Chuck (05)


Traduction du texte original « Chuck »
Chuck (05)
Texte publié le 2018-11-11. Traduit et adapté par DOMY33380
Auteur original : Root 1
Cet auteur vous présente 9 texte(s) et/ou série(s) sur Gai-Éros.
Ce traducteur vous présente 9 texte(s) et/ou série(s) sur Gai-Éros.
Ce texte a été lu 3364 fois depuis sa publication (* ou depuis juin 2013 si le texte a été publié antérieurement)
Récit librement traduit (et complété) de l’anglais et publié sur Nifty par Root 1 sous le titre Chuck.
Chapitre 05 – Jimmy dépucèle Chuck
RÉCIT DE CHUCK
C'était l'un de ces matins qui vous donnait envie de rester au lit. La chambre c'était cool. Se lever et renoncer à la chaleur du lit, pas question ! Je n’avais pas envie de me lever, mais le débile qui me sert de frère, Jimmy en avait décidé autrement :
Jimmy : Hey Chuck, debout tu vas être en retard.
C’était Jay, mon dérangé de frère qui se tenait dans l’encadrement de la porte de ma chambre.
Jimmy : Tu ferais mieux de te lever sinon tu vas manquer l'école. Maman et papa vont me tuer si je ne t’oblige pas à te lever. Tu sais qu’ils m’ont confié ta surveillance.
Moi : Maman… Marmonnai-je en tirant les couvertures sur ma tête.
Je savais que ça ne m’avancerait à rien de rester sous les couvertures, mais j’y étais si bien. Jay (autre surnom de Jimmy) se jeta sur mon lit et tout en roulant sur le côté, il se mit à tirer mes draps en même temps.
Jimmy : Allez, lève-toi... Debout.
Moi : Allez Jay. Laisse-moi dormir encore un peu.
Je répondis en me retournant de face et lui montrant une érection matinale en train de poindre sous mon pyjama.
Moi : Je suppose que tu es content maintenant, hein ?
Jay : Dis-toi que si tu ne sors pas de ce nid douillet dans les cinq minutes qui suivent, afin de prendre ta douche, c’est moi qui vais te frotter et te laver comme cela n’a jamais été fait.
Ne réagissant pas, il saisit mon sexe si vite que je ne pouvais lui échapper.
Jay : Allons, petit frère, bouge-toi sinon, je vais vraiment le branler.
Sa main froide a tiré doucement et fait deux mouvements de va-et-vient avant de lâcher ma bite. Il s'est retourné et est parti se doucher.
Nous étions devenus plus proches que jamais depuis le soir où, il y a plusieurs semaines, je l'avais surpris le pantalon baissé, regardant le film Blue Lagoon et jouant avec son sexe. Ce soir-là, nous avons fini par nous branler mutuellement. Ensuite, nous sommes allés dans la chambre de Jay. Nous avons parlé pendant des heures, et je lui ai ouvert mon cœur, lui parlant de Bob et de ce qui s’était passé entre nous. Jay a fait de même et m’a même dit qu’un soir, il m’avait regardé dormir une nuit et avait fantasmé sur moi. J’en ai profité pour lui parler d’Allan qui secrètement me surveillait. Je lui ai dit que j’avais ainsi, créé de véritables "spectacles privés". Ce soir-là, Jay et moi, nous nous sommes rapprochés et une deuxième fois, nous avons joui.
Lorsque mes parents nous ont laissés seuls la semaine dernière, ils ont chargé Jay de s’occuper de moi. Depuis ce jour, il avait l'air de prendre ça très au sérieux. Je me suis donc décidé à me lever pour aller me laver. Sur le chemin, j’ai fait tomber le haut et le bas de mon pyjama. En m’approchant de la salle de bain, je pouvais entendre la douche qui coulait déjà dans la salle de bain que je partageais avec Jimmy. Jay se tenait sous l'eau, frottant ses bras et sa poitrine.
Moi : Déplace-toi, grand frère. Tu m'as promis un super gommage.
Jay : Eh bien, amène ton cul, jusqu’ici. A-t-il répondu, se déplaçant pour me faire de la place sous le jet d'eau.
Je me suis approché et prenant un morceau de savon, j'ai commencé à m’occuper de son dos. Il tendit alors ses mains, qu’il mit chacune sur mes hanches et me tira délicatement près de lui, toujours de dos. Ensuite, de son dos, j'ai déplacé mes mains sous ses bras et autour de sa poitrine. Je me suis frotté les mamelons dans un mouvement circulaire, les sentant réellement durcir. Mon frère a fait un petit pas et s'est retourné. En face de moi, il a pris mes boules dans ses mains afin de tendre la bite. J’ai été un peu surpris.
Jay : Crois-moi Chuck, je ne te ferai jamais de mal. A-t-il dit.
Ses mains savonneuses sont passées sur mes hanches et ensuite, il est descendu vers mon cul. Ses doigts sont descendus, tout doucement, le long de ma fente se trouvant entre mes fesses, pour finir par s’arrêter lorsqu’ils ont trouvé mon trou tendre. Je l'ai regardé dans les yeux lui faisant entièrement confiance. Un doigt avait commencé à caresser mon ouverture plissée. Je me suis mis à frissonner de plaisir. C’est alors qu’il s'arrêta pour me tourner doucement fin que je me décolle maintenant de lui.
Sa main s’est glissée entre mes jambes saisissant mes couilles. De l’autre, il est remonté le long de ma colonne vertébrale pour finir par appuyer sur mes omoplates. Je me suis instinctivement penché pour mettre mes mains sur mes genoux. Jay poussa plus fermement tout en me cajolant afin que je me cambre un peu plus. Ses mains bougèrent et se posèrent à la base de ma colonne vertébrale. Ses pouces se touchant et ses doigts se glissèrent entre mes fesses afin de les écarter. Je pouvais sentir son visage sur ma peau et sa langue descendre jusqu’à trouver l’ouverture de mon anus. Le bout de sa langue a sondé l'ouverture, déposant à chaque fois qu’elle s’enfonçait un peu plus de salive. Ensuite, son doigt est venu rejoindre sa langue et caresser le bord de mon trou. J’étais euphorique, car pour moi c'était une nouvelle sensation. Plus sa langue lèche et plus son doigt me sonde, provoquant sur moi une énorme excitation telle que j’en avais jamais eue.
Jay s'arrêta net et se leva. Sans un mot, il m'a guidé hors de la douche et m'a déposé sur le plan de l’évier. Jay a attrapé l'huile pour bébé et l’a étendue le long de sa bite ce qui la faisait briller, puis sur le trou de mon cul qu’il a malaxé. Son doigt a de nouveau fouillé mon anus. Il m’a de nouveau fait me cambrer pour trouver mon trou, mais cette fois c'était avec la tête de son sexe en érection. Reposant contre mon cul, il a commencé alors, à pousser tout doucement. Une main a saisi mon cou et s'est resserrée. L'autre guidant sa queue dans mon cul. Tout d'abord la tête, puis un pouce de plus. Lentement, le pénis de mon frère a glissé dans mon intestin. Pendant quelques secondes, surpris par ces nouvelles sensations, je n’ai pas pu respirer. Finalement, ses jambes sont arrivées jusqu’à mes fesses. Pendant ce temps, ma bite avait débandé, mais mon cœur qui battait la chamade et mes couilles pleines me disaient que j’allais bientôt jouir.
Moi : Baise-moi Jay, s'il te plait, baise-moi. Prends-moi, encore. Grognai-je.
Jay : Détends-toi Chuck, s’il te plait... Ahhg… Oh chouette Chuck, ça semble si serré et bon. Tu aimes cette grosse queue dans ton cul, n'est-ce pas frangin ?
Moi : Défonce-moi, plus vite, baise-moi. Oui c’est ça, vas-y, encore !
Cela ne nous a pas pris longtemps. Jay me lima le cul deux à trois fois avant de larguer sa marchandise dans un dernier coup de reins. Je pouvais sentir le liquide chaud remplir mon cul. Il est resté sans bouger contre mon dos, en soupirant dans mon oreille. Il se leva et sortit sa queue de mon trou, j’ai pu alors sentir son sperme chaud couler le long de ma jambe. Ses bras entouraient ma poitrine et mon ventre. En descendant, ils ont trouvé ma bite qu’ils ont commencé à ramener à son érection maximale. Entre temps, la bite satisfaite de Jay s'était rétrécie et sortait de mon cul, laissant un trou bien agrandi.
Ses mains se sont déplacées et s’agenouillant il m'a pris le sexe dans sa bouche. Sa main a saisi la base de ma bite et a commencé à faire des allers et retours avec ses lèvres. Son autre main, pendant ce temps, revint dans mon trou desserré. Ses mains semblaient se joindre à travers mon corps. Son doigt se logea dans mon cul alors qu'il tirait sur ma queue, de l’autre côté. Chaque action me rapprochant inexorablement de l'orgasme. Je me suis enfoncé plus profondément dans sa bouche que jamais auparavant. Le plaisir me permit de surmonter toute peur. Tout d’un coup, je suis venu, larguant coup sur coup, des jets de sperme dans la bouche de Jay. Je pouvais dire qu'il essayait de tout prendre. Sa langue de temps en temps, est venue presser ma bite, afin d’en traire les dernières gouttes. Lorsque nous nous sommes séparés, nous étions pleinement satisfaits. Nous nous sommes assis sur le sol de la salle de bain, nous tenant mutuellement. Je me demandais pourquoi nous avions attendu tant d'années pour pouvoir partir explorer, à la découverte de nos corps, de cette manière.