Simon (01)


Simon (01)
Texte paru le 2010-08-19 par collectif   
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Template-Books.pngSérie : Projet d'écriture collective: Simon

L'entraînement avait été des plus rigoureux. Plus les finales approchaient, plus le stress de l'entraîneur se faisait sentir sur toute l'équipe. Quoi que l'on fasse, ce n'était pas encore assez. Quoi que l'on dise, on avait tort. Au moins, l'avantage des périodes d'entraînement au collège, c'est qu'elles se terminent avec la cloche car nous avons tous nos cours réguliers à suivre...

En arrivant au vestiaire, je me suis effondré sur un banc près de mon casier. Simon, un grand sportif de 18 ans qui s'était joint à nous récemment, s'affala de tout son long à côté de moi, s'allongeant dans le sens des planches.

— Je suis complètement b...r...û...l...é!

J'étais tellement fatigué aussi que je ne réussis qu'à faire sortir un grognement d'acquiescement.

On ne le connaissait pas beaucoup et Simon n'avait pas été très enclin à se fondre dans l'équipe, presque comme s'il avait peur de ne pas faire partie de notre gang. Pourtant, l'accueil avait été chaleureux et nous étions tous heureux d'avoir la chance de compter sur un marqueur né tel que lui.

Je me suis retourné doucement pour le regarder, alors que les autres gars de l'équipe continuaient à aller et venir dans les vestiaires, les douches et la salle de muscu. J'allais lui demander si son ancien entraîneur était aussi sévère que le nôtre quand je m'aperçus qu'il était vraiment K.O., au point où je me demandais presque s'il ne s'était pas endormi là...

--Patrice 17 juillet 2010 à 23:33 (EDT)


Je me suis approché de lui un peu inquiet. En tant que capitaine d'équipe, je me sentais responsable de mes coéquipiers. Il était en sueur, et avait le visage rouge.

— Veux-tu que je t'apporte de l'eau ? Lui demandai-je.

— Je penses que ça ira, me dit-il dans un souffle.

Les autres ne semblaient pas remarquer ce qui se passait. Ils étaient pratiquement tous sous la douche. On pouvait entendre leurs rires. Après la séance passée à se faire hurler dessus, nous avions tous besoin de décompresser. Je pris la décision de ramener un verre à Simon même s'il m'avait répondu par la négative. Je me suis dirigé vers les douches où l'on pouvait trouver des lavabos. Bien sûr, impossible de trouver un verre. Autour de moi, c'était une véritable ruche. Les abeilles semblaient virevolter à la recherche de jeux plus stupides les uns que les autres. C'est à celui qui donnerait un coup de serviette sur les fesses nues de l'autre. Mes camarades étaient nus comme à leur habitude. Moi je n'avais pas encore eu le temps d'enlever mon short. Un peu agacé par le chahut et ne trouvant toujours pas de verre, je me suis dirigé vers les vestiaires, ouvrant les portes des casiers de mes camarades qui n'avaient pas refermé les leurs. J'y découvris pelle-mêle des caleçons, des boxers, des chaussures qui dégageaient parfois une odeur nauséabonde, un sextoys ! Allez savoir ce qu'il faisait là... Et enfin le verre tant recherché. Je l'attrapai rapidement, courrai vers le lavabo et le remplis pour le rapporter à Simon...

--Gordon 18 juillet 2010 à 14:55 (EDT)


Il se redressa péniblement pour prendre le verre que je lui tendais. Il me fit un léger sourire puis le porta à ses lèvres. Il but quelques gorgées. Je le regardais faire, voyant sa pomme d'Adam bouger au rythme de l'eau qui coulait dans sa gorge. Je remarquai qu'il avait un cou puissant, strié de larges veines. Ses yeux semblaient dans le vague, comme si un malaise existait entre nous. Je lui ai dit :

— Tu ferais mieux d'enlever ta veste, tu auras moins chaud.

Il leva les yeux pour me regarder l'air un peu désemparé puis les rebaissa sans même toucher à son vêtement. Il posa son verre par terre et se rallongea sur le banc. Sa respiration commençait à être plus régulière. Tout autour de nous, le ballet des abeilles avait repris dans les vestiaires. L'eau ruisselait des jeunes torses musclés, les cheveux lorsqu'ils n'étaient pas en brosse étaient en bataille, les corps étaient revêtus de simples serviettes autour des tailles et les poils des cuisses ou des pecs étaient collés contre les peaux blanches, mates ou même noires de nos acolytes.

Simon semblant récupérer de notre entraînement, je me dirigeai vers mon casier pour me changer. J'en ouvris la porte et fis tomber la photo que j'avais glissée le long de celle-ci. Lorsque je faisais du sport, j'aimais placer la photo de ma petite amie du moment dans mon casier, c'était pour moi comme un porte-bonheur. Cela faisait déjà six mois que je sortais avec Stacy. Beaucoup nous enviaient. Pour la plupart des gens nous semblions être le couple parfait. Nous étions beaux, sportifs et pour ne pas gâcher le tout, nous étions aussi studieux. Autant j'étais brun, un peu typé italien, autant Stacy était blonde et ressemblait davantage à une norvégienne. Je faisais du sport depuis mon tout jeune âge, ce qui m'avait permis de développer une musculature harmonieuse, quant à elle, elle faisait de la natation.

— J'espère que tu t'amuses au moins avec elle ? Me lança Matt.

— ...

— Ça doit y aller le soir, entre vous deux, rajouta-t-il.

Il mima un geste assez obscène. Matt n'était pas méchant mais un peu lourdeau. C'était le nounours de l'équipe. Il devait être le plus grand d'entre nous, avec des épaules deux fois plus larges que les miennes mais il semblait n'avoir qu'un petit pois à la place de la cervelle. Pourtant la plupart du temps, il nous amusait tous.

— Crétin, dis-je avec un sourire en coin.

Je rangeai la photo et commençai à enlever ma veste. Chacun de mes coéquipiers commençait à quitter la salle. Je portais un marcel, ce qui dégageait largement mes épaules. Je n'étais pas peu fier de celles-ci. Il faut dire que je les travaillais souvent à la salle de muscu où je me rendais régulièrement en semaine lorsque je n'avais pas d'entrainement. Je me passais les mains sur les épaules pour me les décontracter. J'avais dû forcer un peu la veille car elles me faisaient mal. je me retournai pour voir si Simon allait bien lorsqu'il détourna le regard pour fixer le plafond. Alors que la rougeur de sa peau semblait avoir disparu, tout à coup je le vis changer de couleur de nouveau. Je me demandai bien ce qu'il pouvait avoir. Le dernier de nos camarades quitta la salle et nous nous sommes retrouvés à deux. J'attrapai le bas de mon t-shirt et le tirai au-dessus de ma tête cherchant à l'enlever. J'en profitai pour demander :

— Ça va mieux ?

— Hum.

Lorsque je suis arrivé à enlever mon vêtement, je découvris Simon me regardant, l'air statique. Il semblait hypnotisé par mon torse. Il faut dire que la pratique du sport m'avait permis de développer mes pecs en faisant apparaître un sillon entre les deux seins et que j'avais gagné une véritable tablette de chocolat.

— Hey ! Simon. Sois pas ahuri comme ça. Ce n'est pas extraordinaire. Il y a encore mieux foutu que moi.

Il ne me répondit pas et tourna la tête vers le plafond.

— Et puis je suis certain que toi aussi tu dois être bien développé vu le sport que tu pratiques.

Pris dans le jeu de mes camarades tout à l'heure et ayant besoin de me défouler à mon tour, je me suis approché de lui pour attraper le bas de sa veste. J'ai commencé à tirer.

— Allez hop ! Vire moi-ça !

Il s'est mis à sourire.

— On est un grand garçon et on écoute maman Chris, ai-je rajouté.

Je fis remonter sa veste de survêt sans avoir oublié de lui chatouiller les côtes en même temps. Le bougre se débattait, refusant de se dévêtir mais rigolant à gorge déployée de mes caresses. Je pouvais sentir sous mes mains qu'il n'avait pas une once de graisse. Montant jusqu'à ses aisselles, je pus sentir qu'il avait même un grand dentelé bien développé. Je me suis placé au-dessus de lui, cuisses écartées autour de son ventre, presque assis dessus pour l'empêcher de bouger.

— Allez hop coco ! On me vire ça.

— Arrête ! Je vais me pisser dessus bientôt.

Je continuais de plus belle, faisant passer sa veste au dessus de ses épaules, la tirant par la tête.

— C'est quoi ce bordel ? Demanda l'entraîneur. Pas encore partis ?

Nous faisions tellement de bruit que nous ne l'avions pas entendu ouvrir la porte. J'arrêtai de suite pour lui répondre :

— Heu oui.

Je me redressai, me dirigeai vers mon casier et finis de me déshabiller pendant que Simon finit d'enlever sa veste et que le coach nous laissa seuls. J'enlevai mon boxer, pris une serviette et me dirigeai vers les douches. Mon camarade de jeu, quant à lui, s'était retourné, ne me laissant voir que son dos qui, comme je l'avais déjà deviné, était en effet bien dessiné en V. Il avait retiré son t-shirt.

Je me suis approché des douches, j'ai allumé l'eau en appuyant sur le bouton pressoir et me suis reculé de peur de recevoir de l'eau trop froide. De toute façon je ne craignais rien car mes acolytes étaient déjà passés avant et avaient purgé le réseau de son eau froide. Je me suis glissé sous l'eau et ai interpellé Simon :

— Alors tu arrives, boy ?

— Oui, oui, j'arrive, me répondit-il...

--Gordon 19 juillet 2010 à 05:10 (EDT)


Je prenais plaisir à sentir l'eau glisser sur mon corps. La séance avait été difficile et mes muscles avaient besoin de se décontracter. Je fermais les yeux, tête vers le pommeau, ouvrant parfois la bouche pour me la remplir d'eau puis recrachant. Je n'entendais que le bruit du clapotis de l'eau sur ma peau ou le sol. Pour me soulager, je passais mes mains sur mes épaules, les massant doucement. Je profitais pleinement de l'instant présent. Lorsque j'ouvris les yeux, je vis Simon à côté de moi qui me regardait avec un air bizarre comme perdu dans ses pensées.

— Ohe ! Simon ? T'es où ?

Il hocha la tête, puis se tourna. Je pus voir son dos. Je remarquai que non seulement il avait un corps en V mais qu'il avait aussi un fessier musclé et rebondi comme il fallait. Lorsqu'on est dans une équipe, on ne fait pas attention au corps des autres hommes qui vous entourent dans un vestiaire mais il arrive parfois qu'on se mette à comparer telle ou telle partie des corps. Je pouvais admettre facilement qu'il avait une très belle chute de reins qui accompagnait ses fesses.

— Belles fesses ! Dis-je pour le complimenter.

Il ne répondit pas mais je pus voir ses épaules tressaillir. J'entendis comme un gémissement et me suis approché de lui.

— Ça va ? Lui demandai-je.

Il se retourna, passant une main sur ses yeux, puis commença :

— Je...

Il arrêta sa phrase quelques secondes pour reprendre :

— Je... je suis gay...

Sa phrase mourut presque. Je suis resté stupéfait. Il se répéta dans un chuchotement puis ne se contenant plus, il se mit à pleurer. Je ne savais pas comment réagir. Je venais d'apprendre que mon coéquipier était gay, ce que je ne me doutais pas mais j'avais en face de moi un grand gaillard d'1m90 qui pleurnichait. Comment un jeune homme aussi sportif, ayant une telle musculature, personnifiant la virilité, pouvait être amoureux d'autres hommes. Je regardais Simon pleurer, cela avait dû être difficile de m'avouer son homosexualité, et d'ailleurs pourquoi me l'avait-il dit à moi et à cet instant là ? Malgré ma surprise, je me sentis désemparé par la tristesse de mon camarade. Pris par un accès de tendresse, je l'attirai à moi pour le réconforter.

— Chut... C'est pas grave.

Il blottit sa tête dans mon épaule. Cela faisait plusieurs minutes maintenant que l'eau s'était arrêtée de couler. Je pouvais sentir ses larmes chaudes contre ma peau. Je glissai une main sur son cou pour l'apaiser. Je fus pris de frissons. Est-ce le froid que je commençais à ressentir ou la situation ? Son torse était pratiquement collé au mien.

— Ça va aller...

Sa peau était douce sous ma main. Je pris son bras avec mon autre main et pus constater la puissance de ses muscles. Je remontai la main pour atteindre son biceps. Celui-ci était contracté. C'était une sensation étrange qui me parcourut. Je respirais l'odeur enivrante de la sueur qui n'avait pas encore disparue du corps de Simon. La fragilité du jeune apollon contre mon corps me toucha. Je m'aperçus que mon sexe avait changé de volume. Je bandais ! Ce n'était pas possible, était-ce du désir pour un autre homme, ou pour une bête fragile. J'optai pour la seconde solution. Je devais avoir l'impression de tenir une jeune fille en détresse sous mes bras et me sentir le chevalier à l'armure venant la secourir. Pourtant, même si Simon ne bougeait pas à part ses tressautements dûs à ses pleurs, je bandais de plus belle. Ma peau s'électrisait et à chaque fois que je sentais la sienne contre mon torse lorsqu'il inspirait, une bouffée de chaleur semblait m'envahir. Je ne pouvais pas laisser la situation dégénérer. Je ne pouvais pas lui faire croire que je le désirais. Cela aurait été lui mentir.

J'essayai de me détacher en attrapant sa tête entre mes mains pour qu'il me regarde et que j'essaie de le raisonner. Ses yeux embués se plongèrent dans les miens. Je remarquai qu'ils étaient d'une jolie couleur bleue. Il aurait pu avoir toutes les filles à ses pieds et même me faire de l'ombre. Je l'admirai et me perdis dans ses yeux; Je ne pus m'empêcher d'écraser ma bouche sur la sienne. Lorsque nos lèvres se sont rencontrées ce fut comme un éclair qui me traversa l'esprit. C'était devenu une évidence. Je voulais sa bouche, sentir ses lèvres sur les miennes, connaître le goût de sa langue contre la mienne, caresser chaque parcelle de son visage à la recherche d'une certaine délivrance...

--Gordon 20 juillet 2010 à 06:17 (EDT)


Notre baiser sembla durer une éternité. Dès que l'un se détachait, il se jetait de plus belle sur la bouche de l'autre. J'étais enivré, mes barrières semblaient tomber les unes après les autres. Je me collais à Simon pour sentir sa peau contre la mienne, ressentir son cœur battre contre ma poitrine, découvrir sa queue bandée contre mon corps. Mes mains quittèrent sa tête pour parcourir ses épaules, son dos, sa chute de reins, ses fesses. La fermeté de ses muscles conjuguée à la douceur de sa peau me rendait dingue.

Il se détacha de moi pour se mettre à genoux, prit ma queue et l'enfourna dans sa bouche. Moi ce que je désirais, c'était le tenir dans mes bras, sentir ses lèvres mais dès qu'il les posa sur mon membre, je ne pus résister. J'attrapai sa tête pour glisser mes mains dans sa chevelure. À mon âge, on est toujours excité et la présence de Stacy n'arrangeait rien. Dès que nous étions ensemble, on trouvait le moyen de faire l'amour. Tout endroit était bon à nous recevoir. Elle me suçait avec avidité mais ce n'était rien en comparaison de la sensation que me procuraient les caresses buccales de Simon. Il glissait lentement sa bouche sur ma verge gonflée.

— Humm, c'est trop bon, n'ai-je pu m'empêcher de dire.

Il continuait amoureusement.

— Ça doit pas être ta première fois... C'est si bon.

Je bougeais lentement mon bassin pour entrer mon membre dans sa bouche.

— C'est si bon. Tu aimes lorsqu'elle est dure comme ça ?

Il releva quelques secondes ses yeux pour me regarder mais ne répondit pas, sans doute préférant me sucer que de perdre ma queue. Je me laissais faire.

— Oh putain ! Quelle bouche !

Je ne pouvais m'empêcher de parler et de lui dire combien j'aimais le plaisir qu'il me prodiguait.

— J'adore !

Il me suçait lentement, me regardant de temps en temps avec des yeux montrant toute son envie. D'une main, il se caressait la queue, de l'autre, il me tenait les couilles. Il lâcha mon sexe pour me demander timidement :

— Tu aimes ma bouche autour de ta queue ?

Il la reprit en bouche, semblant chercher à ne pas en laisser une goutte. Je gémissais lentement.

— Tu aimes ma belle queue ? Demandai-je.

— Oh oui.

Parfois je la sortais pour venir frapper son visage avec mais je la réintroduisais rapidement dans sa bouche.

— Attends viens, lui dis-je.

Je l'invitai à retourner dans la partie vestiaire, me suis installé sur un banc en écartant les jambes. Il s'est assis devant moi et avec un regard salope, a repris mon pieu en bouche. Je me suis appuyé sur mes mains et me suis cambré en avant pour bouger entres ses lèvres.

— hummm... C'est si bon. Tu aimes les queues de sportif ?

— Oui... chuchota-t-il.

Je ressentais une sensation étrange, mêlée de plaisir intense et d'interdit. Parfois je glissais ma main sur son dos ou ses épaules pour sentir cette peau qui m'avait tant attirée. Tout à coup, la sensation devint encore plus intense, il enfournait à fond ma queue pour me faire une gorge profonde. Il la quitta ensuite pour me sourire et revenir à sa succion. Je pouvais le voir tenir sa queue, gland décalotté. Il passa sa langue sur ma queue, me regardant, descendant lentement sur mes couilles. Il semblait attendre mon assentiment. Je ne pouvais que gémir ce qui le faisait sourire.

— Oh quel pied ! Tu es si sexy comme ça, lui dis-je.

Il continua à me sucer, ses lèvres humides.

— Je serais prêt à me faire sucer comme ça tous les jours.

Je pris sa tête et accompagnai son mouvement autour de mon membre. Il cala mon sexe au fond de son antre.

— C'est parfait !

Il relâcha sa prise puis recommença.

— Tu aimes te faire sucer la queue par un mec ?

— Par toi, ouais, lui répondis-je.

Il recommença sa caresse buccale mais j'avais besoin de plus maintenant. J'ai pris alors sa tête pour enfoncer à chaque mouvement ma queue davantage en lui. Je devenais dingue de Simon. J'acceptais qu'un autre homme me taille une pipe. Je me faisais sucer avec délectation mais je ressentais un peu de remords à me laisser faire en laissant ce jeune sportif. Plus il me suçait, plus ce sentiment se développait, si bien que je le fis se relever et vins m'installer à genoux devant lui. J'ai pris sa queue en main et approchai mon visage. Je ne voulais pas mais c'était plus fort que moi, je posai alors ma langue sur son gland. Le goût était étrange mais pas désagréable. Je léchais alors son membre raide puis me décidai à l'engloutir. J'ai ressenti comme une décharge électrique lorsque son gland a touché mon palais. Je savais que maintenant j'allais avoir besoin de sa queue plus entière. Je l'ai sucé avidement pendant qu'il me tenait par la tête. Il fallait que je lui fasse ressentir ce que j'avais ressenti grâce à lui. J'ai ainsi essayé de faire entrer sa queue un maximum dans ma bouche. Ses 20 cm n'étaient rien en comparaison de mes 22 cm mais j'avais toutefois du mal à les prendre.

— Oh quelle queue !

— Oui elle est pour toi mon...

Sa phrase mourut dans un chuchotement.

— Tu l'aimes !

Je préférais le sucer que de lui répondre. J'adorais sentir sa queue entre ma langue et mon palais.

— Oui c'est un bon garçon, me dit-il.

Je le regardai, faisant glisser moi-même sa queue sur ma langue.

— Tu aimes ça, demandai-je ?

— Et toi ?

— J'aurais jamais cru.

Je ne m'occupais pas de ma queue, j'avais trop à faire avec celle de Simon. Il tourna légèrement sa tête pour nous admirer dans le miroir, lui debout, moi à ses pieds, avec sa queue en bouche. Parfois je jetais un œil à la glace et remarquais ses fesses qui m'avaient tant impressionnées plus tôt. Cela me fit rebander direct. J'avais besoin de lui, de posséder ses fesses. Je le fis relever et l'installai près du banc. Je l'invitai à mettre un pied sur le tabouret trouvé, à se pencher en avant et à me montrer son cul que je trouvais magnifique. Fou de désir, j'approchai ma queue et plaquai mon gland sur sa rondelle. Il semblait m'attendre. Lorsqu'avec Stacy j'essayais de l'enculer, les fois où elle avait ses règles, il me fallait la préparer longuement. Mais Simon lui semblait être prêt. Autant avec ma copine, nous utilisions des préservatifs pour nous protéger, autant je désirais tant Simon que mon cerveau n'était plus prêt à réfléchir. Je m'introduisis ainsi dans les entrailles de mon amant (tiens je viens de dire amant, c'est bien ce que Simon était devenu, une personne avec qui je baise en trompant ma copine). Je fis des mouvements en lui en le tenant par les hanches.

— C'est bon ? Demandai-je.

— Trop bon.

— Si je me doutais que j'allais baiser comme ça aujourd'hui. C'est si hot.

Il me regardait avec un sourire d'ange.

— Quel cul ! Il est fait pour ma queue.

— Oh oui ! Encule moi.

Je glissais ma queue en lui, lui caressant le dos ou parfois les fesses.

— Tu aimes m'enculer ?

— Oui, c'est si bon.

— Une si grosse queue pour mon cul.

Cela ne devait pas être la première fois qu'il se faisait sodomiser, ce qui me rendit un peu jaloux.

— Oh mon dieu ! C'est trop bon. Saute-moi bien.

J'aimais le voir sourire, le jeune homme taciturne que j'avais connu laissait la place à un bel étalon amoureux de la vie. Je me suis penché pour attraper sa queue. Il n'avait pas débandé, au contraire. Je l'ai branlé ainsi. Je voulais lui donner du plaisir, le faire jouir, pourtant il semblait vouloir profiter encore de ma queue.

— Encule moi !

— Plus fort ?

— Oui, vas-y.

J'ai continué ainsi quelques minutes, mais je voulais voir son visage sur lequel se dessinait son plaisir. Je suis sorti de lui et l'ai invité à s'allonger par terre. J'ai pris sa jambe gauche en main et me suis replongé en lui. Je pouvais voir son corps parfait, sa queue qu'il branlait. Je l'ai baisé longuement pendant qu'on s'échangeait nos impressions. Il en voulait toujours plus. L'entendre réclamer ma queue avec sa voix de jeune mâle rauque m'excitait encore plus. Stacy n'aimait pas parler mais Simon commençait à s'ouvrir voyant que cela faisait monter mon plaisir encore d'un cran.

— Tu aimes les queues ?

— J'adore la tienne.

— Tu la veux dans ton trou ?

— Je veux que tu me baises !

— T'es une bonne salope toi.

En disant ça, j'ai eu la soudaine envie de le posséder intégralement. Je l'ai fait mettre à quatre pattes devant moi en le faisant se cambrer et me suis réintroduit en lui.

— Ouais, donne moi ta queue.

Je l'ai ainsi chevauché, le baisant comme un fou prenant mon pied en lui tout en le faisant gémir. J'allais pas tarder à jouir. Je me suis allongé pendant qu'il s'est redressé. Il s'est branlé au-dessus de moi, tous muscles contractés et a lâché quelques jets de sperme sur mon corps. Moi je me branlais. La sensation de son sperme sur mon corps m'a fait jouir à mon tour en lâchant des jets de liquide qui ont atteint ma tête. Il s'est baissé pour venir me caresser la queue et la vider. Il en a profité pour se pencher et venir m'embrasser. Même éreinté, je retrouvais le goût délicieux de ses lèvres sur les miennes...

--Gordon 22 juillet 2010 à 07:44 (EDT)


Je sentais la douceur de sa bouche sur la mienne et j'aimais ça. Jamais je n'avais soupçonné que je pourrai faire l'amour avec un homme, voir juste m'exciter. Stacy me rendait pourtant heureux, chaque fois que nous étions ensemble, je me sentais bien avec elle. Pourtant quelque chose venait de changer en moi mais je ne savais pas quoi encore. Je venais pourtant de jouir, alors que nous nous embrassions toujours je me rendis compte que Simon jouait avec ma queue, elle était de nouveau dure. Une envie de jouir montait doucement. Il prit doucement mon sexe dans sa bouche et la fit coulisser doucement. Il se mit à jouer avec en la serrant avec ses lèvres, il me rendait fou. Je le remontais à mon niveau et l'embrassais. Je sentais le goût de mon sperme dans sa bouche et pourtant ça ne me fit rien, je me sentais bien. Alors que je le serrais contre moi, mon envie de possession, le posséder lui, sentir son cul sur ma bite, était en train de me tarauder à nouveau. Je le couchais doucement sur le dos, par terre, tout en l'étreignant, relevais ses jambes pour les poser sur mes épaules, et saisissant ma queue je la frottais doucement contre sa rondelle

- J'ai envie de toi!

- Alors viens, prends-moi.

- T'es sûr ? Tu la veux vraiment en toi?

- Je ne saurais te dire depuis combien de temps je te voulais, prends moi!

La pensée fugace que je n'étais pas son premier me revint et d'un coup de reins, je rentrais ma queue, tout entière dans l'antre chaude de Simon.

- Alors tiens, prends là, et joue avec.

Simon tendit les bras pour saisir ma tête et l'attirer à lui, il me tendit ses lèvres, pendant que ma queue bien ancrée en lui lui labourait le cul bien chaud. Alors qu'il m'embrassait en jouant avec nos langues, je jouais avec les globes de ses fesses bien durs mais si tendres entre lesquelles je me sentais bien. Sa queue durcissait entre nos ventres, je me relevais doucement et la branlais. Je mouillais mon pouce et mon index et jouais avec sur son gland. Il gémit doucement, je perdis la tête et commençai à le pilonner une envie brusque et sourde de jouir en lui, afin de parachever ma domination. Une vague de chaleur me submergeait. Doucement je m'oubliais en venant et allant en lui. Je voulais le voir jouir à nouveau sur moi. Je sortis de lui, assis sur le banc, avec juste le haut du dos, collé au mur.

— Je veux te prendre de face, je veux te voir jouir.

Simon glissa ses jambes derrière mon dos en enserrant mon bassin entre elles, et s'assit doucement sur ma queue. Il prit sa bite entre ses mains et commença à se branler tout en jouant avec ses muqueuses sur mon sexe brûlant en lui, cette caresse me rendit fou. Je glissais ma main sous ses fesses et doucement, le soulevais avant de le relâcher pour mieux sentir ce massage qu'il me prodiguait,

--Quentt1 26 juillet 2010 à 11:33 (EDT)


Du bout des doigts je pouvais sentir ma queue qui s'introduisait encore et encore en lui, je pouvais toucher la peau douce de sa rosette, sentir ses plis. J'approchais davantage de ma queue et glissais un doigt à côté de mon membre ce qui m'enserra davantage la hampe.

— Oh oui ! Fais moi l'amour Chris.

Il s'est collé à moi, torse contre torse. Je pouvais sentir la musculature de ses pecs sur les miens, celle de ses abdominaux sur mon ventre, sa queue palpiter sur ma peau. Il a plaqué ses lèvres sur les miennes pour m'embrasser avec force. Je devenais fou de désir pour cet homme, je sentais que j'étais prêt à me perdre en lui. Sa langue fouillait ma bouche. Il ne me fallut pas longtemps pour jouir en lui. Quant à lui, il éjacula sur mon ventre. Nous sommes restés là à nous regarder. Je découvrais leur couleur. La blancheur de sa peau s'harmonisait parfaitement avec le bleu de ses yeux. J'ai passé ma main sur son visage découvrant le contact subtil de sa barbe rasée du matin sous ma paume. J'ai déposé mes lèvres sur les siennes dans un baiser chaste.

— Il faudrait que nous nous lavions...

Nous nous sommes séparés pour prendre chacun notre douche. Tandis que l'eau glissait sur ma peau, je repensais à ces instants passés ensemble. Ils avaient un goût amer que je n'étais pas capable d'expliquer. Était-ce de la honte ? Était-ce de la peur de ne plus lui faire l'amour ? Était-ce de la tristesse que ce moment soit terminé ? Alors que je me tournai pour aller m'habiller, je découvris que Simon avait disparu. Un sentiment de tristesse m'envahit.

La nuit suivante fut mouvementé, je n'ai pas pu dormir. Les visages de Stacy et de Simon s'entrecroisaient. Dès que je m'endormais, je rêvais aux formes de ma petite amie, et alors que je commençais à la caresser je découvrais la peau de Simon sous mes doigts, lui me chuchotant combien il aimait ça. Invariablement je me réveillais en sueur, la queue raide.

--Gordon 27 juillet 2010 à 07:54 (EDT)


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