Un dominateur au lycée (01)
Texte paru le 2022-03-01 par Teen humain
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Je m’appelle Noah, j’ai 16 ans actuellement et je suis en première dans un petit lycée de campagne.
Laissez-moi me décrire avant tout. Je suis assez grand pour mon âge, cheveux mi-longs châtains, yeux Hazel (un mélange entre le vert et le marron), corps mince sans vraiment de muscles et plutôt imberbe de nature.
Et bien évidemment, je suis gay et qui dit campagnes, dit personne ne le sait, car tout le monde connaît tout le monde dans une ambiance familiale, mais très fermée.
Depuis que j’ai découvert mon homosexualité il y a un an, je traîne sur un site gay pour que je m’amuse avec des mecs et que je baise avec eux. Mais je ne trouve pas vraiment le plaisir que j’imaginais. Tous mes plans, enfin presque tous, étaient vraiment cool et j’ai pris mon pied, mais sans vraiment comprendre pourquoi, je m’ennuyais aussi face à cette répétition classique.
Un jour, le jour de ma rentrée en première, je me suis créé un compte où j’ai marqué comme envie « de découvrir des nouveautés et vivre une chose unique ». La première semaine, les résultats étaient horribles, tous les mecs se voyaient incroyables. J’ai failli supprimer mon profil tellement j’en avais marre.
Puis un jour, un jeudi normal, mon tél a vibré en cours indiquant que j’avais une nouvelle réponse. À la pause de midi, je suis parti dans des toilettes peu fréquentées du bahut pour répondre. C’est un mec de 31, se disant sportif, qui m’avait envoyé un message. Il se présentait comme un dominateur, il ne cherchait pas à faire un petit plan classique, mais explorer sans limites les plaisirs de la soumission. Ma bite s’est gonflée automatiquement. J’ai envoyé quelques photos que j’avais en réserve et j’ai envoyé mon vrai âge. Le mec a répondu par un rire avant de me bloquer.
Toute l’après-midi, j'ai stressé à mort. Et si c’était un piège ! Mais le mec avait disparu de l’appli et donc avait dû prendre peur face à mon âge, ce que je pouvais entendre. Ma journée se terminait par une heure de sport. On est tous partis au vestiaire se changer et j’en ai profité pour mater vite fait. Le prof de sport était un jeune homme d’une trentaine d’années, l’air très gentil, il avait un corps magnifiquement musclé. Bref je vous passe les bonjours et les explications du sport pour notre année à venir.
À la fin du cours, le prof m’a regardé et m’a demandé de ranger les affaires seul. J’étais un peu dégoûté, mais j’ai tout rangé seul, et ça m’a pris un certain temps. Une fois le travail fait, j’ai enfin pu aller aux vestiaires, mais tous les autres avaient fini. J’étais seul. J’ai commencé à enlever mon tee-shirt tout en pensant à ce beau prof. Et c’est là que ma vie a basculé.
Une main s’est posée violemment sur ma bouche et un bras m’a pris par le haut du corps pour me bloquer totalement.
« Chut, ta gueule salope, dit une voix que je connaissais »
Mon agresseur m’a jeté sur le banc. Avant même que je puisse réagir ou crier, il a enlevé ma chaussette qui a fourré dans ma bouche avant de me plaquer de dos contre le mur pour attacher mes bras aux barreaux en haut. C’ÉTAIT MON PROF DE SPORT ! Une fois que j’étais solidement attaché, il est parti fermer la porte à clé et s’est assis en face de moi. Il prit les deux côtés de mon survêtement qu’il enlève de force me laissant en caleçon.
« Mmmmm ! Mmmmm, dis-je à travers mon caleçon.
— En effet tu avais raison, jambes naturellement imberbes, j’adore ! Si j’avais su que je trouverais mon nouveau jouet avec mon élève, ah ah ! Et oui à ton avis, tu croyais pouvoir m’échapper sur le site !
— Mmmmmm ! Mmmmm !
— Ahahaha ! N’oublie pas que maintenant, tu es à moi. Tes photos où l’on voit ta tête sont chez moi et ce serait dommage que tout le monde les voie ! »
C’était donc lui ! Le dominateur sans limites du site et j’étais totalement coincé. Pourtant, même si je ne bandais pas, sûrement par la peur, je ressentais au fond de moi une petite expression de joie. Le prof prit mon sac et prit en photo tout ce qu’il pouvait donc mon emploi du temps pour faire de moi sa vraie chienne.
« Demain tu commences à 10 h, viens à 8 h au gymnase, on commencera une première séance ! »
Il me détache enfin avant de partir des vestiaires en rigolant, me laissant en calbut, une chaussette à la bouche, choqué des événements.
Le soir, en arrivant chez moi, j’ai reçu un texto de lui me disant de ne pas oublier demain et de l’enregistrer sous le nom de MAÎTRE. C’est officiel, je deviens son objet.