Défonce en air pur
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Texte d'archive:
Date de publication/archivage: 2018-08-01 Auteur: Luc |
J’ai pu enfin constater de l’efficacité des plans écologiques: «Une montagne propre». J’étais en congé chez des amis hétéros en Suisse, près de Grimentz, dans les Alpes. Un coin magnifique et propre. Je me promenais tout seul, mes amis étant partis faire des courses à Genève. J’avais décidé de ne pas y aller, mais au contraire de mettre à profit ce bel après-midi qui s’offrait à moi. La montagne est magnifique, c’est certainement l’une des plus belles régions du monde que les Alpes Suisses. Et les Suisses en prennent grand soin.
Je tombe au cours de ma promenade nez à nez avec un employé du canton chargé de veiller à la propreté de la montagne et des sites naturels. Outre la beauté de son métier, ce type est une beauté à lui tout seul. Les Suisses, au contraire des idées reçues sont des chauds du cul. Voire même très chauds... Et mon expérience va vous le prouver si vous aviez encore quelques doutes. C’est un beau mâle tout en muscle. Sa combinaison de travail le met très en valeur. Je lui jette un regard évocateur auquel il me répond sans sourciller. Il pose son râteau et il se dirige vers un petit local de jardin situé un peu plus loin sur le chemin. Il se retourne plusieurs fois pour voir si je le suis et je me décide enfin à y aller. Ma queue se réveille doucement et la fatigue de la marche ne se fait presque plus sentir. Je vois le mec rentrer dans le cabanon, laissant la porte ouverte derrière lui.
Je m’approche de l’entrée, on ne voit rien à l’intérieur. Une main agrippe mon tee-shirt et la porte se referme derrière moi en claquant un grand coup. Je ne vois que dalle à l’intérieur mais cela n’a pas l’air de gêner mon partenaire. Je sens ses mains puissantes retirer mon tee-shirt et me malaxer le cul comme une bonne miche de pain. Je tente de défaire sa combinaison et je place ma main sur son paquet. Sa queue doit être énorme.
Il se déshabille aussi et il me pousse vilement par terre pour que je le suce. Sa bite est chaude et elle sent le musc. Il m’attrape par les cheveux et il me baise la bouche tout en donnant de grands coups de reins. J’avais raison, sa bite est énorme. Pas très longue mais extrêmement épaisse. Je fourre mon nez dans ses poils. J’ai l’impression d’être une grosse chienne en chaleur. Je lui dis que j’adore lui bouffer la queue et que j’ai très envie qu’il me défonce comme une petite pute. Il grogne de plaisir et sans que j’y prenne garde, il se retire de ma bouche et il maintient sa queue en érection devant moi. Je reste là dans l’attente. Il commence alors à me pisser dessus. Le jet d’urine m’arrose la gueule et je suis en transe. Je ne sais pas comment il fait pour pisser avec une gaule comme la sienne mais tout ce que je sais c’est que je veux être l’esclave soumis de ce mec pour le restant de mes jours. Il me retourne et me met en levrette sur le sol. Mes genoux sont râpés par le plancher du cabanon, mais tout m’est égal. Je m’abandonne totalement à lui et à ses envies.
l’anus...
Il termine de vider sa vessie sur mon trou dilaté. Il crache dans sa paume et me triture sans ménagement l’anus. Deux secondes plus tard, son braquemart s’enfonçait directement dans mon cul. La surprise et la taille de son engin me font pousser un cri de douleur. Cela lui plaît et il me dit qu’il va me défoncer le cul comme jamais personne ne me l’avait fait. Il me claque le cul en me donnant de violents coups de reins. Sa queue me ramone à fond et je sens encore sa pisse sur mon visage. J’ai peur qu’elle me coule sur les yeux et me les brûle. Mais quand sa bite s’enfonce jusqu’à la garde, je n’y pense plus, je me laisse bourrer. Je lui appartiens, je me donne totalement à lui. Me maintenant fermement, il s’acharne comme un malade sur mon cul, le claquant, le pinçant et me défonçant la rondelle avec sa pine.
Je chope ma queue et je me branle avec ferveur, décuplant ainsi le plaisir de mon cul. Je gémis comme une salope, mieux, comme une truie qu’on vient d’achopper et qui va y passer, le cul béant, ouvert par mon sublime baiseur. Il me parle dans sa langue natale, le suisse allemand, et je ne comprends rien mais j’espère de tout cœur qu’il m’insulte copieusement. Voyant que je gémis davantage, il hausse le ton de sa voix et ce sont maintenant de grandes claques qu’il me donne sur les fesses et sur les couilles. Je suis au comble de l'excitation, j’en peux plus comme je ne peux plus me retenir plus longtemps. Il m’ordonne en français de ne pas jouir avant lui ce que je fais sans broncher.
Il se retire de mon cul en feu et il approche sa bite de ma gueule. Une simple pression sur le gland et le voilà qui décharge son foutre épais et onctueux sur mon visage. Je jouis à mon tour, me sentant défaillir à chaque instant. Nous nous rhabillons et il me dit qu’il m'attend demain à la même heure. J’ai du prétexter un engouement particulier pour la propreté de la montagne pour ne pas que mes amis se doutent de quoi que ce soit...
Le lendemain, j’étais au rendez-vous, mais pas lui. En guise de bel étalon, j’avais un vieux papy édenté qui me regardait en souriant. Je n’ai jamais su ce qui était arrivé à mon amoureux de la montagne. Parti satisfaire d’autres promeneurs égarés certainement. Les veinards.
Luc, 29 ans.