Violé à 18 ans
|
Texte d'archive:
Date de publication/archivage: 2017-12-30 Auteur: Alan |
J’avais dix-huit ans, bien taillé et j’étais, paraît-il, un beau gars moustachu. Habillé d’un jean bien moulant et d’un tee-shirt laissant apparaître mes pectoraux bien développés, je sortais les samedis soir en boîte à une dizaine de kilomètres, car j’habitais la campagne.
Cette nuit-là, vers 2 heures, alors que j’avais bien dansé et que j’étais « en forme », je dus faire du stop pour rentrer. J’étais seul et il faisait chaud. Deux gars bien bâtis me chargèrent. Ils étaient un peu « éméchés » et de la région parisienne. Tout de suite, la conversation dévia sur le sexe, sur les envies des gars de mon âge, sur mes habitudes sexuelles. Comme ils étaient sympas, je répondais en riant à leurs questions. Soudain, tout bascula. Joël, le chauffeur, avait sorti son membre et le masturbait. Il me demanda si sa queue était belle, si j’en avais déjà touché et si j’aimais baiser. Un peu paniqué, je répondais que je n’appréciais pas la plaisanterie et leur demandai d’arrêter leur voiture pour continuer à pied.
Sitôt dit, sitôt fait. Le véhicule stoppa en sous-bois et avant d’avoir pu faire un geste, je me trouvai coincé sur le siège arrière entre les deux hommes dont le plus baraqué, Patrick, avait un rasoir à barbier à la main. Il me souriait cependant, voyant ma terreur soudaine, et me dit : « Tu sais que tu es pas mal ? Tu nous plais en tout cas, et on va te le prouver. Tu vas être gentil avec nous, sinon, un coup de lame sur la joue et fini le beau gosse ! Allez, vire tes fringues et vite ! » Faute de pouvoir faire autrement, je m’exécutai, mais gardais mon slip par pudeur.
Joël se précipita et me le descendit avec des paroles obscènes, m’écarta bien les jambes, palpa mon sexe qui n’était pas « fier » et commença par me masturber. Le rasoir frôlait ma joue, je ne pouvais faire aucun geste. « Regarde ce membre, Patrick, il est excité, le petit, on va se le faire ! » Durant une dizaine de minutes, je fus branlé, sucé, palpé par Joël, alors que Patrick se masturbait violemment.
Puis ils changèrent les rôles, Joël tenait le rasoir et Patrick découvrait mon intimité ; je dus lui offrir mes fesses, qu’il écarta et dont il apprécia la fermeté inviolée. À quatre pattes sur le siège, les jambes écartées, la tête relevée et touchant le rasoir, j’étais à leur merci. Patrick me masturbait tout en me léchant l’anus. Quand il jugea le moment opportun, je sentis son membre dur devenir de plus en plus fort et finalement parvenir à violer mon anneau. Je criais ma douleur, mais le membre s’enfonça au maximum. J’étais au bord du malaise tant la douleur était insupportable. Sa bite toute entière était en moi, raide comme de l’acier. « Tu es un enculé maintenant, me dit-il. Dis que tu aimes, sinon je te laboure à fond. » Fou de honte, je dus leur tenir ce langage alors que Patrick me limait avec soin. Il était super membré et sous un coup de boutoir plus appuyé, je lâchai mon sperme sans le vouloir en grandes saccades. « Il a craché sa semence, le petit gars, il apprécie, ironisa Joël, il aime la bite et il va en avoir ! »
C’est ainsi que Joël profita lui aussi de mon abandon. Il me sodomisa plus facilement car le foutre de Patrick lubrifiait l’étroit conduit. J’appris ce soir-là à sucer et branler les bites tendues et dus avaler leur semence, qui était abondante, lécher leurs couilles velues. Durant deux heures, à tout de rôle, ils prirent leur plaisir avec moi. Je n’étais plus qu’un pantin sans réaction.
Je crus mon martyr terminé quand ils se rhabillèrent et rangèrent le rasoir. Avec difficulté, je me mis à chercher mes vêtements, mais Patrick ne l’entendait pas ainsi et me dit : « Tu es quand même un mâle, va ! Et un gars c’est fait pour jouir, alors on veut te voir cracher une fois encore ! » À bout de force, je me laissai masturber docilement et éjaculai rapidement sous leurs commentaires vicieux.
J’arrivai chez moi à 5h30. Le jour se levait et commençait pour moi le début d’une période en état de choc. Je n’ai jamais parlé à personne de mon viol, car à la campagne, cela aurait fait sourire. Aujourd’hui, j’ai vingt-huit ans, trois enfants et une vie normale. J’ai oublié certaines images de cette aventure, mais reste marqué à jamais. Je n’ai plus jamais pratiqué la sodomisation de façon passive ou active, mais il reste tout de même un côté positif : lors de soirées entre échangistes, avec l’accord de mon épouse, je dois avouer que j’apprécie assez de pratiquer la fellation sur de beaux gars bien montés.
Alan, 28 ans.