Un cousin timide (2)


Un cousin timide (2)
Texte paru le 2012-01-30 par CharlieBrown   Drapeau-fr.svg
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Template-Books.pngSérie : Un cousin timide

Ma mère était rentrée plus tôt… « On est là haut, maman. On finit notre partie et on descend ». Martin commença à paniquer. « T’inquiète, elle va pas monter. » Je voyais sa belle bite redescendre, à mon grand regret. Je renfilais mes fringues en vitesse. « Tu sais cousin, tes fringues, elles craignent. T’as des slips de grand-père, des fringues démodées. Je vais t’en passer. » Je fouillais ma commode et lui sortis un boxer DIM bien moulant et un tee-shirt à sa taille. Il mit le sous-vêtement qui lui faisait ressortir sa queue à merveille. Je lui flattais de la main. « On remet ça ce soir si t’es OK. » Il sourit. « D’accord. » Puis il mit le tee-shirt sur son corps musclé. Il allait remettre son vieux pull mais je lui dis que ça serait mieux sans.

On est descendu tout en papotant, comme si on se connaissait depuis des années. Mon cousin coincé et timide commençait à se lâcher. Nous avons rejoint ma mère qui a marqué un instant de surprise en voyant Martin avec mes fringues et surtout, nous voyant allonger plus de mots à la minute que depuis la veille. Lorsqu’il alla aux toilettes, ma mère me dit : « Mais tu lui as fait quoi à ton cousin ? Il parle ? » dit elle en souriant. « Ouais. On a joué à la Wii et comme tata n’a pas beaucoup d’argent, je lui ai passé certaines de mes fringues. » « Je pensais pas qu’il était aussi costaud, le Martin ! » « Ouais, moi non plus. Il m’a dit qu’il fait de la musculation. Ça se voyait pas avec ses fringues, hein ? » Ma mère me félicita d’avoir pensé à lui pour les vêtements. Elle me mit un billet de 50 euros dans la main en me proposant d’aller avec lui en acheter.

Nous nous empressâmes de mettre nos gros manteaux et d’aller traîner en ville. Je demandais à Martin ce qu’il avait envie de s’acheter. Il ne savait pas trop car sa mère ne lui en achetait que rarement. « Si tu me permets, avec ce que j’ai vu tout à l’heure, il faut que tu mettes en valeur ton boule et ton zob. On va prendre deux ou trois boxers bien sexy, un jean taille basse et une chemisette moulante. » « Tu crois ? » « Oui, fais-moi confiance. Tu vas pouvoir tomber la minette… et les minets, » dis-je en souriant. Nous fîmes les boutiques en nous amusant comme si on était potes depuis des années. Dire que la veille, je l’avais trouvé ringard, bidon, moche et même un peu con sur les bords. Encore timide malgré tout, je ne pus pas le voir essayer ses fringues dans le grand magasin où nous nous étions arrêtés. J’avais hâte d’être au soir.

Pendant le repas, mon père me fit aussi la remarque que Martin était devenu bien volubile en une journée. La soirée traînait. Je n’en pouvais plus d’attendre d’aller nous coucher. Vers minuit, mes parents allèrent se coucher, nous laissant dans le salon devant un match de basket. J’attendis d’être sûr que mes parents étaient dans leur chambre pour me coller à Martin. « T’as mis un des slips qu’on a acheté ? » « Non, j’ai toujours celui que tu m’as donné ce matin. » Je posais ma main sur sa braguette et commençais à descendre le zip. « Etienne ! Et si tes parents descendent ? » dit-il en reculant. « T’inquiète ! Ils doivent dormir… » « Oui, mais quand même… On n’a qu’à monter dans ta chambre… » « OK, OK. » J’avais bien senti sa bite tendue et il me confirma que lui aussi avait envie de ça en posant un baiser sur ma bouche. Je restais estomaqué deux secondes, le temps de le suivre.

Arrivé dans ma piaule, il enleva son tee-shirt, me faisant découvrir de nouveau son merveilleux corps, puis se jeta sur moi, me poussa sur le lit et m’embrassa dans un patin d’enfer. Il s’était positionné sur moi. Je sentais sa queue dure se frotter à la mienne aussi dure. Mes mains agrippaient son dos et je le caressais tout en l’embrassant. Lorsqu’il se releva sur les bras, toujours au dessus de moi, il dit : « J’ai envie de faire ça depuis ce matin, Etienne. » « Moi j’ai envie de ton corps tout entier, Martin, pas seulement ta bouche ! » Toujours allongé avec lui au-dessus de moi, comme s’il voulait faire des pompes, je dégrafe le bouton de son pantalon et baisse le zip. Puis je repousse le pantalon jusqu’à ses genoux. Le gourdin qui barre son boxer est dur comme du béton. Je passe ma main dessus et soupèse ses burnes. Il me regarde en souriant. Mes caresses se font plus pressantes. Je le masturbe doucement à travers le tissu. « Enlève-le, » me dit-il. Je fais glisser le boxer et sa grosse bite vient se plaquer ses sur superbes abdos. Je redécouvre sa belle toison rousse, bien fournie. Ses deux burnes, tels de gros abricots, pendent au dessous. Il s’avance afin que sa queue puisse pénétrer dans ma bouche. Je suis un peu surpris car on est allé de la timidité du matin à la proposition d’un pompier en règle.

Je commence alors d’abord par lécher ses burnes légèrement velues. Mes mains caressent son cul que je n’ai pas encore vu. Je sentais également une toison fine sur deux beaux globes bien ronds. Alors que ma bouche commençait à enfourner pour la première fois une bite, je glissais un doigt dans la raie déjà velue de Martin. Il avait d’abord « posé » son gland large sur mes lèvres. Je donnais des petits coups de langue qui eurent pour effet de le faire frissonner. Puis il enfonça les trois quarts de sa belle queue dans ma gorge. Martin, d’abord maladroit — tout comme moi… — commença à onduler son bassin pour faire coulisser sa bite dans ma bouche. Je m’appliquais à le pomper et plus le temps passait, mieux c’était. Son souffle saccadé me prouvait que je lui donnais du plaisir. Je tentais une première fois de la faire entrer en entier, mais sans résultat. J’attrapais alors ses fesses, les tenant fermement, et j’accompagnais ses mouvements de hanche en le poussant. Je sentis ses burnes cogner mon menton. Nous y étions ! « Oh oui… C’est bon, Etienne. Tu suces bien. C’est bon… » Ça allait de plus en plus vite. Je sentais ma bite droite comme un I dans mon slibard. Pour faire jouir Martin encore plus vite, je glissais un doigt dans son anus et accompagnait le mouvement. « Oh oui, Etienne ! C’est bon. Suce-moi. C’est bon…. Je vais jouir, Etienne, je vais jouir… » Mais je ne lâchais rien et il éjacula comme un malade dans ma bouche en poussant de petits cris.

Il se recula, surpris de ma réaction. J’avais la bouche gonflée de son sperme. J’attrapais un gobelet vide et crachais son jus dedans. Je souris. « C’était comment, alors ? » Il rougit un peu. « C’était super bien. Je pensais pas qu’on pouvait jouir comme ça. » « Et si on changeait de place ? » Il s’allongea sur le lit et je descendis mon boxer. Ma queue raide (environ 16 centimètres) se présenta à ses lèvres. Je voulais prendre mon pied comme lui, alors je fermai les yeux et le laissait faire. Il commença par humidifier mon gland avec sa langue. Je ressentis un choc électrique au contact de sa bouche. Je n’avais encore jamais ressenti ça comme sensation. Quand il engloutit le reste de ma queue, c’était sublime ! J’accompagnais sa pipe de coups de reins. Il caressa en même temps mes burnes.

Le mouvement s’accéléra au bout de 5 minutes et Martin se mit alors à me caresser les fesses et la raie. Je sentis le plaisir arriver à grands pas. « Martin ! Martin ! C’est trop bon ! Je sens que je vais jouir. Putain ! C’est trop fort ! Putain ! C’est bonnnnnnnn… Ahhhhhhhhhh ! » Et ma sauce jaillit de ma queue et lui emplit également la bouche. Je n’en pouvais plus, alors je m’allongeais à côté de lui, essoufflé. « Alors, cousin ? T’as aimé ? » « Putain ! Oui, trop fort ! » « C’est la première fois que tu fais ça ? » me demanda Martin. « Ouais. Toi aussi ? » « Ouais. Je me suis déjà branlé des centaines de fois, mais là, c’était largement mieux ! » « On dort, maintenant ? » « OK, cousin. » Et il déposa un baiser furtif sur ma bouche. Contrairement à la veille, il ne mit pas son pyjama de « vieux », mais remit son boxer et resta torse nu, tout comme moi.

Le lendemain matin, c’est ma mère qui nous réveilla en nous appelant : « Les garçons, debout ! Il est déjà 11h00 ! » J’ouvrais les yeux. Martin dormait encore, les draps rejetés sur ses pieds. Je vis sa gaule du matin dans son boxer et posais ma main dessus. « Cousin ! Réveille-toi ! Ma mère nous appelle. » Il s’étira, me laissant découvrir de nouveau ses aisselles poilues et rousses. « J’ai super bien dormi. Et tu peux laisser ta main deux minutes, si tu veux ! » Je souris et commençai à masser sa belle bite à travers le tissu du boxer. « T’as bien changé en deux jours, Martin ! Hier matin, tu dormais en pyjama et là, t’es à moitié à poil et tu te laisses masser la queue. » « C’est grâce à toi, cousin ! Et toi aussi t’as la gaule du matin ! » dit-il en touchant mon sexe raide.

« Allez ! On descend ! Ça te dirait d’aller à la piscine cet après-midi ? » « Oui, pourquoi pas. Mais faudra que tu me passes un maillot de bain » « Pas de soucis. » Nous enfilâmes pantalon et tee-shirt. Ma mère nous attendait en bas. « C’est pas trop tôt ! Bien dormi ? » « Oui, tata, » dit Martin. « Vous allez faire quoi aujourd’hui ? Parce qu’il faut que j’aille au boulot à 14h00. » « On avait prévu d’aller à la piscine, M’man. » « Très bien. » La matinée fut du coup très rapide. Vers 13h30, ma mère nous emmena en voiture à la piscine. Arrivés là bas, direction les vestiaires communs. Martin recommença à faire son timide en tentant de se changer avec la serviette autour de la taille. « Fais pas chier, Martin ! Fous-toi à poil et change toi ! » J’étais déjà nu, la queue et les fesses à l’air, en train d’enfiler un caleçon de bain. Il rit et fit de même. Je lui avais prêté un boxer de bain qui moulait bien ses couilles. Je remarquais un beur de notre âge qui se changeait également et matait Martin sans trop de discrétion. Vu que c’était les vacances, y’avait plein de mômes et d’ados. La piscine où je vais, y’a des toboggans, des vagues, un peu comme Aquaboulevard. On faisait souvent la queue pour passer aux toboggans et à chaque fois que Martin était devant moi, j’en profitais pour poser discrètement ma main sur ses belles petites fesses. À chaque fois, il se retournait en me chuchotant d’être discret. Mais je voyais bien que ça le faisait bander. À un moment, le rebeu du vestiaire s’est retrouvé entre lui et moi. Ne m’ayant pas vu derrière lui, je vis qu’il détaillait encore plus Martin que tout à l’heure et qu’il en avait une bien raide dans son short de bain blanc. Il n’arrêtait pas en plus de se la toucher.

À un moment, Martin me dit qu’il va aux toilettes et que ça risque d’être un peu long. Je vois le beur assis, seul, dans le jacuzzi. Je le rejoins. J’attends une minute en le détaillant discrètement : muscles secs, belle gueule, peu poilu. Et je lui dis : « Il te plaît, mon cousin ? » Il me regarde surpris. « De quoi tu causes, mec ? Tu crois que je suis une pédale ? » « Je te parle du rouquin mignon. » Il sourit. « C’est ton cousin ? » « Ouais. Il s’appelle Martin. Moi c’est Etienne. Et toi ? » « Fawzi. » « Alors, il te plaît ? Je t’ai vu bander et te toucher chaque fois que tu le matais dans les escaliers du toboggan. » Je le vois rougir. « Il a un beau boule, ton cousin ! » Je me rapproche de lui. « Et le tien, il est comment ? » Je pose, sous l’eau, ma main sur l’avant de son short de bain. Il bande comme un taureau. « Bien poilu, contrairement au reste de mon corps. Et comme tu peux le sentir, je suis bien monté. » « C’est que t’as pas encore vu Martin bander alors ! » Tout en parlant, je lui caresse la bite. « Arrête ! Je vais juter dans le jacuzzi sinon… » « Ça te tente de faire des choses avec nous ? » Il hésite un peu. « Chez moi ? C’est possible pour vous ? » « Ouais, on doit rentrer qu’à 19h00. T’es seul chez toi ? » « Mes vieux bossent. Dans vingt minutes ? » Il me file l’adresse, se lève (je peux voir qu’effectivement il a l’air bien monté) et va vers les vestiaires. Lorsque Martin revient, je lui explique le plan. Évidemment, toujours aussi timide, il hésite mais je n’ai pas de mal à la convaincre en lui roulant un patin d’enfer… « Laisse-moi faire, cousin. On va bien s’amuser… »



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