Jonathan et Jean-Gabriel

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Numéro 10

Texte d'archive:


Archivé de: Lettres Gay – Numéro 10
Date de parution originale: Mars 1987

Date de publication/archivage: 2017-07-24

Auteur: Jonathan
Titre: Jonathan et Jean-Gabriel
Rubrique: Domination

Note: Le magazine Lettres Gay ayant disparu, nous archivons sur Gai-Éros des textes y ayant été publiés au fil des ans, à titre d'archive, notre but premier étant que la littérature homo-érotique se préserve au fil du temps. Si vous êtes l'auteur de ce texte ou si vous détenez des droits légaux sur ce texte, veuillez communiquer avec nous sans délais.

Ce texte a été lu 4933 fois depuis sa publication (* ou depuis juin 2013 si le texte a été publié antérieurement)


Je me nomme Jonathan, j’ai 22 ans, je fais 1m74 et 72kg, je suis blond aux yeux bleus, je suis plutôt bi que homo, mais je viens vous raconter comment un amour que j’ai ressenti pour Jean-Gabriel me poussa à le prendre de force, à le violer. Au début, il ne voulait pas faire l'amour avec moi. Jean-Gabriel avait seize ans, moi j'en avais dix-neuf et nous prenions plusieurs fois par semaine des cours de danse. Il me plaisait terriblement et après quelques cours, nous étions devenus amis. Les soirs, je me masturbais en gardant mon collant de danse, en pensant à Jean-Gabriel.

Un samedi, je me décidais à l’inviter et à faire l’amour en collant avec lui. J’habitais un petit studio que mes parents payaient. Il accepta ; arrivés à l’appartement, je lui offris à boire. Tout en discutant sur son jogging, son pantalon tout mouillé, je lui demandais de l’ôter pour que je le fasse sécher. Il ôta son pantalon, puis voulut se rasseoir, mais je le poussais sur le lit et m’allongeais sur lui en essayant de l'embrasser sur la bouche.

Il se débattait sous moi, ce qui m'excitait encore plus, puis il se calma, fatigue. Je m’empressais de l’embrasser sur la bouche, il me regarda et me dit que j'étais fou. Je lui dis : «Je t’aime Jean-Gabriel, et tu vas être à moi.» Il s’excita de nouveau, ce qui me fit encore plus bander. Je décidais de l’enculer de force s'il le fallait. Je lui ôtais son slip et caressais son sexe qui devint dur en quelques minutes. Jean-Gabriel me dit : «Jonathan ne fais pas l’imbécile, laisse-moi partir, qu’est-ce que tu veux ?»

Je ne répondais pas, je descendais un peu mon collant et fis sortir ma verge, je prenais de la salive de ma bouche et mouillais l’anus de Jean-Gabriel où je fis entrer un doigt, j’enduisais mon sexe de salive. Il voulut se dégager mais mon sexe était à l’entrée de son cul. Je poussais, poussais et mon sexe s'engouffra avec résistance dans le beau cul de Jean-Gabriel. Il cria très fort, je ne bougeais plus. Je me décidais à le labourer, mon va-et-vient assez lent le fit se tordre ; «Jean-Gabriel, tu as un cul qui me va comme un gant», lui dis-je. J'accélérais mon mouvement en prenant son sexe et en le masturbant. Il éjacula en même tant que mon sperme se répandait sur son beau corps. Je me relevais, je venais de violer Jean-Gabriel, de le dépuceler. Il se rhabilla et partit. J'ai eu honte après et peur qu'il ne le dise à ses parents.

Au cours de danse, il arriva, sans me dire bonjour, et partit vers 15h30 à la place de 16h00. Je rentrais chez moi, et décidais de prendre une douche, lorsqu’on sonna à la porte, je mis mon collant (je me promène beaucoup en collant chez moi), j’ouvrais, c’était Jean-Gabriel, il se jeta à mes pieds, en me demandant si je pouvais l'enculer. Je le fis se relever, il se mit nu et tomba à genoux devant moi. Je pris mon sexe et l’enfonçai dans la bouche de Jean-Gabriel. J’agrippais ses cheveux et accompagnais sa succion. Jean-Gabriel suçait formidablement bien, j’accélérais le rythme et éjaculais au fond de sa gorge. Nous nous allongeâmes sur le lit, en s’embrassant sur la bouche, nos jambes se mêlaient, Jean-Gabriel m’attira sur lui, embrassant mon torse. Puis il descendit et mit sa tête entre mes jambes, j’avais toujours mon collant, il me fit rebander en faisant un va-et-vient avec sa tête. Il remonta et me dit : «Vas-y Jonathan, défonce-moi comme l'autre jour.»

Je me levais, allais prendre la vaseline et enduisis son anus et mon sexe. Je lui demandais de s'exciter, cela me donnait l’impression de le violer une deuxième fois, il s'excita sous moi, je bandais comme un cheval et lorsque je pénétrais Jean-Gabriel, il cria : «Encule-moi Jonathan, fais moi mal, baise-moi !» Je l’embrassais et mon sexe qui allait et venait en lui lui fil perdre la tête. Jean-Gabriel était un amant formidable, je continuais à m'enfoncer en lui, il se tordait en laissant échapper de petits cris. Je commençais à crier et lui demandais : «Jean-Gabriel, deviens une femme, je te baiserais tous les jours, je t'aime mon amour !» Je m’excitais, mon va-et-vient lui défonça le cul, il jouit avant moi. Je continuais à le labourer, j’accélérais et les giclées de ma semence envahirent son cul.

Je m'effondrais sur lui en l’embrassant dans le cou. Nous restâmes un petit moment comme cela, puis Jean-Gabriel partit pour revenir le lendemain soir me demander de le baiser. Je sodomisais Jean-Gabriel de nouveau, il était devenu réellement docile, mais il a fallu au début le violer pour qu’il accepte de devenir mon amant.

Pendant deux ans, nous nous vîmes très souvent, maintenant il a dix-huit ans. Jean-Gabriel est devenu ma femme. Dommage que je ne puisse pas lui faire un enfant. Nous vivons ensemble et nous sommes très heureux. Jean-Gabriel s'est même fait enculer par Élisabeth, une copine qui s'était mis un gode énorme. Je l'aime mon Jean-Gabriel et il m’aime aussi.

Jonathan.