Tringlé à sec par un V.R.P.

Drapeau-fr.svg Lettres Gay

LG131.jpg


Numéro 131

Texte d'archive:


Archivé de: Lettres Gay – Numéro 131
Date de parution originale: Août-Septembre 2004

Date de publication/archivage: 2018-01-07

Auteur: Jérémy
Titre: Tringlé à sec par un V.R.P.
Rubrique: Sexe, risque & aventures

Note: Le magazine Lettres Gay ayant disparu, nous archivons sur Gai-Éros des textes y ayant été publiés au fil des ans, à titre d'archive, notre but premier étant que la littérature homo-érotique se préserve au fil du temps. Si vous êtes l'auteur de ce texte ou si vous détenez des droits légaux sur ce texte, veuillez communiquer avec nous sans délais.

Ce texte a été lu 5045 fois depuis sa publication (* ou depuis juin 2013 si le texte a été publié antérieurement)


Un short serré qui moule bien mon petit cul toujours en chaleur, un débardeur, un sac léger... Rien de plus, et me voilà sur le bord de la route, le pouce tendu ! Direction : la Camargue où des potes m’avaient proposé de les rejoindre pour passer quelques jours de vacances avec eux dans la région de Salin-de-Giraud.

J’ai fait ça en trois étapes. Tout d’abord, Apt d’où je suis originaire, jusqu’à Avignon. Puis, d’Avignon à Arles, j’ai été pris par un jeune couple. Et enfin, j’ai fait le trajet Arles-Salin dans un vieux camping-car occupé par des babas-cool allemands.

Mais entre Apt et Avignon, je me suis fait délicieusement enculer par le type qui venait de me prendre en stop. Un V.R.P qui avait dépassé la quarantaine et qui savait divinement bien se servir de sa queue. Elle n’était pas très grosse, autour de 18 centimètres, mais elle m’a fait hurler de plaisir. Je connais peu de mecs capables de tenir une bonne demi-heure dans un cul en le limant à fond, à grands coups de reins et bien en profondeur. Ce fut le cas. Le type était lyonnais. Il allait sur Avignon pour son job. C’était le genre costard cravate. Pas du tout le style que je recherche habituellement pour me faire éclater la rondelle.

Ça faisait presque une heure que je poireautais sur le bitume avec mon pouce levé quand il m’a pris. J’ai pas le look vraiment pédale mais ça devait être à cause de mon short hyper moulant... Toujours est-il que le type s’est mis à me draguer d’emblée. Il s'appelle Marc, il bosse dans les appareils de climatisation, il a plutôt une belle gueule et je le sens assez excité. Au bout de quelques minutes, je pige que ça lui dirait un max de me déballer sa tige pour se la faire pomper. Et, pourquoi pas, de me la mettre aussi autre part qu’entre les lèvres...

Je le pompe doucement en lui tripotant les burnes...

À partir de là, tout s’enchaîne très vite. Je ne suis pas contre une petite halte pour me faire ramoner l'entre-fesses. Marc quitte la départementale et s’engage sur un chemin de terre qui longe la Sorgue. Il roule quelques minutes et se gare sous une rangée de peupliers. L’endroit est désert. On sort de la voiture et Marc prend tout de suite une attitude autoritaire. Il m’ordonne de sortir moi-même sa tige. J’ouvre les boutons de sa braguette et je libère sa queue, longue et épaisse avec de grosses veines gonflées. Il bande déjà. Je déballe aussi ses couilles qui sont grosses et très poilues.

Le V.R.P. attrape autoritairement ma nuque et m’oblige à approcher ma bouche de son zob. Je lèche d'abord ses couilles puis fais glisser ma langue sur sa bite tout en respirant les odeurs de son gland. Je le mouille bien de salive et je finis par enfourner sa teub. Je le pompe doucement en lui tripotant les burnes et en m’efforçant de l’avaler le plus loin possible. Pendant ce temps, Marc ne se prive pas de m’insulter, de me traiter de pute et de chienne et moi, je continue de m’activer docilement sur son pieu. Il défait sa cravate puis il retire sa chemise.

À présent, il est torse nu. Je me redresse et je lui colle un palot. Puis, je lèche tour à tour ses deux tétons et je les suce pendant que ma main astique sa pine. Nous nous écartons un peu de la voiture et cette fois, pour être plus à l’aise, on se fout complètement à poil, lui et moi. Marc s’allonge dans l’herbe et me fait venir en 69 sur lui. Je reprends sa bite dans ma bouche pendant qu’il palpe mes fesses. Il les écarte, me donne quelques coups de langue sur la rosette et lorsque je suis lubrifié de salive, il me fourrage avec ses doigts. Un premier, un second, un troisième... Ce mec est un véritable spécialiste dans l’art de dilater un trou du cul. Je suis prêt à être enculé et c’est moi le supplie de me baiser. Je reste en levrette et Marc s’agenouille derrière moi. Je sens enfin son gland forcer mon trou. Il s’enfonce par à coups, marquant des petits temps d’arrêt avant de s’introduire plus en avant. Je suis en train de prendre un super pied avec sa bite qui me remplit le cul. Marc me plante sa tige jusqu’à la garde et commence à aller et venir. Je creuse mes reins et je cambre bien mes fesses. Son chibre me transperce. Il continue et me donne l’impression de pouvoir me tringler ainsi durant des heures. Évidemment, je suis aux anges avec ce piston infatigable qui me fourre le fion. Je glisse une main entre mes cuisses et j’empoigne les couilles de Marc. Cela le rend encore plus violent et plus brutal avec moi. Je suis en nage!

Enfin, quand je sens qu’il n’est plus très loin d’exploser, je saisis ma tige et je me branle. Dès qu’il jute, je me laisse aller, moi aussi. Nous jouissons ensemble, ce qui est fabuleux. Il m’a limé pendant plus d’une demi-heure. Quelques minutes plus tard, nous avons repris la route après nous être rafraîchis sans la Sorgue. Mes vacances commençaient vraiment bien!

Jérémy, 25 ans.