Être ma soeur (02)
Texte paru le 2014-12-01 par Marc31

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Salope ?
Mais elle aussi, elle suce son copain et en plus elle n’aime pas le bon sperme !
Puis elle prit son copain par le bras et nous, me laissa avec les courses à ranger.
Les courses à ranger, bien sur je le fis mais cela brisa mon cœur. Maman avait acheté pour Chantal une jolie parure de dentelles, alors que moi, je ne pouvais porter que ses vieilles culottes de coton et un vieux soutien-gorge fatigué.
Comme je faisais un peu la tête maman discuta un peu avec moi, et je lui dis mon problème.
Elle avait de si jolies robes à la mode et moi, ses vieilles tenues, ses jupes que je portais avaient cinq ans de retard sur la mode ! Je ne sortais pas, mais quand même.
Maman compris ma peine et me promis que nous irions en courses demain.
— Aller en courses, mais…
— Mais quoi, l’ami de ta sœur n’a pas vu qui tu étais réellement, alors que crains-tu ? Et puis cela sera un test pour l’examen de ta sœur !
Comment lui dire que Jeff avait vu et de prés qui j’étais ? Alors j’acceptais, mais déjà un nouveau souci.
Ma sœur descendit et après avoir raccompagné Jeff, m’attira dans un coin.
- Alors ‘cousine’ tu te comportes comme une fille des rues, non seulement tu suces, tu avales, mais en plus tu te fais enculer !
Elle savait ! Mais elle aussi !
— Tu sais pour moi c’est normal, les filles doivent faire plaisir à leur ami, sans perdre leur virginité et tomber enceintes, pour nous cela est normal, mais toi ! J’ai bien envie de le dire à maman.
Le dire à maman ? J’imaginais déjà sa déception, elle commençait juste à aimer ‘sa petite fille’, tout allait s’écrouler sans parler de ma honte.
— Allons, ne fais pas cette tête là, cela peut rester notre secret, mais il faudra que tu sois très gentil avec moi, et pour commencer c’est toi qui laveras et qui essuieras.
Je ne pouvais rien dire, ni faire alors je baissais la tête et la remerciais de garder mon secret.
— Je vois que nous allons bien nous comprendre, et au fait je te laisse Jeff, un garçon qui encule un garçon ! Vous irez bien ensemble.
Notre vie changea à partir de ce jour, j’en faisais déjà beaucoup à la maison, mais désormais c’est moi qui faisais tout, même ranger la chambre de Chantal. Ranger sa chambre, j’avais enfin un prétexte pour ranger, fouiller dans ses tiroirs.
Qu’elle avait de jolies chose, des dentelles, même un porte-jarretelles et des bas ! Moi qui n’avais même pas de collants.
Garder mon secret, cela prit encore plus d’importance le lendemain, maman me dit de me faire belle, et m’amena en courses, nous fîmes les boutiques, et elle m’offrit ma première robe, mais pour faire une surprise à ma sœur, je servais juste de mannequin…
Le jour de l’examen arriva enfin, je me préparais avec soin, maman me maquilla comme ma sœur et je pénétrais dans la salle de cours.
Tout se passait pour le mieux, du moins jusqu’au moment où je sentis une présence derrière mon épaule, c’était le surveillant général.
— Mlle, enfin si je peux dire, terminez votre copie et venez dans mon bureau.
Je sentis la terre s’écrouler sous moi, il savait tout !
C’est tête basse que je pénétrais dans son bureau, il était avec la prof de français qui me regardait d’un air sévère.
— Vous êtes charmant et très crédible, et si je n’avais pas été surpris par une si bonne copie cela aurait pu passer, et je dois sévir.
— Mais Monsieur…
— Silence, au moins votre sœur aura une note correcte et notre école a bien besoin de remonter ses statistiques, mais je dois faire quelque chose. Vous méritez une punition, n’est-ce-pas ?
— Oui, Monsieur.
— Voilà ce que je vous propose, Mlle Sonnet va vous donner une fessée, à vous de choisir, une fessée, ou la police.
Je ne pus que me soumettre, et je me mis en position appuyé au bureau, Mlle Sonnet troussa ma jupe que je dus tenir, exposant mes fesses nues et me donna une fessée avec la grande règle en bois. Que cela faisait mal ! Et cela dura, mes fesses me brûlaient, j’étais en pleurs.
Cela cessa enfin, et je me redressais, mais que j’avais mal. Le surveillant me regardait d’un air sévère, mais je constatai qu’il se caressait les testicules. Le spectacle semblait l’avoir émoustillé.
— Eh bien, voila pour la première partie, mais vous devez constater que nous pourrions aller plus loin.
Il avait toujours sa main sur son sexe, qui distendait son pantalon, j’eus peur de comprendre.
— Bien sûr si vous étiez ‘Chantal’ cela serait une honte, mais Marc un travesti habillé en petite jupe courte doit accepter le rôle qu’il joue !
Il disait cela en se caressant et je compris le message, je me mis à genoux devant lui, et ouvris sa braguette, sa bite en érection jaillit littéralement du pantalon ; heureusement que j’avais depuis l’épisode avec Jef un peu d’expérience et je pris sa verge dans ma bouche.
Ma situation, la contrainte, je ne sais pas, mais j’étais au départ un peu écœuré, sa bite était grosse, bien plus que celle de Jeff.
Et puis l’odeur, cette verge en ma bouche et je me pris au jeu en essayant quand même de faire le plus vite possible, mais il était endurant et je dus inventer de nouvelles pratiques pour faire venir son plaisir.
Je la faisais coulisser dans ma bouche, je l’aspirais, faisais tourner ma langue autour de son gland en lui caressant les couilles. Il grognait de plaisir en me caressant la tête et soudain il éjacula, j’aurai voulut éviter le jet dans ma gorge, mais il me plaqua la tête et je dus avaler jusqu’à la dernière goutte.
— Bonne fille, tu connais bien ton travail nous sommes presque quitte.
Oh non, ‘Presque quitte’.
— Votre sœur Chantal, doit venir chercher ses résultats dans deux jours, je pense que c’est l’autre ‘Chantal’ qui viendra je me suis fait bien comprendre ?
Je baissais la tête et sortis. Maman m’attendais dans la voiture, et en voyant mon visage défait, elle s’inquiéta.
En rougissant je lui dis tout, mais elle ne se fâcha pas, bien au contraire. Arrivés à la maison, elle me prit dans ses bras et me serra tendrement.
— Allons ce n’est pas bien grave, nous ne pouvons que te remercier d’avoir fait tout ce qu’il fallait pour ta sœur, pour notre famille, je ne t’en veux pas bien au contraire, d’ailleurs va dans ta chambre, il y a une surprise.
J’étais soulagé et je courus dans ma chambre, là sur le lit il y avait la jolie robe bleue que nous avions acheté ensemble, une parure de dentelle, des collants noirs fins, une paire de talons hauts.
Je tremblais en passant mon premier soutien-gorge bien à moi, mon premier petit slip de dentelle, et cette robe, le tissu qui glissait contre mes jambes, contre le nylon des collants !
Lorsque j’apparus en haut des escaliers, Chantal et Maman, me dirent que j’étais belle et que pour me récompenser elles m’amenaient au restaurant.
Chantal ne put s’empêcher de me dire à l’oreille.
— Tu dois commencer à y prendre gout, j’espère que tu auras encore faim !
Oh oui, j’avais faim, mais elle avait raison, je prenais vraiment gout, j’attendais même avec impatience les jours suivants, en espérant tout de même que la fessée serait moins sévère !
C’est au cours de ce repas, que maman choisit mon nom de ‘fille’ Anny’. C’est vrai que cela faisait beaucoup de Chantal chez nous.
Maman me permit même de sortir le soir même promener après le repas. J’adorais ma nouvelle robe, qui dansait dans le vent. Tout était bien, il faisait bon sous la lune, mais Jeff était là dans le jardin…
Il était là juste devant moi, je ne pouvais l’éviter et puis en avais je envie ?
Oui, j’en avais envie, la séance dans le bureau du surveillant général, m’avait laissé un gout d’inachevé, j’avais honte mais j’aurais aimé qu’il me fasse l’amour.
Depuis que j’avais connu l’amour, mon petit cul en réclamait encore, bien que la bite du surveillant m’avait laissé une idée de sa dimension, j’aurais eu mal, mais n’était ce pas un mal merveilleux ?
Mais Jeff se comporta pour une fois en garçon gentil, une bise légère sur la bouche et il me proposa une balade au clair de lune.
Je fondis, c’était merveilleusement romantique. Il était fort et doux, il me tenait par la taille.
Enfin le début fut romantique, car bientôt nous arrivâmes à l’ombre des bosquets, il m’attira à lui et m’embrassa longuement, je ne me refusais pas, bien au contraire, j’aimais son baiser, ses main sur ma robe.
Sur mais aussi sous ma robe !
— Des collants, quelle drôle d’idée, fais comme ta sœur, le soir mets des bas, c’est bien plus pratique, je vais déchirer tes collants.
Chantal, mettait des bas le soir pour retrouver son amant ? Je devinais pourquoi, et je le sus aussi très vite. Les grosses mains de Jeff firent glisser mes collants (en les filant !) il mit sa grosse main sur ma verge qui grossit immédiatement.
— Elle est chaude la petite Anny…
Anny, comment connaissait-il mon nouveau nom ? Surement un coup de Chantal !
Je ne cherchais pas à comprendre, oui j’étais chaud et je posais ma main sur sa braguette, il avait déjà ouvert son pantalon, et je découvris sa jolie grosse bite en érection.
Que faire, sinon, mon devoir de ‘bonne fille’ et je tombais à genoux devant lui, mais je voulus faire durer son plaisir, je commençais par lécher sa tige, descendis des bourses jusqu’au gland qui commença à suinter un miel dont l’odeur m’enivra.
Je tombais dans le sexe et ma nouvelle passion pour les sexes d’hommes. Je commençais à avoir un peu d’habitude et je savais ce que les hommes semblaient aimer, j’ouvris grand les lèvres transformant ma bouche en un sexe ouvert dans lequel il faisait glisser sa bite, je resserrais juste les lèvres lorsque le gland passait et avec ma langue je tournais et l’aspirais.
Il me caressait la tête, disant que j’étais une ‘bonne fille’ et lorsque je le sentis se tendre et qu’il bloqua ma tête, je sus que j’allais avoir ma récompense, ma récompense de ‘bonne fille’. Je ne fus pas déçu, il éjacula longuement et en trois jets…
J’avais entendu parler ‘des gorges profondes’ et je mis les leçons en application son membre bien au fond j’avalais directement, enfin j’essayais car il y en avait tant.
Mais je ne perdis pas une goutte, je pensais à mon devoir, mais aussi je ne voulais pas salir ma belle robe neuve.
Je me relevais, me collais contre lui, heureux, heureuse ? il m’enlaça, glissa sa jolie bite entre mes cuisses et continua de se branler doucement.
J’aimais !
— Tu en aurais voulu plus peut être ?
— Oh oui, mais je sais que tu dois être fatigué, et puis je n’ai pas la permission de sortir tard.
— je t’attendrais samedi soir, je passerais te chercher, nous dirons que nous allons au cinéma.
En entrant à la maison, je fis vite pour ne pas que maman voit mon collant filé, je l’enlevais et je vis un billet glissé dans mon slip. Il était gentil, il savait que chez nous l’argent était rare, mais quand même 100 €, cela faisait beaucoup pour une paire de collants.
Mais je ne cherchais pas à comprendre, après tout, je n’avais pas beaucoup d’argent de poche et puis je l’avais bien ‘gagné’.
‘Bien gagné’, allons bon, qu’est ce que je disais là, c’était une attitude de putain… Mais après tout, j’aimais le sexe et je calmais ma conscience, en caressant le billet.
J’eus un peu de mal à m’endormir, je pensais à cette nouvelle vie, mon attitude, mais aussi sur la façon d’annoncer à maman qu’un garçon voulait m’inviter au cinéma.
Cela se passa bien mieux que je ne craignais, ce fut maman qui m’annonça que Jeff voulait m’inviter à sortir. Je pris un air paniqué, et lui dis que cela n’était pas possible !
— Allons, ne fais pas l’enfant, nous devons garder notre secret, pense à ta sœur et penses à nous toutes, il ne faut pas faire naître de soupçons, tu n’auras qu’à bien te tenir.
— Mais s’il veut m’embrasser ?
— Tu lui dis non, et tu ne le laisses surtout pas aller plus loin ! Bientôt tu pourras redevenir le petit Marc.
Redevenir le petit Marc ? je n’en avais pas envie, redevenir le garçon que maman n’aimait pas, ne plus être sa ‘petite chérie’ !
Chantal qui avait tout entendue, me prit à part.
— Alors tu fricotes avec Jeff, tu lui fais surement des choses sales ! Je t’ai confisqué le billet de cent, mais ne pleures pas, je t’ai laissé un collant. Et un conseil samedi soir, habilles toi mieux, ta robe bleue est belle, mais trop longue, les garçons adorent les jupes courtes ! Tu t’imagine rentrer à la maison la robe froissée, pleine de sperme ?
— Mon argent, tu es méchante ! Et puis je n’ai rien d’habillé qui soit court.
— Nous pouvons nous entendre, tu me donnes la moitié de ce qu’il te donne, je te prête ma mini en skaï et surtout je ne dis rien à maman, ‘vilaine fille’ !
Lorsque elle me laissa j’étais comme perdue, j’étais prise au piège, tout avait commencé pour la sauver et voilà comment elle me récompensait, en me faisant chanter ! Mais je ne pouvais rien faire, et puis la situation pouvait devenir intéressante, j’avais chaud aux fesses, je crois que j’étais devenue vraiment une ‘vilaine fille’ !
Le samedi soir, lorsque Jeff vint me chercher, maman lui fit naturellement les recommandations d’usage et Chantal me glissa de penser à enlever tout de suite mes collants, sa petite jupe me donnait un cul appétissant.
A peine dans sa voiture Jeff me dit que j’étais belle, sexy et que j’avais eu une bonne idée, le skaï se nettoie bien, surement une idée de ma sœur.
Une idée de ma sœur, c’est vrai que Chantal la mettait souvent pour sortir, je comprenais mieux maintenant.
Nous n’eûmes pas le temps d’arriver au cinéma, il gara la voiture et ouvrit sa braguette, tout en glissant sa main entre mes cuisses.
— Tu devrais enlever tes collants se serait dommage, ils sont jolis et puis cela sera plus pratique.
‘Plus pratique’, il en venait droit au but ! mais par contre l’aspect pratique en voiture, cela n’était pas évident, voir acrobatique, mais ce ne fut pas déplaisant de me poser sur sa bite, de la faire venir dans mon cul en feu, je pouvais mieux me diriger et avec ses mains, il la faisait coulisser dans mes fesses.
Cela ne lui déplut pas non plus car bientôt il éjacula, et je pus étant bien enfoncée sentir ses couilles collées contre mes fesses et son sperme qui s'écoulait en moi, tout au fond de mon ventre.
Merveilleux, si ce n’est le volant qui me rentrait dans le dos.
Il me proposa de marcher un peu.
— Ce n’est pas la peine de remettre ton slip, j’adore caresser tes fesses nues et toutes humides.
Effectivement il marchait en glissant un doigt dans mon cul, lorsqu’une voix retentit.
— Enfin te voilà Jeff, alors c’est elle ta salope ?
— Oui, le voilà, vous avez l’argent ?
L’argent ? Il voulait me vendre ! et puis qui c’était tout ces garçons, il y avait même deux hommes qui se caressaient la braguette ! je voulus m’enfuir, mais il me donna deux gifles, me coucha sur le capot de la voiture, retroussa ma jupe, exposant mes fesses et me donna une fessée violente, jusqu’à me faire pleurer.
Il me fit relever, essuya mes larmes.
— Allons, j’espère que tu as compris, tu vas être une ‘bonne petite fille’ tu obéis au Monsieur, tu n’as pas le choix, et puis tu aimes le fric et le cul, non ?
J’étais perdue, abandonnée, j’avais les fesses en feu, je ne pouvais qu’obéir et puis de voir toutes ces verges qui s’approchaient, je fondais littéralement.
Je commençais à les sucer les unes après les autres, je découvrais de nouveaux goûts, lorsque je sentis une, des bites qui s’enfonçaient dans mes fesses.
Ce fut une soirée d’éblouissement, je n’étais rien d’autre qu’une boule de jouissance, à peine le temps de décharger qu’un autre venait en moi, ma bouche dégoulinait de sperme.
Heureusement que la jupe était en skaï, je comprenais mieux !
Lorsqu’ils eurent finis avec moi, Jeff me raccompagna à la maison en me donnant 300 €.
— Tu as de la chance tout le monde dort chez toi, aller à la prochaine !
‘A la prochaine’? Il croyait vraiment que j’allais encore me donner à tous ces mecs ?
Mais dans ma main, ces billets, et dans ma tête le souvenir de toutes ces queues, il avait raison: "à la prochaine".
Mais bientôt j’allais devoir revoir le surveillant général et je ne croyais pas me tromper en devinant ce qu’il allait attendre de ‘Chantal’.
--marc/trany 10 septembre 2014 à 03:54 (EDT)