Soirée privée
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Texte d'archive:
Date de publication/archivage: 2018-02-15 Auteur: Kriss |
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Kriss est un joli travesti complaisant à qui est arrivée une belle surprise. Il n’attend que de recommencer.
L’histoire que je vais vous raconter s’est passée il y a quelques mois. Faisant des spectacles de transformiste, depuis quelques années, je suis quelques fois sollicité pour animer des soirées chez des particuliers, c’est ce qui s’est passé ce soir-là. Invité dans une superbe maison avec piscine, par un homme de loi, ne sachant pas si cette soirée était réservée à une certaine catégorie de gens, quelle ne fut pas ma surprise !
J’arrive en fin d’après-midi, accueilli par un homme de trente-cinq ans, pas mal du tout. Courtoisie, politesse, rien à redire sur l’accueil. Je m’installe et me prépare pour mon spectacle, que je donne en solitaire.
Vers 21 heures, le maître des lieux vient me chercher pour dîner en compagnie de tous les invités, et étant pour eux, une amie invitée. C’est dans un fourreau noir à paillettes que j’arrive à table. Là, surprise ! Que de beaux mâles, âgés entre vingt et trente-cinq ans, ils sont une vingtaine.
Dîner savoureux, copieux, en m’excusant poliment, je sors de table pour me préparer. J’ignore si tous ces beaux mecs savent que je ne suis qu’un travesti (non hormoné). Je fais donc six numéros assez sexy, ce qui ne déplaît pas à ce joli public.
Après le spectacle, tout le monde sait que sous mes dessous sexy se cache un minet assez pervers au niveau sexe. Étant resté en string, porte-jarretelles, boléro noir, j’accepte un verre offert par un Italien viril. Très vite, d’autres admirateurs se joignent à nous, et là, des mains baladeuses, des bouches gourmandes, s’activent sur mon corps, mes lèvres. L’envie de succomber à ces étalons s’empare de moi et ma bouche accueille une superbe bite, bien longue, et bien épaisse qui va et vient entre mes lèvres.
Peu de temps suffit pour que tout le monde se retrouve nu. C’est une orgie des plus diaboliques. Je n’ai pas un seul instant la bouche vide, les bites se disputent la place, et également mon cul s’ouvre sous la pression des tiges bien raides et lubrifiées. La vraie salope que je suis ! Je suis bourré par les deux côtés. Plus j’en ai et plus j’en redemande. Je sens le sperme couler le long de mes cuisses. Une fois qu’un étalon a honoré ma rondelle en déversant sa liqueur au plus profond de mes entrailles, sa bite revient dans ma bouche pour me faire apprécier ce si bon jus d’homme.
À un moment, je sens que l’on se bouscule au niveau de mon cul. D’une main, je sens que ce n’est plus une seule bite qui me pistonne, mais deux. Là, le harem de mecs n’en revient pas. De longues discutions suivent, et d’un accord commun je dis oui pour : “Maintenant, Kriss le travelo accepte d'être baisé par deux bites en même temps, tout en suçant une troisième.” Puis le maître des lieux me dit : “D’accord', ma salope ! Je vois que tu es complète, beau spectacle, très professionnel ! Cul bien large et très chaud ! Bouche exquise ! Je ne regrette pas de t’avoir demandé de venir ce soir !”
Vers cinq heures du matin, je n’ai plus que courbatures et suis couvert de foutre. Les vingt étalons m’ont honoré de leur queue, et c’est dans ce délire sexuel que je me suis endormi. Au petit matin, nous avons remis ça et cela a duré pendant deux jours. En principe, une deuxième soirée comme celle-là devrait être proposée, et je suis de nouveau de la partie.
Si des hommes libérés sexuellement, n’ayant pas plus de trente-cinq ans, veulent offrir à des amis une soirée comme celle-là, je serai ravi de faire partie de la fête. En attendant, je me repose et prends des forces pour d’autres soirées comme celle-là.
Kriss. (65).