienne en tout cas !

─ Chouette ! Y a des bières dans le petit frigo ! Tu en veux une Seb ?

Sans attendre la réponse, il me tend une bouteille !

─ À la santé de notre course de demain et… de nos queues en pleine forme ! M’entends-je dire.

Ben saisit son ordi et s’installe, jambes croisées, sur le lit ! Ni une, ni deux, je fais de même et m’assieds à côté de lui.

─ Je te laisse faire, Ben ! Lance le film que tu veux. Suis déjà tellement raide… On ira manger plus tard hein ! Ben… j’ai trop envie de jouir pour m’ouvrir l’appétit ! Dis-je en rigolant !

J’adore la promiscuité de nos corps. Nos genoux se touchent, il me sourit. Putain, il va finir par me séduire, lui ! C’est fou comme je me sens bien là ! Il s’affaire sur l’ordi pour trouver un film sympa.

─ Question, Seb : tu veux un film avec des filles ou un film gay, ça te botte aussi ?

─ Franchement, Ben, choisi, no problème !

J’ose pas lui dire mais ce soir, j’ai clairement pas envie de voir un film avec des filles maquillées comme des putes et qui crient comme des vaches ! Je ne peux pas imaginer qu’il ait une autre envie que de voir des corps de mecs qui s’ébattent. J’espère qu’il ne va pas mettre un film hétéro pensant me faire plaisir ! Et puis, après tout, je m’en fous un peu ! Je n’ai pas besoin d’un film de cul pour me branler ce soir. Je n’ai même pas trop envie de me branler d’ailleurs… Je veux qu’il me touche !

─ Allez, je me lance, Seb, les histoires de nanas, ça ne m’intéresse pas ! Tu ne connais pas Belami mais moi j’adore certains des films avec ces jeunes gars sans tabou. J’espère que celui-ci avec tous ces gars, nu dans des fauteuils, te plaira ! Je me suis déjà vider les couilles quelques fois en matant ces gars-là !

En effet, une kyrielle de jeunes mecs bien foutus, imberbes, au pubis soigné et aux couilles rasées, musclés juste comme il faut, prennent du plaisir. Certains se masturbent, d’autres commencent déjà à se sucer. Une belle orgie se dessine ! Ils sont sans tabou, passant de bouche en bouche, de bite en bite. J’adore ! Un film de ce type, c’est une première pour moi ! Mais je me dis, en toute modestie, que Ben et moi, on est plus beau que ces gars !

─ Eh ben, mon Seb, à en voir la mouille qui perle sur ton gland, ils ne te laissent pas indifférents ces gars qui s’amusent entre eux ! Je mouille bien aussi comme tu peux voir. Oups ! Attention, ne perd pas ta goutte ! Et il étale de son pouce ma mouille sur mon propre gland ! Il me regarde dans les yeux, il voit bien que je trouve cela délicieux ! Mon sourire l’encourage à continuer. Avec beaucoup de douceur, il me caresse le gland. Toujours les jambes croisées je ferme les yeux. C’est magique !

─ Ah, Seb, c’est génial ! Je n’étais pas certain ! quel plaisir de tenir un si beau jouet entre les doigts ! Tu me le dis, hein, si tu n’es pas à l’aise avec cette initiative !

Ben s’est tourné vers moi. Nous sommes face à face. Il fait dos à l’ordinateur sur l’écran duquel les premiers gars déchargent déjà leur jus en saccades bien fournies sur le visage ou sur le torse du partenaire du moment. Je prends une initiative de ouf et m’aventure à lui caresser l’arrière des couilles (quand je me branle, j’adore me faire cela).

─ Ouais, Seb, laisse toi aller, si tu as envie de ma bite, caresse là, branle là ! Oh, putain moi, tant pis, je te le dis, j’ai terriblement envie de goûter à ton gland !

Je ne dis rien... Je n’attends que cela ! Mes sens sont en plein éveil ! Je découvre de nouvelles choses de la vie ! Quelle douceur, quelle délicatesse ! Ses lèvres se sont posées sur mon sexe et explorent petit à petit mon « joli fruit ». Titillant du bout de la langue mon méat, s’attardant sur le frein puis sur la couronne du gland. Je ne peux pas retenir des soupirs. Je ne peux décrire les sensations. Mais ! Putain que c’est bon de sentir une langue sur son sexe ! L’entièreté de mon gland disparaît enfin dans sa bouche. Il descend le long de ma hampe. Sa barbe me picote les couilles. Je lui caresse les flancs, les pectoraux, j’en perds la voix mais lui fais comprendre qu’il doit arrêter car j’ai l’impression que je vais perdre le contrôle : je n’ai pas envie de déjà jouir !

─ Eh ben Seb, même en rêve, je n’aurais pas espéré cela ! Me dit Ben en rigolant. J’en avais envie depuis longtemps ! Tu ne t’imagines pas !

─ Tu me fais découvrir de ces trucs, toi alors ! J’ai envie… j’ai envie qu’on jouisse ensemble ! On fait comme tout à l’heure dans la douche ? Waouh, regarde comme nos glands sont de nouveau gonflés !

Ben déplie ses jambes et les étend de part et d’autre de moi. Je fais de même. Nous sommes face à face, cuisses contre cuisses, nos visages à quelques centimètres l’un de l’autre. Qu’il est beau, Ben, quand il me regarde comme ça. Nos sexes se touchent, on sursaute d’excitation. Nos glands sont plein de mouille. Ils glissent l’un contre l’autre. Ben, prend nos deux sexes dans sa main droite et commence à nous branler, mélangeant nos mouilles, étalant la mixture sur nos deux fruits gonflés. Les yeux clos, des lèvres se posent sur les miennes. Je n’offre aucune résistance. Ben m’embrasse, nos langues se chamaillent et nos sexes vibrent sous ses caresses. Je suis dans un état second. De sa main gauche, il me parcourt le torse, me titille les tétons : il va me faire jouir !

─ Mmm, Seb, jvais pas tarder à jouir, c’est trop bon !

On détache nos bouches, on regarde nos sexes. L’explosion est proche. C’est marrant comme ils se ressemblent ! On est tous les deux sur le fil mais Ben sait y faire… Il caresse la couronne de mon gland, repasse sur la sienne, appuie son gland sur le mien, mettant en contact nos freins. Puis il me caresse les couilles, puis cet endroit que j’adore juste à l’arrière des baloches. Il me met en transe.

J’ai soudainement une énorme envie de sentir son beau sexe sous ma langue…