S'écarter les fesses à deux mains

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Numéro 91

Texte d'archive:


Archivé de: Lettres Gay – Numéro 91
Date de parution originale: Juillet 1998

Date de publication/archivage: 2012-06-13

Auteur: Christophe
Titre: S'écarter les fesses à deux mains
Rubrique: Les obsédés du phone

Note: Le magazine Lettres Gay ayant disparu, nous archivons sur Gai-Éros des textes y ayant été publiés au fil des ans, à titre d'archive, notre but premier étant que la littérature homo-érotique se préserve au fil du temps. Si vous êtes l'auteur de ce texte ou si vous détenez des droits légaux sur ce texte, veuillez communiquer avec nous sans délais.

Ce texte a été lu 7502 fois depuis sa publication (* ou depuis juin 2013 si le texte a été publié antérieurement)


Je m’appelle Christophe, j’ai vingt-et-un ans, je suis antillais et on me dit très mignon. Cela fait un petit bout de temps que je lis Lettres Gay (en cachette car à la maison personne ne soupçonne que je préfère les hommes), et j’adore ce magazine. Surtout, continuez! Bon, trêve de félicitations. Ça fait un moment que je voulais prendre la plume et je me décide à vous raconter une première expérience, renouvelée depuis, qui restera gravée dans ma mémoire.

Ayant décidé de sauter le pas maintenant que j’étudie à Aix-en-Provence, loin de la maison, j’ai composé en cet après-midi pluvieux un numéro spécialisé pour essayer de rencontrer un mec. Moi, ce sont plutôt les hommes mûrs qui m’attirent. Une voix m’interpelle; il a quarante-sept ans et il est très actif, et moi j’ai très envie de me faire enculer; il se dit mignon et doux. J’appelle et rendez-vous est pris pour le quart d’heure suivant.

Il me reconnaît à la description que je lui ai faite et il me dit: «Toi, tu dois être Christophe?» Je réponds oui assez timidement. Il me dit que je n’ai pas menti et que je suis très mignon. On va chez lui. Dans son salon, il me dit de m’asseoir et de me mettre à l’aise. Il me demande comment je le trouve. Il est superbe et je trique comme jamais auparavant. Je ne trouve pas les mots pour répondre. Il sourit, s’asseoit près de moi et sa bouche s’empare de la mienne pour une longue pelle bien baveuse et très agréable. Moi je me laisse totalement faire. Il me murmure à l’oreille qu’il va me faire beaucoup de bien. Bernard, puisque c’est son nom, passe sa main entre mes cuisses et sent ma trique énorme (21cm, ça se sent!). De son autre main il dégrafe ma chemise tout en continuant à m’embrasser à pleine bouche. Torse nu, lui toujours habillé, il me prend par la main et me conduit dans sa chambre. Là, il enlève mon jean, fait glisser mon slip et attrape ma queue dans sa bouche. Il commence à me sucer doucement, puis à me pomper franchement. Je lui dis d'arrêter car je ne veux pas jouir tout de suite. Je m’allonge sur le lit pendant qu’il se déshabille. Mes yeux sont scotchés à sa bite, moins longue que la mienne mais beaucoup plus large. Elle est au garde-à-vous. Je n’ai pas le temps de dire ouf! que je l’ai déjà au fond de la gorge. Heureusement, sucer, j’avais déjà fait! Je m’applique à honorer avec grand soin cette barre d’acier, et je sens mon trou du cul humide rien qu’à l’idée que je vais me la prendre en plein dedans.

Il sort sa queue de ma bouche et m'embrasse en me retournant doucement sur le ventre. Il me lèche le corps en entier et j’en frissonne tellement c’est bon. Sa langue s'arrête sur ma raie et la pénètre doucement. Il l’enfonce de plus en plus profond et je gémis de plaisir. Il prend ensuite une capote et du gel, m’en tartine le trou et y enfonce deux doigts d’un coup. Après les avoir fait aller et venir, il me dit: "Tu veux de la bite, tu vas en avoir ma puce!" Pas effrayé du tour, je m'écarte les fesses à deux mains et je lui demande de me défoncer. Juste le temps d'enfiler la capite, et c'est moi qu'il enfile ensuite. Doucement mais franchement. Une fois habitué à cette présence agréable dans mon trou, je lui dis de me limer très fort. Son va-et-vient dure quelques minutes, trop courtes, et il jouit au fond de la capote en criant, enfoncé jusqu'aux couilles dans mon cul. Moi qui me branlait en rythme, je ne tarde pas à jouir à grosses giclées dans ma main. Ensuite on s’écroule sur le lit, l’un contre l’autre, et il me roule une pelle bien baveuse.

Depuis je vais le voir souvent et il m’initie à des tas de jeux, mais toujours safe. Je crois que je l’aime. Bon, j’arrête là parce que j’ai la trique et qu’il faut que je me branle d’urgence en attendant demain de me faire mettre par Bernard. Bisous de Nice!


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