Une prof soumise (05)


Une prof soumise (05)
Texte paru le 2014-11-08 par Thumb   
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Malheureusement, je n’ai pas pu joindre l’auteur pour avoir son autorisation de traduction....


CHAPITRE 6

Lisa fut réveillée vers 8h30 par les gémissements de son enseignante gisant au sol près du lit. Elle se leva et trouva Mary couchée sur le sol, les bras et jambes entravés et écartés par les liens et les menottes. Ses yeux étaient rouges et son visage marqué par les larmes.

— Qu’est-ce qui ne va pas, Mrs C. ?

Mary leva les yeux et vit Lisa nue devant elle, c’était une très jolie jeune femme, la poitrine ronde et les cuisses fuselées.

— Je n’en peux plus Lisa. C’est trop pour moi, tout le monde pourra comprendre pourquoi j’ai fait ces photos.

— Bien Mrs C., alors regardons ces photos.

Elle se leva, prit son livre et l’ouvrit devant Mary.

— Maintenant, vous allez me dire, comment vous pourrez expliquer ces photos.

Elle lui mit sous le nez les photos de Mary en train de masturber, son sexe rasé, sur son visage se lisait la jouissance…

— Et celle-ci ?

Elle lui présenta les pires photos et Mary comprit qu’elle était vaincue et se mit à pleurer.

— Maintenant Mrs C., que pensez-vous pouvoir faire ?

— S’il te plaît Lisa, ne montre pas ces photos, je ferai tout ce que tu voudras.

— C’est bien, mais je constate que vous avez oublié les règles de respect que je vous avais données. Je crois qu’il va falloir vous rafraîchir la mémoire…

Lisa saisit la pauvre Mary et la mit en position, la tête contre la moquette et les fesses tendues en l’air.

— S’il vous plaît, Ms Simon, je suis désolée, je ne le referai plus.

— Je veux bien vous croire mais ne pensez vous pas que vous devez être punie ?

Mary ne savait que dire, elle voulait faire plaisir à son étudiante mais ne voulait pas être battue encore.

D’une toute petite voix, elle dit :

— Oui, Ms Simon.

— Bien, alors demandez-moi de battre vos fesses avec cette cravache afin de vous apprendre le respect.

— S’il vous plaît Ms Simon, battez mes fesses, je dois apprendre à vous respecter, pleurnicha la pauvre prof.

— Et combien de coups voulez vous, Mrs C. ?

— Un.

— Je pense que trois coups seraient plus appropriés mais comme vous avez dit, un cela fera quatre… Comptez chaque coup Mrs C.

Swap !

— Un, dit Mary.

— Deux, pleurnicha Mary.

— Trois, pleura la prof en larmes.

Ses fesses étaient en feu.

— S’il vous plaît Ms Simon, arrêtez.

— Quatre, cria presque Mary qui avait les fesses en feu.

Lisa retourna Mary, la mis assise. Elle plongea un doigt dans le sexe ouvert de Mary et le ressortit couvert de mouille…

— Qu’est-ce que c’est que cela Mrs C., vous aimez vous faire battre ?

Mary ne sut que répondre, elle était si honteuse. Lisa lui enleva ses liens et la remit debout.

— Maintenant Mrs C., pendant que je vais prendre une douche, je veux que vous alliez me faire le petit déjeuner avec des toasts. Vous ne vous touchez pas et vous mettez vos talons ! ordonna Lisa, en claquant les fesses rouges de Mary.

— Je voudrais aller aux toilettes, dit Mary.

— Allez me préparer mes toasts. Si vous êtes sage, je vous autoriserai peut-être à faire pipi, après.

Mary descendit à la cuisine et Lisa prit une longue douche et descendit à son tour, seulement vêtue d’un sweat shirt. En entrant dans la cuisine, elle trouva Mary, assise à table, en train de boire une tasse de café

— Qui vous a autorisée à vous asseoir ? Et qui vous a donné la permission de boire un café ?

Mary, sauta sur ses jambes.

— J’avais oublié, excusez-moi, Ms Simon.

— Jetez ce café et allongez-vous, les seins sur la table. Maintenant !

Smash !

— Écartez grand vos cuisses. Mary fit ce que Lisa lui ordonnait mais cette position, avec ses talons de 12 cm, lui faisait atrocement mal aux jambes.

— Maintenant, restez comme cela, pendant que je bois mon café et que je réfléchis à la façon de vous faire enfin comprendre… Je vous ai dit que vous deviez me demander ma permission en toute chose !

— Oui, Ms Simon, j’avais oublié, Ms Simon.

Lisa s’assit et bu tranquillement son café et mangea les toasts préparés.

Dans cette position, Mary commençait à avoir vraiment très mal, ses jambes la torturaient. Et sa vessie, son sexe ouvert, elle devait aller aux toilettes !

— Ms Simon, puis-je utiliser la salle de bain ?

— Du calme, je prends mon petit déjeuner, encore une marque de votre manque de respect. Vous osez m’interrompre pendant que je déjeune…

Mary essaya de se contrôler, de penser à autre chose… Lisa finit tranquillement son déjeuner et commença à marcher dans la cuisine. Flash ! Mary ferma les yeux en imaginant ce qu’elle montrait sur cette photo. Elle entendit Lisa ouvrir un tiroir. Smack ! La cuillère de bois s’abattit sur ses fesses. Mary sursauta et quitta sa position, pour protéger ses fesses.

— Remettez vos mains en place, Mrs C., vous devez apprendre à obéir et à être respectueuse.

Smack !

— Je suis désolée, Ms Simon.

Smack !

La correction continua encore cinq minutes.

— Voulez vous toujours utiliser les toilettes, Mrs C. ?

— Oui, je le veux, Ms Simon, répondit la pauvre prof en larmes, elle espérait ne pas manquer de respect à son élève. Lisa prit la laisse et l’accrocha au collier de sa prof. Elle se dirigea, vers la porte de derrière.

— Allons faire ce que me demande mon animal, va faire pipi…

Mary ne put croire qu’elle allait devoir uriner dans le jardin et devant son élève ! Lisa amena la prof écarlate au milieu de la pelouse et dit :

— Faites tout ce que vous avez à faire, c’est votre dernière possibilité avant que nous allions faire des courses.

— Ms Simon, je ne peux pas faire cela, dit Mary éperdue de honte.

Mais elle n’avait pas été aux toilettes depuis hier soir et aujourd’hui cela lui était interdit. Elle en avait désespérément besoin.

— Bien alors nous attendrons ce soir… Nous devons y aller.

— Attendez !

— Oui ?

— Je vais le faire.

— Eh bien allez y, nous n’avons pas toute la journée !

Lisa regrettait de n’avoir eu qu’une cuillère pour battre sa prof mais elle savait que les coups appliqués sur le sexe avaient encore plus donné envie à sa prof… Mary essaya d’être gracieuse, écarta les jambes et commença à uriner devant son élève… sur la pelouse, sa propre pelouse, devant son élève… Flash ! Ayant satisfait ses besoins, la prof humiliée mais soulagée dit :

— J’ai terminée, Ms Simon.

— Alors allons-,y, nous allons faire bon usage de votre carte de crédit, Mrs C.. Mais il va falloir vous habiller et la plupart de vos vêtements ont été mis à la décharge.

La tenant en laisse elle entraîna sa prof dans la maison.

— Prenez une douche et rejoignez-moi dans votre chambre et ne jouez pas avec votre chatte déjà bien humide !

Après une douche rapide, Mary rejoignit Lisa qu’elle trouva en jean et tee shirt.

— Asseyez-vous ici, Mrs C., nous allons nous occuper de vos cheveux et de votre maquillage.

Lisa la coiffa et la maquilla beaucoup, dans un style qui lui donnait l’air d’une putain. Se regardant dans la glace, Mary eut du mal à se reconnaître.

— Maintenant, nous allons vous habiller, Mrs C., mettez ceci ! dit Lisa, en lui jetant un porte jarretelle noire et des bas fumés.

— Puis je m’asseoir sur le lit. Ms Simon ? demanda Mary, craignant de se faire encore punir.

— Bien sûr. dit Lisa en la regardant mettre ses bas.

— Mettez vos talons ! Nous veillerons à vous en acheter d’autres.

Mary attacha ses bas et glissa ses pauvres pieds dans les hauts talons. Flash ! Se regardant dans la glace elle put se voir ainsi vêtue… L’image de la dépravation, de sa honte !

— Mrs C., puisque vous n’avez pas pu reprendre les ourlets de vos robes, il va falloir en trouver d’autres. Allons dans la chambre de Amy.

— Ms Simon, les affaires d’Amy sont bien trop petites pour moi.

— Je sais Msr C., vous portez des vêtements bien trop amples !

Lisa entraîna Mary dans la chambre de Amy et attrapa une petite jupe vraiment très courte qui arrivait à peine à hauteur de ses bas et un petit to qui moulait sa poitrine. Ses seins se dessinaient complément sous le tissu. Flash ! C’était une tenue de salope, de putain… Se regardant dans le miroir, Mary savait qu’elle allait devoir porter cette tenue infâme et perdre encore plus de sa dignité… Bien sûr, elle ne fut pas autorisée à mettre un slip ou un soutien-gorge. Mais au moins personne ne pourrait reconnaître la si digne Mrs C…. Lisa lui mit ses lunettes de soleil, elle n’était plus reconnaissable.

— Mettez votre collier dans votre sac à main Msr C., et allons-y.


CHAPITRE 7

Lisa entraîna sa prof ‘bien habillée’ dehors, devant tout ses voisins... Elle avait décidé d’aller faire des courses dans un centre commercial à vingt km de là, ainsi personne ne reconnaîtrait son animal. En arrivant sur le parking elle lui répéta que Mary devait marcher deux pas derrière elle et ne parler que si Lisa lui en donnait l’autorisation. Dès qu’elle commença à marcher sur le parking Mary comprit combien elle était en vue… Sa mini jupe ne cachait pas ses bas et sa poitrine dansait à chaque mouvement. Ses hauts talons lui donnaient une démarche qui donnait à ses fesses un air d’invite… Elle aurait voulu courir se cacher dans la voiture mais elle savait que Lisa ne l’y autoriserait pas. Avec toutes ces photos et surtout les dernières, elle devait lui obéir, lui appartenir. Leur premier arrêt fut dans la boutique de sous-vêtements Victoria Secret. Lisa choisit un juste au corps de deux tailles trop petit, ainsi que deux shorts en latex, également trop petits. Lisa dit à Mary d’aller se changer et de revenir lui montrer comment cela lui allait.

Mary se déshabilla et passa le juste au corps qui était vraiment trop serré et lui emprisonnait les fesses et le sexe… Son cul semblait vouloir déborder et le tissu rentrait dans son sexe rasé, la faisant souffrir. Elle passa un short en latex, trop petit également et ouvrit la porte, espérant voir Lisa. Mais celle-ci n’était pas là… elle était dans la boutique, occupée à regarder des soutiens-gorge. Elle fit signe à Lisa de venir la voir. Mais lorsque Lisa vit les signes elle lui dit de venir dans le magasin, se montrer… Lorsque Mary fut dans la pièce, Lisa lui ordonna de marcher, de tourner et demanda à la vendeuse comment elle trouvait cela ?

— Cela semble très inconfortable… dit la vendeuse.

— Elle aime porter ses vêtements ainsi ? N’est ce pas Msr C. ?

— Oui, Ms Simon, dit la prof le visage en feu.

— Bien, allez mettre vos bas et votre jupe et essayez ce caraco de dentelle.

La pauvre prof se précipita dans l’abri de la cabine, elle s’habilla et dut remettre ses hauts talons. Elle avait mis le top qui la rendait plus respectable mais cachait davantage sa poitrine. Elle dut revenir se présenter et tourner dans le magasin.

— Voilà qui lui va mieux, dit la vendeuse.

— Nous allons essayer un modèle une taille en dessous…

Le nouveau chemisier collait à sa poitrine, qu’il mettait bien en valeur… elle semblait presque nue.

— Maintenant cela est mieux, changez-vous et venez me rejoindre.

Mary rejoignit Lisa dans le rayon des soutiens-gorge.

— Quelle taille, faites-vous, Mrs C. ?

— 95 C, Ms Simon.

— Nous allons prendre celui là, dit Lisa en lui tendant un 90 B.

C’était un modèle seins nus… ampli formes, qui soutenait sa poitrine juste en se glissant sous les seins…. Le soutien-gorge, en relevant sa poitrine lui donnait encore plus de volume et ses tétons semblaient vouloir percer le tissu du chemisier... Lisa tendit aussi à son prof deux porte-jarretelles et des bas. La vendeuse dit que tout cela n’était pas à la bonne taille, ils étaient trop petits.

— Elle aime ce qui est très moulant, répondit Lisa à la place de sa prof, sa propriété maintenant.

Mary n’avait jamais dépensé autant d’argent pour elle et elle savait que cela ne faisait que commencer… Le magasin suivant était une enseigne très courue par les jeunes filles. Lisa fit essayer et acheter à Mary des jupes, des pulls, des chemisiers, tous très courts et une taille en dessous de la sienne. Mary en sortant avait dépensé 400$, ce qui pour une femme de son âge était énorme. En sortant, Mary était habillée comme une jeune fille... une jeune fille mais une prof…

— Ces tenues iront bien mieux avec votre nouvelle image et vous font paraître plus jeune, Mrs C.

Ces tenues sembleront ridicules portées pour aller à l’école mais ce n’était pas un motif de licenciement… Mary maintenant ployait sous le poids des paquets en marchant dans le hall. En passant devant le restaurant rapide Lisa décida qu’elle avait faim. Elle demanda à Mary de lui demander un sandwich poulet et des frites. Mary lui amena sa commande et Lisa lui ordonna de rester, elle resta debout devant elle, humiliée… les paquets dans les bras. Lisa prit du plaisir à manger et aussi de l’humiliation de sa prof…

— Si vous voulez manger, allez chercher, mais n’oubliez pas que vous devrez tremper…

Bien sûr, Mary n’avait pas faim mais pourquoi son sexe était-il si mouillé ? Lorsque Lisa eut finit de manger elles entrèrent dans un magasin de chaussures. Sa jupe aussi courte allait lui poser un probléme…

— Je peux vous aider ? dit le vendeur en regardant les jambes dévoilées de mary…

— Nous cherchons des hauts talons de 10, 15 cm avec des attaches aux chevilles.

— Quelle taille ?

— Quelle taille, Mrs C. ?

Le jeune homme alla dans la réserve et revint très vite, les bras chargés de boites. A genoux devant la prof, il commença les essayages. Mary ne pouvait pas garder les jambes serrées pendant les essayages. Elle fut obligée de marcher dans la boutique avec ses talons… les chaussures étaient soit trop hautes, soit trop petites… Et le pire de tout, c’est que son sexe était littéralement trempé.

— Vous n’auriez pas des talons plus hauts ?

Le vendeur fut heureux d’aller chercher d’autres modèles. Sa bite en érection se voyait beaucoup sous son pantalon…

— Vous vous rendez compte de l’effet que vous faites à ce pauvre jeune homme, Mrs C. ?

Mary aurait voulut crier.

— Oui, Ms Simon.

— Peut-être seriez vous heureuse de sucer son sexe, Mrs C. ?

— Non, Ms Simon.

— Mais vous me disiez que vous aimiez faire des pipes, non ?

— Oui, Ms Simon.

— Oui, mais peut-être que cela pourrait vous permettre de faire des économies…

— S’il vous plait, non, Ms Simon.

— Bien, nous verrons.

Le vendeur revint avec d’autres chaussures.

— Essayez-les à cette dame…

Le vendeur se mit à genoux devant Mary et fit en sorte qu’il voyait parfaitement l’absence de slip sur son sexe rasé.

— Marchez un peu, Mrs C.

— Mrs C., il semblerait que vous vous soyez assise sur quelque chose… dit Lisa d’un air innocent, en pointant du doigt une tache sur la jupe de Mary et une flaque sur la chaise…

Mary devint écarlate et ses jambes se mirent à trembler.

— Vous auriez quelque chose pour nettoyer cela ?

Pendant que le vendeur se précipitait dans la reserve, Lisa se tourna vers Mary.

— Laissez-vous faire, ne dites rien !

Il revint avec une cuvette et une éponge.

— Vous pourriez nous aider ?

Bien évidement, qu’il le voulait bien… Il profita de l’occasion pour bien regarder les jolies jambes de Mary et son intimité nue… Lisa se décida pour 10 paires de hauts talons… Il y en avait pour 400$...

Mary maintenant croulait sous les paquets, elle était courbée, sa jupe remontait sur ses fesses et la tâche sur sa jupe était très visible…

— Encore un arrêt avant le repas, Mrs C.

Elle quitta le parking et s’arrêta devant une boutique d’articles érotiques.

— Voici une liste d’achats que vous devez faire et n’hésitez pas à demander conseil au vendeur.

Mary lut la liste, elle ne connaissait pas la moitié des articles demandés.

Un gros plug anal, un jeu de pinces à seins avec des chaines, une paire de menottes pour les mains, une pour les chevilles, deux muselières dont une avec une balle, un fouet de cuir souple, des boules de geisha, un tube de lubrifiant et un godemiché à ceinture. Elle jeta un regard autour d’elle, il n’y avait que quatre autres voitures garées.

— Dépêchez vous, Mrs C. !

Mary sortit de la voiture et devint le centre d’intérêt de quatre jeunes hommes dans la boutique. Elle se dit qu’il valait mieux demander conseil, afin de ressortir le plus vite possible. Mary remarqua l’odeur de mouille qu’elle dégageait et la tache sur sa jupe. Une jupe si courte, sa poitrine presque nue en explosion… Mary tendit la liste au vendeur qui la parcourut en souriant.

— C’est pour vous tout cela ?

— On m’a ordonné de les acheter.

— Qui donc, votre mari ?

Mary, ne savait que dire…

— Un ami.

Il sortit de derrière la caisse, passa son bras autour de la taille de Mary et l’entraina dans le magasin. Il allait de rayon en rayon, ne manquant pas une occasion de la toucher. Mary se sentait horriblement gênée et quand enfin, elle eut payé plusieurs centaines de $, elle se dirigea vers la sortie :

— Reviens quand tu voudras, poupée… dit le vendeur en le regardant d’un air vicieux.

Elle posa les courses dans la voiture.

— Mettez le petit Plug anal et le lubrifiant dans votre sac.

Mary fit ce que son élève lui ordonnait.

— Bien, allons manger, j’ai faim. Nous mangeons Italien, dit Lisa en se garant devant une pizzeria.

— Je passe la commande.

— Oui, Ms Simon.

Elles s’assirent à une petite table, Lisa commanda des pâtes pour elle et une salade sans sauce et un morceau de pain pour Mary. Mary s’y attendait un peu, mais elle fut horrifiée par l’ordre de Lisa.

— Allez aux toilettes, prenez le lubrifiant et le petit plug et mettez-vous le dans les fesses. Mais bien au fond, il ne doit pas tomber !

Mary se leva et prit son sac.

— Laissez votre sac, ici, Mrs C. ne prenez que ce que je vous demande.

— Mais…

Mary, prit le Plug et le lubrifiant et dans sa main, et traversa la salle aussi vite que possible. Elle se précipita dans une stalle et repensa à sa situation. Elle avait été une respectable prof et maintenant elle était là dans un WC, habillée comme une prostituée et elle allait s’enfoncer un énorme Plug anal dans son cul vierge….

Elle ne put s’empêcher de pleurer….