Le tuyau du pompier (2)
Texte paru le 2002-12-30 par Charles

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Ludovic ramassa le prospectus déposé dans sa boîte à lettres. Il disait:
Ludo sourit en lisant le texte. Dans son esprit de petit pédé vicieux, chaque phrase prenait un autre sens. En matière de feu et d’incendie, il savait de quoi il en retournait. Son petit cul était toujours bouillant et prêt à accueillir les tuyaux des pompiers. Depuis qu’il avait fait la connaissance d’une partie de l’équipe locale de pompiers, il ne s’était jamais privé de leurs services.
Ayant appris que de nouvelles recrues avaient été engagées à la caserne, Ludo ne résista pas à la tentation de faire appel à leur(s) corps.
— Allo, la caserne? Ici Ludovic J... Je m’alarme peut-être un peu vite mais... j’ai l’impression de sentir une odeur de brûlé dans le bâtiment... Au 45, oui! Merci...
Les dés étaient jetés! Cinq minutes plus tard, ils étaient quatre pompiers à passer le seuil de l’immeuble sous le regard concupiscent de Ludo surexcité. Lorsque Marc l’aperçut, il lui sourit et cligna de l’œil en gravissant les marches menant vers les étages supérieurs. Le salopard était aussi excité que Ludo et prêt à jouer le jeu. Lorsque les quatre pompiers redescendirent bredouilles, Marc s’adressa à Ludo...
— Monsieur J, ce n’est pas la première fois que vous nous faites déplacer pour rien! Vous exagérez, mon ami... Nous avons autre chose à faire que de venir éteindre des incendies imaginaires...
— Il y a bel et bien un incendie dans cet immeuble, Monsieur le pompier. Le genre d’incendie qui nécessite au moins quatre tuyaux de bonne taille.
— Et où se trouve le foyer, Monsieur J?
— Entrez donc, messieurs, que je vous montre...
Il fallait voir la tête des trois jeunes nouvelles recrues qui ne semblaient rien comprendre à la conversation entre Ludo et Marc. Les quatre hommes suivirent le jeune vicieux qui tortillait du cul comme une chienne en chaleur... Marc l’attrapa par les épaules et l’obligea à s’agenouiller.
— Vous méritez vraiment d’être puni, Monsieur J! ajouta-t-il.
— Oh oui, messieurs... Punissez-moi.
— Déshabillez-le! lança Marc à ses hommes pétrifiés. Allez! C’est un ordre...
Lorsque Ludo fut à poil, Marc l’installa à quatre pattes sur le canapé et commença à se dévêtir lui aussi.
— Tout le monde à poil, les gars! On va éteindre un feu de chatte! Et une chatte de mec en feu, c’est terrible à éteindre. Astiquer vos tuyaux, on va tous s’y mettre.
Le démarrage fut lent car deux des jeunes pompiers étaient paniqués. Marc avait pourtant compris qu’ils étaient excités et que l’idée de baiser un cul de mec ne les rebuterait pas... Mais c’était le premier pas qui coûtait. L’attitude vicelarde de Marc et de Ludo finit par chauffer nos deux jeunes guerriers du feu. Le troisième, qui avait déjà «sauté» Ludo lors d’une alerte précédente, présenta sa queue à notre salope de service qui sauta dessus vivement.
— Mmmmm toutes ces bonnes tiges rien que pour moi... gémit Ludo.
Au bout de trente minutes, Yves et Sergio commencèrent à se caresser.
— C’est de la bite des autres qu’on doit s’occuper, les p’tits gars! Pas de la sienne! Hé, les mecs, goûtez-moi aux plaisirs entre mâles et vous ne pourrez plus vous en passer!
Les deux candides se sont regardés et ont tenté une reconnaissance des autres corps... Sans être coincés, ils n’étaient pas totalement à l’aise. L’un à côté de l’autre, ils se caressaient mutuellement. Ils bandaient et avaient de belles bites. Marc s’est approché d’eux et a d’emblée introduit sa grosse bite raide et suintante dans la bouche de Sergio, qui l’a promptement avalée. Il la lui enfonçait autant qu’il pouvait en lui maintenant la tête. Le jeune italien en avait des hauts-le-cœur.
Ludo a, très vite, entrepris d’aider Sergio à gober la grosse queue de Marc pendant que Robert lui bouffait le cul. Robert avait une idée derrière la tête et ce joli cul devait être bien lubrifié. Marc semblait apprécier les deux bouches qui s’occupaient de lui car il râlait et agitait le bassin d’avant en arrière. Yves s’occupait de la queue de Robert avec les mains. Il s’aperçut que son collègue avait un «Prince Albert» qui transperçait le gland volumineux.
Sentant la langue de Robert sur son anus, Ludo, geignant, releva une jambe et offrit ainsi davantage son trou à son lécheur qui y entrait bien en profondeur. Ludo donnait l’impression d’un chien - d’une chienne! - qui attend d’être saillie. Robert se redressa et s’avança vers Marc pour lui rouler une pelle magistrale. Il passait entre ces deux mâles une sensualité hors du commun. Les positions changèrent. Yves aventura une main entre les jambes de Ludo et découvrit un trou humide de salive et d’excitation dans lequel il plongea un puis deux doigts sans la moindre difficulté.
Marc passait sa main entre les jambes écartées de Sergio et lui caressait le trou.
— Tu vas voir, gamin, comme une bite au trou ça fait du bien. C’est un plaisir qu’on a le droit de goûter, crois-moi!
Sergio était rouge d’excitation. Sa grosse bite se dressait, fière, au milieu d’une forêt de poils noirs. Il écarta même ses lobes fessiers pour permettre à Marc d’y fourrer son visage. Marc plongea le nez dans la vallée poilue de l’italien et poussa sa langue dans l’oignon plissé. Il l’ouvrait délicatement tout en manipulant les couilles pendantes de son collègue. Ludo, lui, avait la bite engluée de la salive d’Yves et le trou du cul aussi. Il fléchissait les jambes pour s’ouvrir davantage et Yves y poussa un quatrième doigt, encouragé par Marc (qui connaissait les capacités anales de Ludovic). Il caressait le trou en douceur et Ludo gémissait de plus belle en ondulant de la croupe.
La tension était montée deux ou trois crans plus haut. Sergio fut positionné, cul en arrière, contre un meuble de salon. Marc encapuchonna sa bite bien raide et il l’enfonça entièrement entre les fesses du puceau. Sergio poussa un cri et essaya de se débattre. Marc le caressa, lui parla et le calma. Ludo se plaça en dessous de lui et ainsi il put lui lécher les couilles et celle de Marc. Le tableau était délirant. Une grappe de mâles qui se donnent du plaisir. Robert embrassait Yves à pleine bouche et lui mordillait le bout des seins de temps en temps.
Robert était très excité par la scène qu’il voyait et il décida que le moment était venu de passer aux choses sérieuse avec Yves. Il le fit asseoir sur le canapé et lui remonta les jambes assez haut. Il saliva sur le trou serré du jeune gars gémissant. L’opération dura près de quinze minutes. Yves était à bout, au bord de l’extase et il n’attendait plus qu’à être sailli... Robert claqua sa grosse matraque chaude et vibrante contre la chatte du pompier débutant puis il demanda à Sergio de baiser son collègue. Marc décula et laissa l’italien se diriger vers son ami. Robert fit glisser une capote sur la tige du jeune type et le dirigea vers son pote excité à mort par un travail anal prolongé. Il positionna son gland et n’eut aucune difficulté à entrer. Les doigts et la salive de Robert avaient bien préparé le terrain et Sergio se mit à ramoner Yves avec ardeur. Tellement d’ardeur qu’au bout de 10 minutes à peine, ils jouirent de concert en hurlant de plaisir. En voyant les deux nouveaux pompiers jouir comme des btes, les trois autres mecs ont largu leur pure sur la table basse.
Tout le monde a profité de ce moment pour faire une pause, fumer une cigarette et laisser un peu retomber la pression. Ludo est allé chercher des boissons fraîches et les flacons de poppers dans son frigo. Il a servi ses invités, a siroté une bière puis il s’est allongé sur la table basse et a relevé les jambes, offrant sa pastille au regard des autres. Il avait pris un flacon de poppers et en a reniflé plusieurs fois à pleines narines. Yves et Sergio, drôlement décoincés, se sont mis de chaque côté de lui pour retenir ses jambes. Robert a commencé à lui lubrifier le trou du cul avec du crisco. L’entrée était rougeâtre et luisante. Marc s’est alors installé entre les jambes de la salope et a commencé à lui travailler le fion en largeur avec trois doigts qu’il rentrait et ressortait lentement mais sans la moindre hésitation. Robert lui léchait les couilles et les autres lui pinçaient les tétons ou lui caressait le torse et le ventre.
— Alors, tu le trouves comment le service des pompiers de la ville?
— Super! a répondu Ludo comme dans une transe.
— On va te l’éteindre ton feu, ma lopette! On sait comment s’y prendre...
Au bout de quelques minutes, la main entière de Marc est entrée dans le cul de Ludo qui reniflait toujours du poppers. Sergio en renifla un peu pour essayer et il s’excita comme un dingue. Yves n’osait pas. Robert laissa la bite de Ludo et s’occupa de son cul. Il mettait régulièrement de la graisse autour du trou et sur le poignet de Marc qui s’enfonçait de plus en plus. Ludo gémissait tandis que Sergio le traitait de petite salope. Il ajouta même que lorsque Marc en aurait terminé avec sa main, il la remplacerait par sa grosse matraque bien dure. Le fist dura non moins de trente minutes et dans un calme reposant. Seuls quelques gémissements et quelques injures lancées à la face de Ludo ponctuèrent la séance. Enfin, Marc a ressorti sa main et a échangé sa place avec Yves.
— Tu vas y aller en douceur, Yves! Tu entres calmement et tu prends possession des lieux. Tu te ballades...
Yves enfila un gant médical que Marc graissa. Robert conservait la même tâche, à savoir, lubrifier et bouffer la bite de Ludo. Après, ce fut au tour de Sergio de se faire fister par Yves puis Robert. Yves n’avait jamais ressenti une pareille excitation en baisant une nana. Enfoncer son poing dans de cul de ce beau male poilu et viril le rendait dingue. Il entrait facilement dans le trou béant et néanmoins vierge. Sergio soufflait comme une femme en phase d’accouchement. Le fait est qu’il avait une trouille d’enfer en voyant l’avant bras de son ami s’enfoncer dans ses entrailles tuméfiées. Il demanda qu’on arrête car il voulait reprendre ses esprits. C’était beaucoup pour une première fois...
Robert s’est alors allongé sur le ventre et c’est toujours Yves, devenu fin fisteur, qui a commencé le travail du cul. Ludo, qui était resté un peu en retrait durant les quinze dernières minutes, lui rendit la pareille en lui faisant renifler du poppers et en lui graissant le trou. La main qui lui fouillait l’intérieur lui arrachait des plaintes sublimes. Marc laissa la place à Sergio (qui n’avait pas encore jouer l’actif). Sergio avait la main un peu plus large, il a fallu graisser à nouveau l’entrée et il a dû travailler encore un peu avant de pouvoir passer mais il y est arrivé sans difficulté. Le terrain avait été bien préparé par Marc et le poppers aidait bien la dilatation. Robert a alors voulu baiser Ludo qui ne s’est pas fait prié. Ludo adorait sentir la grosse bite du vétéran dans son trou, il sentait le froid de son piercing. C’était une sensation indescriptible.
Pendant plus de deux heures, les cinq mecs ont ainsi travaillé et joué dans le cul de Ludo, lui explorant tous les recoins de son intimité anale et, pour terminer, réussissant même à entrer deux mains ensemble dans son cul. A coups de poppers, Ludo subit tous les assauts de ses amants. Le living ressemblait à un champ de bataille où l’odeur de poudre est remplacée par celle du sperme et de la sueur. Les pompiers se sont rhabillés, épuisés mais heureux, et les cinq mecs se sont séparés après trois heures de baise intense, repus.
En quelques heures, Yves et Sergio, d’incurables hétéros étaient devenus de vrais niqueurs de mecs et des pros du fist. En quittant Ludo, ils lui assurèrent de leur toute prochaine venue pour approfondir leurs connaissances...
À suivre...
Dernier courriel connu de l'auteur : dirtygayhairy@hotmail.com