Toujours plein les fesses

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Numéro 42

Texte d'archive:


Archivé de: Lettres Gay – Numéro 42
Date de parution originale: Août 1990

Date de publication/archivage: 2021-02-24

Auteur: Jean
Titre: Toujours plein les fesses
Rubrique: Les hétéros s'emmêlent

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Bonjour! J’ai quarante-trois ans, je suis marié, mais j’adore votre revue. Les beaux corps d’hommes, les belles queues m’attirent depuis mon plus jeune âge. J’aime me branler, me caresser, être branlé et caressé. Ma femme sait, et elle déplore souvent qu’il lui manque une queue. Elle aime se faire branler comme un homme, ma bite serrée entre ses cuisses et, quand elle sent que je vais jouir, elle se retourne pour que je lui décharge dans le cul.

Mais bien sûr, la meilleure manière d’être branlé, c’est avec les hommes que je l’ai expertisée. Je n’aime pas sucer ni être sucé. Quand j’ai envie d’un homme, je drague dans des endroits forestiers particulièrement connus. Je m’appuie le long de ma voiture et, une main dans mon slip, je fais comprendre mes intentions. Je trouve à tous les coups. Nous nous éloignons dans des endroits touffus à l’abri des regards et, très vite, nous commençons nos branlettes manuelles. Rapidement, mes deux mains sont occupées, une devant, l’autre derrière. Mon partenaire en fait autant et bien vite, nos deux corps s’unissent, queues contre queues, chacune entre les cuisses de l’autre. Nos deux mains libres sont plaquées contre les fesses de l'autre et bien souvent, on se branle ainsi jusqu’à l’éjaculation.

Il arrive aussi, si mon partenaire est préservé, que je veuille sa bite au cul. Là je me tourne, je lui guide la queue entre mes fesses et il fait le reste. De mon côté, j’aime terminer par une enculade, mais bien souvent, je suis tellement excité par notre branlette que le contact de ses fesses me suffit et je décharge dans sa raie. Quelle que soit la fin, je jouis d’une manière incroyable et mes partenaires en prennent toujours plein les fesses.

L’été, il m’est arrivé quelquefois de tomber sur un partenaire entièrement passif. Je me branle devant lui, il s’allonge sur le ventre, dans l’herbe sèche, et je le saute. En règle générale, son cul est bien ouvert et il me suffit de pousser un peu pour être entièrement en lui. Mais ce que je préfère, c’est une bonne branle avant et le cul après. Merci à votre publication et vivent les jeunes gays!

Jean, 43 ans.